Investing.com - Les bourses européennes avaient mangé du lion ce mercredi, alors que les investisseurs guettaient la réunion d'orientation politique de la Banque Centrale Européenne d'aujourd'hui, attendant des mesures stimulatrices avec impatience.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 1.81%, le CAC 40 français de 1.56%, et le DAX 30 allemand de 1.54%.
L'atmosphère s'est en effet éclaircie alors qu'il se disait qu'elle pourrrait procéder à de nouvelles injections de capitaux dans un système bancaire européen en mauvaise posture, voire relancer son programme d'achats de bons du trésor, afin de soulager la pression des coûts des emprunts pesant sur l'Espagne.
Le moral avait auparavant fléchi après que la téléconférence des ministres des finances du groupe des 7 pays les plus développés ayant eu lieu hier n'ait débouché sur aucune mesure immédiate qui aurait pu rassurer les opérateurs au sujet de la crise de la dette de la zone euro.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera d'autre part jeudi face à un comité parlementaire de l'état de l'économie du pays, alors que le Wall Street Journal, citant des entretiens et des discours émanant de la banque centrale américaine, a fait savoir dans la soirée d'hier que celle-ci était en train d'étudier des mesures pouvant redonner des couleurs à la première économie mondiale.
La finance était au tableau d'honneur, les français Société Générale et BNP Paribas engrangeant respectivement 1.86 et &.53%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 0.99 et 0.61%.
Ce dernier se trouve être un des six établissements bancaires allemands dégradés hier soir par l'agence de notation Moody's, en compagnie de leurs trois plus gros collègues autrichiens, les estimant vulnérables à une aggravation de la crise régionale.
Le géant des télécommunications Nokia Finland a de son côté bondi de 3.74%, bien que le géant d'Internet qu'est Google ait déposé plainte auprès de la commission de la concurrence de l'Union Européenne contre lui et Microsoft, le poids lourd logiciel, accusant ceux-ci d'entente pour une augmentation des prix des intelliphones et des tablettes.
A Londres, le FTSE 100 a raflé 1.26%, les prêteurs de Grande-Bretagne en tête.
La Royal Bank of Scotland s'est envolée de 3.7%, après avoir même connu une poussée de fièvre de 932.52% à l'ouverture, qui semblait être le résultat de sa consolidation d'actions autorisée la semaien dernière lors de son assemblée annuelle.
Sir Philip Hampton, son président, a estimé que celle-ci réduirait la "volatilité" de son cours, renforçant ainsi la confiance des investisseurs.
Barclays n'était pas en reste, avec 4.59%, Lloyds Banking non plus avec 4.55%, et HSCB Holdings avec 2.34%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières nefaisaient pas de la figuration, Rio Tinto et BHP Billiton gonflant de 2.01 et 2.61%, Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys suivant la tendance avec 1.01 et 3.25%.
Diageo Plc., distillateur des whiskies écossais Johnnie Walker, J&B et Buchanan’s, a progressé de 1.85% après avoir annoncé son intention d'investir dans cette branche.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.76%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.76% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.93%.
L'Allemagne comptait quand à elle dévoiler dans la journée les chiffres de sa production industrielle, et la BCE annoncer sa decision sur les taux, suivie d'une conférence de presse de Mario Draghi, son président, qui traitera de la question ainsi que de perspectives économiques de la région.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 1.81%, le CAC 40 français de 1.56%, et le DAX 30 allemand de 1.54%.
L'atmosphère s'est en effet éclaircie alors qu'il se disait qu'elle pourrrait procéder à de nouvelles injections de capitaux dans un système bancaire européen en mauvaise posture, voire relancer son programme d'achats de bons du trésor, afin de soulager la pression des coûts des emprunts pesant sur l'Espagne.
Le moral avait auparavant fléchi après que la téléconférence des ministres des finances du groupe des 7 pays les plus développés ayant eu lieu hier n'ait débouché sur aucune mesure immédiate qui aurait pu rassurer les opérateurs au sujet de la crise de la dette de la zone euro.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera d'autre part jeudi face à un comité parlementaire de l'état de l'économie du pays, alors que le Wall Street Journal, citant des entretiens et des discours émanant de la banque centrale américaine, a fait savoir dans la soirée d'hier que celle-ci était en train d'étudier des mesures pouvant redonner des couleurs à la première économie mondiale.
La finance était au tableau d'honneur, les français Société Générale et BNP Paribas engrangeant respectivement 1.86 et &.53%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 0.99 et 0.61%.
Ce dernier se trouve être un des six établissements bancaires allemands dégradés hier soir par l'agence de notation Moody's, en compagnie de leurs trois plus gros collègues autrichiens, les estimant vulnérables à une aggravation de la crise régionale.
Le géant des télécommunications Nokia Finland a de son côté bondi de 3.74%, bien que le géant d'Internet qu'est Google ait déposé plainte auprès de la commission de la concurrence de l'Union Européenne contre lui et Microsoft, le poids lourd logiciel, accusant ceux-ci d'entente pour une augmentation des prix des intelliphones et des tablettes.
A Londres, le FTSE 100 a raflé 1.26%, les prêteurs de Grande-Bretagne en tête.
La Royal Bank of Scotland s'est envolée de 3.7%, après avoir même connu une poussée de fièvre de 932.52% à l'ouverture, qui semblait être le résultat de sa consolidation d'actions autorisée la semaien dernière lors de son assemblée annuelle.
Sir Philip Hampton, son président, a estimé que celle-ci réduirait la "volatilité" de son cours, renforçant ainsi la confiance des investisseurs.
Barclays n'était pas en reste, avec 4.59%, Lloyds Banking non plus avec 4.55%, et HSCB Holdings avec 2.34%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières nefaisaient pas de la figuration, Rio Tinto et BHP Billiton gonflant de 2.01 et 2.61%, Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys suivant la tendance avec 1.01 et 3.25%.
Diageo Plc., distillateur des whiskies écossais Johnnie Walker, J&B et Buchanan’s, a progressé de 1.85% après avoir annoncé son intention d'investir dans cette branche.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.76%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.76% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.93%.
L'Allemagne comptait quand à elle dévoiler dans la journée les chiffres de sa production industrielle, et la BCE annoncer sa decision sur les taux, suivie d'une conférence de presse de Mario Draghi, son président, qui traitera de la question ainsi que de perspectives économiques de la région.