Investing.com - Les options sur l'or étaient en berne pour le second jour d'affilée ce mardi, la crainte d'une aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro poussant les investisseurs à liquider leurs positions afin de couvrir leurs pertes subies ailleurs.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 770.45 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.45%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 767.25 USD, leur pire cours depuis le 11 novembre, avec 0.6% de pertes.
L'angoisse liée au problème du surendettement de l'Europe se sont trouvés aggravés après que les dividendes des obligations à cinq ans italiennes se soient en effet élevées hier vers 6.29%, un nouveau record depuis l'introduction de l'euro, contre seulement 5.32% il y a un mois.
Elle a encore été attisée par des bons du trésor à dix ans espagnols dépassant les 6% pour la première fois depuis début août, alors que des élections législatives doivent se tenir dans le pays la semaine prochaine.
En temps normal, ces nouvelles auraient encouragé une hausse du métal précieux, mais les acteurs des marchés préfèrent actuellement revendre l'or qui leur profite pour colmater les brèches subies ailleurs.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grignoté 0.22% de son côté pour se situer à 77.82.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
John Polson, milliardaire des fonds de pension, a pour sa part réduit ses actifs liés à l'or au troisième trimestre, d'après sa déclaration faite lundi à la Securities and Exchange Commission, le gendarme de la bourse américaine.
Paulson & Company a notamment réduit sa participation au SPDR Gold Trust, le plus important des fonds d'échanges garantis par le métal jaune, à 20.3 millions d'actions contre 31.5 millions possédées depuis le 30 juin.
Bien des spécialistes du secteur aurifère se sont inquiétés de ce retrait massif de Paulson et de son influence psychologique sur les observateurs, les cours ayant plongé de 11% en septembre en raison de rumeurs grandissantes de reventes par les grands fonds d'investissement destinées à couvrir des pertes subies ailleurs.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs arraché 0.05% pour grimper à 34.04 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.4% pour se retrouver à 3.502 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 770.45 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.45%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 767.25 USD, leur pire cours depuis le 11 novembre, avec 0.6% de pertes.
L'angoisse liée au problème du surendettement de l'Europe se sont trouvés aggravés après que les dividendes des obligations à cinq ans italiennes se soient en effet élevées hier vers 6.29%, un nouveau record depuis l'introduction de l'euro, contre seulement 5.32% il y a un mois.
Elle a encore été attisée par des bons du trésor à dix ans espagnols dépassant les 6% pour la première fois depuis début août, alors que des élections législatives doivent se tenir dans le pays la semaine prochaine.
En temps normal, ces nouvelles auraient encouragé une hausse du métal précieux, mais les acteurs des marchés préfèrent actuellement revendre l'or qui leur profite pour colmater les brèches subies ailleurs.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grignoté 0.22% de son côté pour se situer à 77.82.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
John Polson, milliardaire des fonds de pension, a pour sa part réduit ses actifs liés à l'or au troisième trimestre, d'après sa déclaration faite lundi à la Securities and Exchange Commission, le gendarme de la bourse américaine.
Paulson & Company a notamment réduit sa participation au SPDR Gold Trust, le plus important des fonds d'échanges garantis par le métal jaune, à 20.3 millions d'actions contre 31.5 millions possédées depuis le 30 juin.
Bien des spécialistes du secteur aurifère se sont inquiétés de ce retrait massif de Paulson et de son influence psychologique sur les observateurs, les cours ayant plongé de 11% en septembre en raison de rumeurs grandissantes de reventes par les grands fonds d'investissement destinées à couvrir des pertes subies ailleurs.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs arraché 0.05% pour grimper à 34.04 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.4% pour se retrouver à 3.502 USD la livre dans le même temps.