Investing.com - La livre sterling lorgnait un pic de trois semaines face au dollar U.S. ce mercredi après-midi, dans l'expectative des publications imminentes de chiffres américains et du procès-verbal de la réunion d'octobre du comité fédéral des marchés ouverts.
La paire GBP/USD est remontée depuis les 1,6117 d'hier jusqu'à 1,6146 en seconde partie de séance européenne, prenant ainsi 0,17%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,6058, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,6200, son plafond psychologique suivant.
Le billet vert demeurait en effet sur la sellette après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, ait une fois de plus renouvelé hier ses engagements en vue du maintien de la souplesse de sa politique, rappelant qu'elle ne mettrait un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats mensuels que lorsqu'elle serait certaine que le marché de l'emploi pourrait commencer à s'en passer.
Il a ajouté que les taux d'intérêts demeureront probablement proches de zéro pour encore "bien longtemps" une fois cette première étape advenue.
Le compte-rendu détaillé de la plus récente prise de cap de son conseil directeur, dont la publication aura lieu dans quelques heures, est désormais au centre des débats de la semaine, en quête d'indices sur les orientations monétaires futures.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec une avalanche de résultats, parmi lesquels le volume des ventes au détail, mais aussi les variations des prix proposés aux particuliers et le nombre des ventes de logements d'occasion.
La devise de la Grande-Bretagne avait auparavant connu un passage à vide après que son émettrice ait avoué dans le procès-veral de son dernier conseil de direction estimer la durabilité de la reprise britannique "incertaine" au-delà de la fin d'année.
Elle a aussi admis qu'il pouvait être envisagé de ne pas relever immédiatement les coûts des emprunts dès que que le chômage passerait sous les 7%.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Banque d'Angleterre soulignait en effet que les statistiques indiquaient une relance persistante depuis son bulletin sur l'inflation d'août, tout en accusant les faibles évolutions des prix de la zone euro de pouvoir constituer un handicap pour sa croissance.
Il était d'autre part à noter que son comité directeur avait auparavant unanimement opté pour le maintien de son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et du volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,27% pour glisser à 0,8374.
La paire GBP/USD est remontée depuis les 1,6117 d'hier jusqu'à 1,6146 en seconde partie de séance européenne, prenant ainsi 0,17%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,6058, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,6200, son plafond psychologique suivant.
Le billet vert demeurait en effet sur la sellette après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, ait une fois de plus renouvelé hier ses engagements en vue du maintien de la souplesse de sa politique, rappelant qu'elle ne mettrait un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats mensuels que lorsqu'elle serait certaine que le marché de l'emploi pourrait commencer à s'en passer.
Il a ajouté que les taux d'intérêts demeureront probablement proches de zéro pour encore "bien longtemps" une fois cette première étape advenue.
Le compte-rendu détaillé de la plus récente prise de cap de son conseil directeur, dont la publication aura lieu dans quelques heures, est désormais au centre des débats de la semaine, en quête d'indices sur les orientations monétaires futures.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec une avalanche de résultats, parmi lesquels le volume des ventes au détail, mais aussi les variations des prix proposés aux particuliers et le nombre des ventes de logements d'occasion.
La devise de la Grande-Bretagne avait auparavant connu un passage à vide après que son émettrice ait avoué dans le procès-veral de son dernier conseil de direction estimer la durabilité de la reprise britannique "incertaine" au-delà de la fin d'année.
Elle a aussi admis qu'il pouvait être envisagé de ne pas relever immédiatement les coûts des emprunts dès que que le chômage passerait sous les 7%.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Banque d'Angleterre soulignait en effet que les statistiques indiquaient une relance persistante depuis son bulletin sur l'inflation d'août, tout en accusant les faibles évolutions des prix de la zone euro de pouvoir constituer un handicap pour sa croissance.
Il était d'autre part à noter que son comité directeur avait auparavant unanimement opté pour le maintien de son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et du volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,27% pour glisser à 0,8374.