Investing.com - Les options sur le brut étaient proches d'un creux des hebdomadaire ce mercredi, la crainte que l'Espagne soit le prochain pays européen à demander une aide extérieure pesant sur la popularité des valeurs risquées.
L'arrivée en fin de journée de l'inventaire crucial des réserves de brut et de produits raffinés établi par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis faisait elle aussi l'objet de toutes les attentions.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 88.17 USD le baril en première partie de séance européenne, laissant échapper 0.4%.
Ils avaient auparavant plongé à 87.81 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.75% de fléchissement, après avoir touché le fond hier à 87.43 USD, leur niveau le plus bas depuis le 16 juillet.
Le taux des obligations décennales espagnoles a établi ce matin un nouveau record à 7.73%, dépassant largement le seuil critique des 7% généralement estimé intenable à long terme pour éviter la faillite, confortant l'hypothèse selon laquelle le pays pourrait devoir chercher une aide extérieure pour le tirer d'affaire.
Le serpent de mer d'un éventuel départ de la Grèce hors du bloc euro refaisait une fois de plus surface, dans la crainte qu'Athènes se retrouve incapable de remplir les conditions dictées par le plan de secours international.
L'agence Moody's a une fois de plus contribué au pessimisme ambiant, en revoyant à la baisse les perspectives de sa note AAA accordée au Fonds de Stabilisation Financière Européen, passant ainsi de "stable" à "négative".
Elle avait fait de même hier avec celles de l'Allemagne, des Pays-Bas et du Luxembourg, tous détenteurs du triple A tant convoité.
Les acteurs du marché pétrolier gardent toujours un oeil sur l'évolution de la crise de la dette de la zone euro, certains d'entre eux redoutant que l'aggravation de la crise de la dette souveraine régionale ne déclenche un ralentissement économique général, qui pourrait entraîner un apaisement de la voracité pétrolière.
Certains redoutent que l'aggravation de la crise de la dette souveraine régionale ne déclenche un ralentissement économique général, qui pourrait entraîner un apaisement de la voracité envers l'or noir.
Ils guetteront aussi l'arrivée dans la journée de la mesure très attendue du volume des réserves américaines d'or noir et de ses dérivés, élaborée par les autorités nationales, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celle-ci pourrait montrer qu'elles ont fondu la semaine dernière de 650 000 barils.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé le leur après la clôture des échanges d'hier, signalant une augmentation de 1.35 millions de barils pour la période considérée, prenant à revers les experts envisageant une réduction de 650 000.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont reculé de 0.25% pour chuter à 103.16 USD du baril dans le même temps, soit 14.99 USD de mieux que leurs homologues américaines.
L'arrivée en fin de journée de l'inventaire crucial des réserves de brut et de produits raffinés établi par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis faisait elle aussi l'objet de toutes les attentions.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 88.17 USD le baril en première partie de séance européenne, laissant échapper 0.4%.
Ils avaient auparavant plongé à 87.81 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.75% de fléchissement, après avoir touché le fond hier à 87.43 USD, leur niveau le plus bas depuis le 16 juillet.
Le taux des obligations décennales espagnoles a établi ce matin un nouveau record à 7.73%, dépassant largement le seuil critique des 7% généralement estimé intenable à long terme pour éviter la faillite, confortant l'hypothèse selon laquelle le pays pourrait devoir chercher une aide extérieure pour le tirer d'affaire.
Le serpent de mer d'un éventuel départ de la Grèce hors du bloc euro refaisait une fois de plus surface, dans la crainte qu'Athènes se retrouve incapable de remplir les conditions dictées par le plan de secours international.
L'agence Moody's a une fois de plus contribué au pessimisme ambiant, en revoyant à la baisse les perspectives de sa note AAA accordée au Fonds de Stabilisation Financière Européen, passant ainsi de "stable" à "négative".
Elle avait fait de même hier avec celles de l'Allemagne, des Pays-Bas et du Luxembourg, tous détenteurs du triple A tant convoité.
Les acteurs du marché pétrolier gardent toujours un oeil sur l'évolution de la crise de la dette de la zone euro, certains d'entre eux redoutant que l'aggravation de la crise de la dette souveraine régionale ne déclenche un ralentissement économique général, qui pourrait entraîner un apaisement de la voracité pétrolière.
Certains redoutent que l'aggravation de la crise de la dette souveraine régionale ne déclenche un ralentissement économique général, qui pourrait entraîner un apaisement de la voracité envers l'or noir.
Ils guetteront aussi l'arrivée dans la journée de la mesure très attendue du volume des réserves américaines d'or noir et de ses dérivés, élaborée par les autorités nationales, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celle-ci pourrait montrer qu'elles ont fondu la semaine dernière de 650 000 barils.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé le leur après la clôture des échanges d'hier, signalant une augmentation de 1.35 millions de barils pour la période considérée, prenant à revers les experts envisageant une réduction de 650 000.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont reculé de 0.25% pour chuter à 103.16 USD du baril dans le même temps, soit 14.99 USD de mieux que leurs homologues américaines.