Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, la déception engendrée vendredi par le produit intérieur brut américain étant venue conforter l'hypothèse selon laquelle son émettrice poursuivrait son programme d'accommodement.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,41% pour grimper à 1,3083.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet révélé que le produit intérieur brut national avait augmenté de 2,5% entre le début janvier et la fin mars, alors que 3,0% étaient espérés.
Il était aussi à noter que la confiance des consommateurs américains avait plongé ce mois-ci à son plus bas niveau en trois mois.
Ces contre-performances ont du coup étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de capitaux de la Réserve Fédérale lors de son conseil d'orientation de mercredi.
La monnaie unique a aussi retrouvé des couleurs après que l'Italie soit sortie de l'impasse politique découlant des élections sans résultats clairs de février avec l'intronisation d'un nouveau gouvernement.
Mais elle semblait devoir rester fragilisée à l'approche de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne, dont une baisse des taux est attendue suite aux piètres résultats allemands dévoilés la semaine passée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,38% pour se hisser à 1,5530, se maintenant aux abords d'un creux de deux mois et demi.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne gardait la forme après qu'il ait été révélé la semaine passée que l'économie britannique avait retrouvé le chemin de la croissance au premier trimestre, échappant ainsi à une récession à triple tranchant.
Il a d'autre part subi la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,39% pour se retrouver à 97,68.
Il en était de même avec le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,40% pour tomber à 0,9396.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,49% pour monter à 1,0331, le NZD/USD engrangeant 0,54% pour culminer à 0,8526 et l'USD/CAD régressant de 0,29% pour aller vers 1,0139.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,41% pour se situer à 82,23.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi les informations de leurs spécialistes de l'immobilier sur le nombre des ventes de logements en cours.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,41% pour grimper à 1,3083.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet révélé que le produit intérieur brut national avait augmenté de 2,5% entre le début janvier et la fin mars, alors que 3,0% étaient espérés.
Il était aussi à noter que la confiance des consommateurs américains avait plongé ce mois-ci à son plus bas niveau en trois mois.
Ces contre-performances ont du coup étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de capitaux de la Réserve Fédérale lors de son conseil d'orientation de mercredi.
La monnaie unique a aussi retrouvé des couleurs après que l'Italie soit sortie de l'impasse politique découlant des élections sans résultats clairs de février avec l'intronisation d'un nouveau gouvernement.
Mais elle semblait devoir rester fragilisée à l'approche de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne, dont une baisse des taux est attendue suite aux piètres résultats allemands dévoilés la semaine passée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,38% pour se hisser à 1,5530, se maintenant aux abords d'un creux de deux mois et demi.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne gardait la forme après qu'il ait été révélé la semaine passée que l'économie britannique avait retrouvé le chemin de la croissance au premier trimestre, échappant ainsi à une récession à triple tranchant.
Il a d'autre part subi la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,39% pour se retrouver à 97,68.
Il en était de même avec le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,40% pour tomber à 0,9396.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,49% pour monter à 1,0331, le NZD/USD engrangeant 0,54% pour culminer à 0,8526 et l'USD/CAD régressant de 0,29% pour aller vers 1,0139.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,41% pour se situer à 82,23.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi les informations de leurs spécialistes de l'immobilier sur le nombre des ventes de logements en cours.