Investing.com - Le dollar U.S. était largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, le moral ayant repris quelques couleurs, bien que les ombres persistantes de la crise financière espagnole et d'une possible contamination de la zone euro demeurent des piliers de la popularité des valeurs sûres.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.38% pour grimper à 1.2411.
La monnaie unique avait retrouvé le sourire après que des informations de source officielle aient souligné ce matin le fait que le nombre des demandeurs d'emploi d'Allemagne n'avait pas évolué en mai, et que le taux de chômage était tombé à 6.7%, son plus bas niveau historique.
Il avait auparavant été signalé que les ventes au détail du pays avaient davantage augmenté en avril que prévu, prenant 0.6% pour prolonger les 1.6% précédents.
Le moral demeurait friable dans l'angoisse grandissante d'un recours de l'Espagne à un plan de sauvetage, en raison de la hausse des coûts des emprunts et des renflouements bancaires.
Le flou concernant les résultats du scrutin grec du 17 juin s'est aussi intensifiés après qu'un sondage ait placé de peu le parti Syriza, opposé au programme de rigueur, en tête de la course.
Le referendum irlandais d'aujourd'hui sur le traité d'union fiscale européen était lui aussi très attendu.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.25% pour se hisser à 1.5516.
Les spécialistes de l'immobilier britannique avaient précédemment fait savoir que les prix des logements avaient connu en mai une poussée supérieure aux attentes, engrangeant 0.3% après avoir laissé échapper un pourcentage identique en avril.
Le baromètre de la confiance des consommateurs du pays est quand à lui passé de -31 à -29, alors qu'une régression à -32 était redoutée.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.24% pour se retrouver à 78.88 et l'USD/CHF glissant de 0.36% pour tomber à 0.9676.
Les autorités helvètes ont révélé que la croissance économique de la confédération avait dépassé, avec 0.7%, les espérances pour le dernier trimestre, contre 0.5% pour le précédent.
Des informations préliminaires avaient quand à elles montré en début de matinée que la production industrielle japonaise n'avait progressé que de 0.2% en avril, au lieu des 0.6% escomptés après les 1.3% précédents.
La monnaie des Etats-Unis a également été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.3% pour aller vers 1.0269, l'AUD/USD raflant 0.44% pour monter à 0.9746 et le NZD/USD engrangeant 0.52% pour culminer à 0.757.
Le gouvernement australien déplorait toutefois une baisse surprenante du nombre des permis de construire accordés en avril, plongeant de 8.5% après avoir pourtant bondi de 6.% en mars.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande venait juste de faire savoir que son indice de l'optimisme des entreprises était passé de 35.8 à 27.1 pour mai.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.32% pour se situer à 82.87.
Les Etats-Unis comptent quand à eux divulguer dans l'après-midi l'évaluation préliminaire de leur croissance économique du premier trimestre, sans oublier des rapports sur l'état du marché de l'emploi privé et le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage ainsi qu'une étude sur l'activité des entreprises dans la région de Chicago.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.38% pour grimper à 1.2411.
La monnaie unique avait retrouvé le sourire après que des informations de source officielle aient souligné ce matin le fait que le nombre des demandeurs d'emploi d'Allemagne n'avait pas évolué en mai, et que le taux de chômage était tombé à 6.7%, son plus bas niveau historique.
Il avait auparavant été signalé que les ventes au détail du pays avaient davantage augmenté en avril que prévu, prenant 0.6% pour prolonger les 1.6% précédents.
Le moral demeurait friable dans l'angoisse grandissante d'un recours de l'Espagne à un plan de sauvetage, en raison de la hausse des coûts des emprunts et des renflouements bancaires.
Le flou concernant les résultats du scrutin grec du 17 juin s'est aussi intensifiés après qu'un sondage ait placé de peu le parti Syriza, opposé au programme de rigueur, en tête de la course.
Le referendum irlandais d'aujourd'hui sur le traité d'union fiscale européen était lui aussi très attendu.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.25% pour se hisser à 1.5516.
Les spécialistes de l'immobilier britannique avaient précédemment fait savoir que les prix des logements avaient connu en mai une poussée supérieure aux attentes, engrangeant 0.3% après avoir laissé échapper un pourcentage identique en avril.
Le baromètre de la confiance des consommateurs du pays est quand à lui passé de -31 à -29, alors qu'une régression à -32 était redoutée.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.24% pour se retrouver à 78.88 et l'USD/CHF glissant de 0.36% pour tomber à 0.9676.
Les autorités helvètes ont révélé que la croissance économique de la confédération avait dépassé, avec 0.7%, les espérances pour le dernier trimestre, contre 0.5% pour le précédent.
Des informations préliminaires avaient quand à elles montré en début de matinée que la production industrielle japonaise n'avait progressé que de 0.2% en avril, au lieu des 0.6% escomptés après les 1.3% précédents.
La monnaie des Etats-Unis a également été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.3% pour aller vers 1.0269, l'AUD/USD raflant 0.44% pour monter à 0.9746 et le NZD/USD engrangeant 0.52% pour culminer à 0.757.
Le gouvernement australien déplorait toutefois une baisse surprenante du nombre des permis de construire accordés en avril, plongeant de 8.5% après avoir pourtant bondi de 6.% en mars.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande venait juste de faire savoir que son indice de l'optimisme des entreprises était passé de 35.8 à 27.1 pour mai.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.32% pour se situer à 82.87.
Les Etats-Unis comptent quand à eux divulguer dans l'après-midi l'évaluation préliminaire de leur croissance économique du premier trimestre, sans oublier des rapports sur l'état du marché de l'emploi privé et le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage ainsi qu'une étude sur l'activité des entreprises dans la région de Chicago.