Investing.com - Les options sur l'or sont tombées à leur pire niveau en trois mois ce jeudi, les investisseurs étant peu enclins à établir de nouvelles positions avant la fin de l'année alors que persistent les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro et que tous les mouvements se trouvent amplifiés par le manque de liquidités saisonnier.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 552.85 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.72%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 545.35 USD, leur pire cours depuis le 26 septembre, avec une plongée de 0.85%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 533.35, leur plancher du 26 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1 594.25, leur plafond de la veille.
Les volumes des transactions devraient demeurer faibles, la plupart des acteurs des marchés se trouvant actuellement en congés saisonniers.
L'Italie a écoulé hier pour 9 milliards d'euros de bons du trésor à six mois, à un taux moyen de 3.25%, après avoir tabli un record à 6.5% lors d'un évènement similaire s'étant déroulé en novembre.
Cette performance positive n'a toutefois pas fait oublier que les banques avaient retiré un record de 452 milliards d'euros auprès du mécanisme rapide de la Banque Centrale Européenne, signe que les prêteurs régionaux étaient peu enclins à se fournir mutuellement des capitaux.
Cette information a poussé les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées, notamment les actions et les matières premières, au profits des investissements refuge traditionnels comme le dollar U.S. tandis que l'euro dérapait dans une ornière annuelle contre ce dernier et décennale face au yen.
L'Italie devrait émettre aujourd'hui pour 8.5 milliards d'euros d'obligations dont les échéances s'étaleront entre 2014 et 2022.
Le taux des emprunts décennaux du pays est du coup remonté à 7.02%, se situant juste au-dessus du seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
Le métal précieux s'est récemment retrouvé sur la sellette, son attrait en tant que valeur refuge s'étant trouvé terni au profit du dollar U.S. tandis que s'aggravait la crise de la dette européenne.
Les ventes de fin d'année des fonds d'investissement et la rareté des capitaux sur les marchés interbancaires de l'Europe ont égaement contribué à le tirer vers le bas.
Les cours en effet plongé de près de 18% après avoir culminé à 1 920 USD, leur record historique établi début septembre, mais demeurent toutefois en progression de 11% sur l'année, et en route pour réaliser leur onzième année positive d'affilée.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs chuté de 0.95% pour se retrouver à 26.97 USD de l'once, leur plus bas niveau en trois mois, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.25% pour descendre à 3.357 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 552.85 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.72%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 545.35 USD, leur pire cours depuis le 26 septembre, avec une plongée de 0.85%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 533.35, leur plancher du 26 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1 594.25, leur plafond de la veille.
Les volumes des transactions devraient demeurer faibles, la plupart des acteurs des marchés se trouvant actuellement en congés saisonniers.
L'Italie a écoulé hier pour 9 milliards d'euros de bons du trésor à six mois, à un taux moyen de 3.25%, après avoir tabli un record à 6.5% lors d'un évènement similaire s'étant déroulé en novembre.
Cette performance positive n'a toutefois pas fait oublier que les banques avaient retiré un record de 452 milliards d'euros auprès du mécanisme rapide de la Banque Centrale Européenne, signe que les prêteurs régionaux étaient peu enclins à se fournir mutuellement des capitaux.
Cette information a poussé les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées, notamment les actions et les matières premières, au profits des investissements refuge traditionnels comme le dollar U.S. tandis que l'euro dérapait dans une ornière annuelle contre ce dernier et décennale face au yen.
L'Italie devrait émettre aujourd'hui pour 8.5 milliards d'euros d'obligations dont les échéances s'étaleront entre 2014 et 2022.
Le taux des emprunts décennaux du pays est du coup remonté à 7.02%, se situant juste au-dessus du seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
Le métal précieux s'est récemment retrouvé sur la sellette, son attrait en tant que valeur refuge s'étant trouvé terni au profit du dollar U.S. tandis que s'aggravait la crise de la dette européenne.
Les ventes de fin d'année des fonds d'investissement et la rareté des capitaux sur les marchés interbancaires de l'Europe ont égaement contribué à le tirer vers le bas.
Les cours en effet plongé de près de 18% après avoir culminé à 1 920 USD, leur record historique établi début septembre, mais demeurent toutefois en progression de 11% sur l'année, et en route pour réaliser leur onzième année positive d'affilée.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs chuté de 0.95% pour se retrouver à 26.97 USD de l'once, leur plus bas niveau en trois mois, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.25% pour descendre à 3.357 USD la livre dans le même temps.