Investing.com - Les options sur le brut étaient en léger recul ce mercredi, se retrouvant sous les 100 USD alors que les observateurs attendaient la réunion de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole à Vienne ainsi que l'inventaire crucial des réserves américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 99.83 USD le baril en première partie de séance européenne, fléchissant de 0.3%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 99.63 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.45% de fléchissement.
Les spécialistes du marché guettaient en effet avidement les résultats de la réunion des états faisant partie de l'OPEP, et notamment la révision des quotas de production, la production visée n'ayant pas évolué depuis janvier 2009.
Rafael Ramirez, ministre du pétrole du Venezuela, a pour sa part affirmé hier que ceux-ci devraient diminuer leur production surnuméraire en raison de l'amélioration des approvisionnements libyens, tout en ajoutant que l'organisation devrait maintenir ses objectifs officiels.
Rostam Ghassemi, son homologue iranien, et président actuel de celle-ci, a abondé dans son sens, affirmant que certains des membres de celle-ci devraient réduire leurs extractions afin de laisser la place au retour des livraisons provenant de Libye et à l'augmentation de celles fournies par l'Irak.
L'Iran et le Venezuela sont généralement catalogués comme les partisans de la réduction de la production d'or noir, afin d'en faire monter les prix et ainsi augmenter leurs marges.
Ali al-Naimi, leur collègue saoudien, s'est toutefois estimé satisfait du niveau actuel, ajoutant que le marché du brut était stable.
Le groupe avait échoué à dégager un consensus sur les quotas lors de sa dernière réunion, en juin, lorsque la demande saoudienne d'augmenter les quantités disponibles afin de compenser l'absence du volume libyen avait été repoussée par l'Iran, le Venezuela et quatre autres pays.
Les acteurs du marché pétrolier attendaient aussi la publication du rapport gouvernemental portant sur les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Celui-ci devrait vraisemblablement montrer une diminution de 2 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence en auraient augmenté de 1 million.
Les experts de l'institut du pétrole américain ont dévoilé le leur après la clôture des échanges d'hier, signalant une hausse de 420 000 barils des réserves de pétrole pour la semaine dernière, tandis que ceux d'essence en perdaient 120 000.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont recculé de 0.4% pour glisser à 108.64 USD du baril dans le même temps, soit 8.81 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 99.83 USD le baril en première partie de séance européenne, fléchissant de 0.3%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 99.63 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.45% de fléchissement.
Les spécialistes du marché guettaient en effet avidement les résultats de la réunion des états faisant partie de l'OPEP, et notamment la révision des quotas de production, la production visée n'ayant pas évolué depuis janvier 2009.
Rafael Ramirez, ministre du pétrole du Venezuela, a pour sa part affirmé hier que ceux-ci devraient diminuer leur production surnuméraire en raison de l'amélioration des approvisionnements libyens, tout en ajoutant que l'organisation devrait maintenir ses objectifs officiels.
Rostam Ghassemi, son homologue iranien, et président actuel de celle-ci, a abondé dans son sens, affirmant que certains des membres de celle-ci devraient réduire leurs extractions afin de laisser la place au retour des livraisons provenant de Libye et à l'augmentation de celles fournies par l'Irak.
L'Iran et le Venezuela sont généralement catalogués comme les partisans de la réduction de la production d'or noir, afin d'en faire monter les prix et ainsi augmenter leurs marges.
Ali al-Naimi, leur collègue saoudien, s'est toutefois estimé satisfait du niveau actuel, ajoutant que le marché du brut était stable.
Le groupe avait échoué à dégager un consensus sur les quotas lors de sa dernière réunion, en juin, lorsque la demande saoudienne d'augmenter les quantités disponibles afin de compenser l'absence du volume libyen avait été repoussée par l'Iran, le Venezuela et quatre autres pays.
Les acteurs du marché pétrolier attendaient aussi la publication du rapport gouvernemental portant sur les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Celui-ci devrait vraisemblablement montrer une diminution de 2 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence en auraient augmenté de 1 million.
Les experts de l'institut du pétrole américain ont dévoilé le leur après la clôture des échanges d'hier, signalant une hausse de 420 000 barils des réserves de pétrole pour la semaine dernière, tandis que ceux d'essence en perdaient 120 000.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont recculé de 0.4% pour glisser à 108.64 USD du baril dans le même temps, soit 8.81 USD de mieux que leurs homologues américaines.