Investing.com - Le dollar U.S. était largement renforcé et s'est hissé vers un pic des quatre derniers jours face au yen ce mardi, les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro et l'hypothèse d'une remontée des taux chinois ayant diminué le goût pour le risque et stimulé le billet vert.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 81.18 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 29 juin, puis s'est stabilisée vers 81.09, prenant 0.36%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 80.26, son plancher du 30 juin, et de rencontrer de la résistance à 81.77, son plafond du 31 mai.
L'agence de notation Standard & Poor's avait en effet affirmé hier que le plan proposé par les créanciers français consistant à repousser les échéances des dettes grecques en réinvestissant la moitié des fonds issus des obligations gouvernementales nationales arrivant à terme en bons à 30 ans pourrait placer le pays en "défaut de paiement sélectif".
La devise américaine a également bénéficié de l'idée selon laquelle les taux d'intérêt chinois pourraient être rehaussés dès cette fin de semaine, la Banque Populaire de Chine ayant de nouveau assuré le même jour qu'elle poursuivrait la politique monétaire "prudente" et souligné que la pression inflationniste restait forte.
La monnaie nippone a toutefois gagné quelques pouces de terrain sur l'euro, l'EUR/JPY trébuchant de 0.05% pour descendre à 117.41.
Les Etats-Unis devraient dévoiler en cours de journée le volume officiel des commandes auprès des usines.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 81.18 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 29 juin, puis s'est stabilisée vers 81.09, prenant 0.36%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 80.26, son plancher du 30 juin, et de rencontrer de la résistance à 81.77, son plafond du 31 mai.
L'agence de notation Standard & Poor's avait en effet affirmé hier que le plan proposé par les créanciers français consistant à repousser les échéances des dettes grecques en réinvestissant la moitié des fonds issus des obligations gouvernementales nationales arrivant à terme en bons à 30 ans pourrait placer le pays en "défaut de paiement sélectif".
La devise américaine a également bénéficié de l'idée selon laquelle les taux d'intérêt chinois pourraient être rehaussés dès cette fin de semaine, la Banque Populaire de Chine ayant de nouveau assuré le même jour qu'elle poursuivrait la politique monétaire "prudente" et souligné que la pression inflationniste restait forte.
La monnaie nippone a toutefois gagné quelques pouces de terrain sur l'euro, l'EUR/JPY trébuchant de 0.05% pour descendre à 117.41.
Les Etats-Unis devraient dévoiler en cours de journée le volume officiel des commandes auprès des usines.