Investing.com - Les options sur l'or gardaient le sourire ce lundi matin, les observateurs gardant les perspectives d'action de la Réserve Fédérale à l'esprit, lequel restait préoccupé par l'économie américaine.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 655.15 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0.4%.
Ils avaient précédement culminé à 1 662.55 USD, leur meilleur cours du jour, avec une poussée de 0.8%, après avoir touché le fond à 1 626.05 USD le 4 janvier, leur valeur la plus faible depuis le 21 août.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 626.05 USD, leur plancher de 19 semaines déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à 1 690.55 USD, leur plafond de la veille.
Leur dérapage dans une ornière de quatre mois avait suivi le compte-rendu de la prise de cap effectuée le mois dernier par la Réserve Fédérale, montrant lors de la précédente journée de cotation que celle-ci envisageait de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
Certains de ses dirigeants y estimaient ainsi possible de ralentir, voire mettre un terme à ses acquisitions d'actifs nettement avant décembre 2013.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de son utilisation éventuelle de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Mais le département d'état au travail des Etats-Unis avait dénombré vendredi 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu moins que les 161 000 après révision à la hausse précédents, tandis que le taux de chômage stagnait à 7.8%.
Il laissait aussi augurer du maintien du statu quo de la Fed, dont le procès-verbal du conseil d'orientation du mois dernier avait montré que ses dirigeants resteraient accommodants "au moins aussi longtemps que" le chômage serait supérieur à 6.5%.
Les Etats-Unis ne semblaient toujours pas sortis de l'auberge, avec de nouvelles chicaneries en perspective pour leurs élus.
Le parlement américain a pourtant enfin ratifié une loi de contournement du mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession national.
Mais la nervosité concernant l'économie du pays demeurait exacerbée à l'horizon de février, anticipant les tractations visant à relever son plafond d'endettement maximal.
Le renforcement du dollar U.S. a toutefois limité toute velléité d'envolée, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeant 0.2% pour se hisser à 80.77.
La force de la monnaie des Etats-Unis nuit généralement au métal précieux, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, diminuant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs grimpé de 0.65% pour s'élever à 30.14 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.75% pour se retrouver à 3.666 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 655.15 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0.4%.
Ils avaient précédement culminé à 1 662.55 USD, leur meilleur cours du jour, avec une poussée de 0.8%, après avoir touché le fond à 1 626.05 USD le 4 janvier, leur valeur la plus faible depuis le 21 août.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 626.05 USD, leur plancher de 19 semaines déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à 1 690.55 USD, leur plafond de la veille.
Leur dérapage dans une ornière de quatre mois avait suivi le compte-rendu de la prise de cap effectuée le mois dernier par la Réserve Fédérale, montrant lors de la précédente journée de cotation que celle-ci envisageait de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
Certains de ses dirigeants y estimaient ainsi possible de ralentir, voire mettre un terme à ses acquisitions d'actifs nettement avant décembre 2013.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de son utilisation éventuelle de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Mais le département d'état au travail des Etats-Unis avait dénombré vendredi 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu moins que les 161 000 après révision à la hausse précédents, tandis que le taux de chômage stagnait à 7.8%.
Il laissait aussi augurer du maintien du statu quo de la Fed, dont le procès-verbal du conseil d'orientation du mois dernier avait montré que ses dirigeants resteraient accommodants "au moins aussi longtemps que" le chômage serait supérieur à 6.5%.
Les Etats-Unis ne semblaient toujours pas sortis de l'auberge, avec de nouvelles chicaneries en perspective pour leurs élus.
Le parlement américain a pourtant enfin ratifié une loi de contournement du mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession national.
Mais la nervosité concernant l'économie du pays demeurait exacerbée à l'horizon de février, anticipant les tractations visant à relever son plafond d'endettement maximal.
Le renforcement du dollar U.S. a toutefois limité toute velléité d'envolée, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeant 0.2% pour se hisser à 80.77.
La force de la monnaie des Etats-Unis nuit généralement au métal précieux, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, diminuant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs grimpé de 0.65% pour s'élever à 30.14 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.75% pour se retrouver à 3.666 USD la livre dans le même temps.