Investing.com — Accorinvest Group SA a finalisé une émission obligataire en trois tranches totalisant 1,25 milliard€, selon un communiqué publié lundi. BNP Paribas (EPA:BNPP), coordinateur principal de l’émission, a confirmé qu’aucune action de stabilisation n’a été entreprise après l’émission.
Les trois tranches, émises pour un montant nominal total de 400 millions€, 300 millions€ et 550 millions€ respectivement, présentent des conditions et des taux d’intérêt variables. La première tranche, échéant en mai 2030, porte un taux d’intérêt de 5,375%. La deuxième, arrivant à échéance en mai 2032, a un taux d’intérêt de 5,625%, et la troisième, également échéant en mai 2032, est fixée avec un taux flottant de E+375.
Les mesures de stabilisation sont souvent employées par les souscripteurs pour soutenir le prix de marché des titres après leur émission. Cependant, dans ce cas, BNP Paribas ainsi que d’autres gestionnaires de stabilisation, notamment Crédit Agricole (EPA:CAGR), Natixis (NYSE:99V33V1Z3=MSIL), Commerzbank (ETR:CBKG), MUFG, Bank of America (NYSE:BAC), CIC, ICBC, Natwest et Goodbody, n’ont pas jugé nécessaire d’entreprendre de telles actions.
Le communiqué a souligné que le prix d’offre pour chaque tranche a été fixé à 100, et que les titres en question n’ont pas été enregistrés en vertu de la loi américaine sur les valeurs mobilières de 1933. Par conséquent, ils ne peuvent être offerts ou vendus aux États-Unis sans enregistrement ou exemption d’enregistrement, et il n’y aura pas d’offre publique de ces titres aux États-Unis.
La finalisation de cette émission obligataire représente un événement financier important pour Accorinvest Group SA, un acteur majeur dans le secteur de l’investissement hôtelier. L’émission de ces obligations, qui ne sont garanties par aucune partie, démontre la capacité de l’entreprise à lever des capitaux sur les marchés internationaux.
Cette opération financière d’Accorinvest Group SA, selon le communiqué de presse, indique un effort stratégique pour sécuriser des capitaux à long terme, bien que l’entreprise n’ait pas divulgué d’utilisations spécifiques pour les produits de l’émission obligataire. L’absence d’activités de stabilisation après l’émission suggère une confiance dans l’accueil des nouveaux titres par le marché.
Cet article a été généré et traduit avec l’aide de l’IA et revu par un rédacteur. Pour plus d’informations, consultez nos T&C.