Investing.com - Les options sur le brut se sont tirées de leur gouffre le plus profond en cinq mois ce mercredi matin, l'attention se concentrant sur la publication imminente de l'étude de l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis au sujet de l'état des réserves pétrolières nationales.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décmbre se sont échangés à 94,15 USD le baril en première partie de séance européenne, empochant 0,8%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 93,36 USD, leur cours le plus bas du jour, et 94,18 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus touché le fond à 93,07 USD, leur pire niveau depuis le 24 juin, avant de conclure à 93,37 USD avec un passage à vide de 1,32%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 92,73 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à 96,64 USD, leur plafond du premier novembre.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également sous surveillance, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Celles-ci pourraient mettre en évidence une augmentation de 1,7 millions de barils pour le brut au cours de la semaine dernière, et celles d'essence pourraient en avoir écoulé 400.000.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les premières une addition de 870.000 barils pour la période considérée, ainsi que le retrait de 400.000 barils aux secondes.
Les cours ont subi une tendance baissière ces dernières semaines, dans la crainte que les récentes mises à pied partielles des fonctionnaires aient nui à l'expansion économique, et donc aux besoins pétroliers.
Les premières avaient accumulé 4,1 millions de barils lors de la précédente, pour en totaliser 383,9 millions, leur volume le plus important depuis juin.
Les statistiques des Etats-Unis publiées en cours de semaine demeureront au centre des débats, étant donné leur influence probable sur le moment où la Réserve Fédérale procèdera à un tour de vis.
Leur rapport sur l'emploi hors agriculture d'octobre sera publié vendredi, au lendemain de la première estimation de leur produit intérieur brut du troisième trimestre.
La banque centrale des Etats-Unis s'était montrée moins pessimiste que prévu au sujet de la conjoncture à l'issue de sa réunion de la semaine passée, tout en entretenant soigneusement le suspense au sujet d'une éventuelle réduction anticipée des ses apports de capitaux dès décembre.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont gagné 0,7% pour grimper à 106,05 USD du baril dans le même temps, soit 11,90 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décmbre se sont échangés à 94,15 USD le baril en première partie de séance européenne, empochant 0,8%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 93,36 USD, leur cours le plus bas du jour, et 94,18 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus touché le fond à 93,07 USD, leur pire niveau depuis le 24 juin, avant de conclure à 93,37 USD avec un passage à vide de 1,32%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 92,73 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à 96,64 USD, leur plafond du premier novembre.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également sous surveillance, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Celles-ci pourraient mettre en évidence une augmentation de 1,7 millions de barils pour le brut au cours de la semaine dernière, et celles d'essence pourraient en avoir écoulé 400.000.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les premières une addition de 870.000 barils pour la période considérée, ainsi que le retrait de 400.000 barils aux secondes.
Les cours ont subi une tendance baissière ces dernières semaines, dans la crainte que les récentes mises à pied partielles des fonctionnaires aient nui à l'expansion économique, et donc aux besoins pétroliers.
Les premières avaient accumulé 4,1 millions de barils lors de la précédente, pour en totaliser 383,9 millions, leur volume le plus important depuis juin.
Les statistiques des Etats-Unis publiées en cours de semaine demeureront au centre des débats, étant donné leur influence probable sur le moment où la Réserve Fédérale procèdera à un tour de vis.
Leur rapport sur l'emploi hors agriculture d'octobre sera publié vendredi, au lendemain de la première estimation de leur produit intérieur brut du troisième trimestre.
La banque centrale des Etats-Unis s'était montrée moins pessimiste que prévu au sujet de la conjoncture à l'issue de sa réunion de la semaine passée, tout en entretenant soigneusement le suspense au sujet d'une éventuelle réduction anticipée des ses apports de capitaux dès décembre.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont gagné 0,7% pour grimper à 106,05 USD du baril dans le même temps, soit 11,90 USD de mieux que leurs homologues américaines.