Investing.com - Le dollar U.S. à poursuivi sa régression face à ses principaux concurrents ce mardi, l'atmosphère ayant été ragaillardie par un baromètre des affaires allemandes dépassant les espérances et des ventes de dettes espagnoles réussies.
En seconde partie de séance européenne, il a encore plus fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.56% pour grimper à 1.3071.
Dans son rapport, l'institut Ifo pour la recherche économique avait annoncé ce matin que son indice du climat dans les affaires avait dépassé les attentes pour monter à 107.2, contre 106.6 précédemment, prenant de court les experts craignant un recul à 106.
L'Espagne a quand à elle vu les coûts de ses emprunts à court terme reculer fortement lors de ses enchères de la matinée, écoulant largement plus que les 4.5 milliards d'euros prévus en obligations à trois et six mois.
Mais la progression de la monnaie unique semblait toutefois destinée à demeurer limitée, après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait répété hier que le programme d'achats d'obligations de cette dernière était temporaire, tout en prévenant que l'économie du bloc euro avait des chances de plonger en récession au début de l'année prochaine.
Les ministres des finances de l'Union Européenne s'étaientt mis d'accord le même jour pour fournir 150 milliards d'euros de prêts au FMI, soit nettement moins que les 200 milliards envisagés auparavant.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.87% pour se hisser à 1.5633.
Une étude signalait ce matin que les ventes au détail mesurées par la confédération des entreprises britanniques CBI avaient connu en décembre leur plus forte progression, avertissant toutefois qu'elle avaient de fortes chances de replonger après les fêtes de fin d'année.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.17% pour se retrouver à 77.9 et l'USD/CHF glissant de 0.59% pour tomber à 0.9316.
Des informations émanant des autorités helvétiques avaient indiqué en début de matinée que l'excédent commercial du pays avait davantage augmenté en novembre que prévu, les exportations prenant 3.8% à l'année pour totaliser 17.75 milliards de CHF, pour porter le surplus du commerce extérieur à 3 milliards de franc suisse.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.59% pour aller vers 1.0324, l'AUD/USD raflant 0.97% pour monter à 0.9993 et le NZD/USD engrangeant 0.96% pour culminer à 0.7628.
Le dollar du Canada n'a pas fait grand cas des information gouvernementales montrant que les prix au détail avaient moins augmenté en novembre que prévu.
L'agence Statistics Canada a signalé aujourd'hui que l'inflation des prix à la consommation avait ralenti jusqu'à 0.1% puor le mois dernier, au lieu des 0.3% attendus, ramenant le taux annuel à 2.9%, tandis que celui pour les produits de base augmentait jusqu'à 2.1% pour la même période.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.62% pour se situer à 80.44.
Les Etats-Unis avaient prévu de dévoiler dans l'après-midi le nombre officiel des permis de construire et celui des lancements de chantiers.
En seconde partie de séance européenne, il a encore plus fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.56% pour grimper à 1.3071.
Dans son rapport, l'institut Ifo pour la recherche économique avait annoncé ce matin que son indice du climat dans les affaires avait dépassé les attentes pour monter à 107.2, contre 106.6 précédemment, prenant de court les experts craignant un recul à 106.
L'Espagne a quand à elle vu les coûts de ses emprunts à court terme reculer fortement lors de ses enchères de la matinée, écoulant largement plus que les 4.5 milliards d'euros prévus en obligations à trois et six mois.
Mais la progression de la monnaie unique semblait toutefois destinée à demeurer limitée, après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait répété hier que le programme d'achats d'obligations de cette dernière était temporaire, tout en prévenant que l'économie du bloc euro avait des chances de plonger en récession au début de l'année prochaine.
Les ministres des finances de l'Union Européenne s'étaientt mis d'accord le même jour pour fournir 150 milliards d'euros de prêts au FMI, soit nettement moins que les 200 milliards envisagés auparavant.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.87% pour se hisser à 1.5633.
Une étude signalait ce matin que les ventes au détail mesurées par la confédération des entreprises britanniques CBI avaient connu en décembre leur plus forte progression, avertissant toutefois qu'elle avaient de fortes chances de replonger après les fêtes de fin d'année.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.17% pour se retrouver à 77.9 et l'USD/CHF glissant de 0.59% pour tomber à 0.9316.
Des informations émanant des autorités helvétiques avaient indiqué en début de matinée que l'excédent commercial du pays avait davantage augmenté en novembre que prévu, les exportations prenant 3.8% à l'année pour totaliser 17.75 milliards de CHF, pour porter le surplus du commerce extérieur à 3 milliards de franc suisse.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.59% pour aller vers 1.0324, l'AUD/USD raflant 0.97% pour monter à 0.9993 et le NZD/USD engrangeant 0.96% pour culminer à 0.7628.
Le dollar du Canada n'a pas fait grand cas des information gouvernementales montrant que les prix au détail avaient moins augmenté en novembre que prévu.
L'agence Statistics Canada a signalé aujourd'hui que l'inflation des prix à la consommation avait ralenti jusqu'à 0.1% puor le mois dernier, au lieu des 0.3% attendus, ramenant le taux annuel à 2.9%, tandis que celui pour les produits de base augmentait jusqu'à 2.1% pour la même période.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.62% pour se situer à 80.44.
Les Etats-Unis avaient prévu de dévoiler dans l'après-midi le nombre officiel des permis de construire et celui des lancements de chantiers.