Investing.com - Les bourses européennes étaient en demi-teinte ce jeudi, alors que les observateurs attendaient les mises aux enchères de bons du trésor français et espagnols en cours de journée, et que l'atmosphère se trouvait éclaircie par les rumeurs d'imminence d'un accord d'échange de dettes pour la Grèce.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.03%, le CAC 40 français de 0.11%, et le DAX 30 allemand de 0.1%.
L'Espagne émettra aujourd'hui jusqu'à 4.5 milliards d'euros d'obligations à court et moyen terme, et la France fera de même jusqu'à 8 milliards.
Le moral a retrouvé des couleurs grâce aux signes selon lesquels les négociations de la Grèce avec ses bailleurs de fonds qui s'étaient éternisées étaient très proches d'un consensus, mais l'angoisse que les échanges de dettes ne suffisent pas à réduire le fardeau du surendettement national autant que nécessaire demeurait.
La finance se plaçait en tête, les français Société Générale et BNP Paribas grimpant respectivement de 3.06 et 0.77%, tandis que le prêteur néerlandais ING Groep se contentait de 1.95%.
Les allemands Deutsche Bank et Commerzbank ont toutefois laissé échapper 1.41 et 0.42%, le premier ayant avoué que ses bénéfices s'étaient écroulés de 76% au quatrième trimestre, invoquant les effets de la crise de la dette de la zone euro.
Novo Nordisk, premier fournisseur mondial d'insuline, a pour sa part engrangé 1.3% après avoir annoncé pour la même période une augmentation de ses profits supérieure aux attentes.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a toutefois reculé de 0.18%, malgré les bonnes performances des valeurs minières.
Le cuivrier Xstrata s'est envolé de 12.95% suite à la confirmation d'un offre de fusion de Glencore, premier fournisseur en matières premières du monde, qui empocherait ainsi des mines d'Afrique et d'Asie, la divulgation de l'information lui rapportant 4.11%.
Les mastodontes du secteur que sont Rio Tinto et BHP Billiton ont pour leur part engrangé 2.61 et 2.03%.
Le secteur financier était moins uni, la Royal Bank of Scotland gagnant 0.72%, et HSBC Holdings 0.09%, tandis que Barclays trébuchait de 0.21%.
Les perspectives des marchés américains étaient eux aussi hésitants: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.09%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.08% alors que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un repli de 0.01%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera quand à lui devant le comité budgétaire de la chambre des représentants, et le gouvernement du pays annoncera le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.03%, le CAC 40 français de 0.11%, et le DAX 30 allemand de 0.1%.
L'Espagne émettra aujourd'hui jusqu'à 4.5 milliards d'euros d'obligations à court et moyen terme, et la France fera de même jusqu'à 8 milliards.
Le moral a retrouvé des couleurs grâce aux signes selon lesquels les négociations de la Grèce avec ses bailleurs de fonds qui s'étaient éternisées étaient très proches d'un consensus, mais l'angoisse que les échanges de dettes ne suffisent pas à réduire le fardeau du surendettement national autant que nécessaire demeurait.
La finance se plaçait en tête, les français Société Générale et BNP Paribas grimpant respectivement de 3.06 et 0.77%, tandis que le prêteur néerlandais ING Groep se contentait de 1.95%.
Les allemands Deutsche Bank et Commerzbank ont toutefois laissé échapper 1.41 et 0.42%, le premier ayant avoué que ses bénéfices s'étaient écroulés de 76% au quatrième trimestre, invoquant les effets de la crise de la dette de la zone euro.
Novo Nordisk, premier fournisseur mondial d'insuline, a pour sa part engrangé 1.3% après avoir annoncé pour la même période une augmentation de ses profits supérieure aux attentes.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a toutefois reculé de 0.18%, malgré les bonnes performances des valeurs minières.
Le cuivrier Xstrata s'est envolé de 12.95% suite à la confirmation d'un offre de fusion de Glencore, premier fournisseur en matières premières du monde, qui empocherait ainsi des mines d'Afrique et d'Asie, la divulgation de l'information lui rapportant 4.11%.
Les mastodontes du secteur que sont Rio Tinto et BHP Billiton ont pour leur part engrangé 2.61 et 2.03%.
Le secteur financier était moins uni, la Royal Bank of Scotland gagnant 0.72%, et HSBC Holdings 0.09%, tandis que Barclays trébuchait de 0.21%.
Les perspectives des marchés américains étaient eux aussi hésitants: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.09%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.08% alors que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un repli de 0.01%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera quand à lui devant le comité budgétaire de la chambre des représentants, et le gouvernement du pays annoncera le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.