Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en léger recul ce mercredi, les observateurs guettant la révélation de performances américaines ainsi que le compte-rendu de la dernière prise de cap de la Réserve Fédérale, tandis que le moral fléchissait quelque peu à l'orée des négociations européennes de la semaine.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.28%.
La prudence reste de mise, alors que Jean-Claude Juncker, premier ministre du Luxembourg et chef du groupe des ministres des finances de la zone euro, était attendu aujourd'hui à Athènes afin de discuter avec son homologue grec Antonis Samaras à propos de sa demande de deux ans d'extension de son programme d'ajustement fiscal.
Celui-ci devrait ensuite se rendre à Berlin et Paris en fin de semaine, après que le président français François Hollande et la chancelière allemande Angela Merkel se soient rencontrés demain dans la capitale germanique.
L'attention se concentrera aussi cet après-midi sur la publication procès-verbal du conseil de la Réserve Fédérale tenu en août, en quête d'éclaircissements sur l'hypothèse d'un coup de pouce supplémentaire de sa part.
La technologie était attendue sur le devant de la scène, le géant de l'assemblage informatique qu'est Dell ayant dégringolé de 4.54% aprèss la clôture après avoir revu ses perspectives de bénéfices pour l'année à la baisse de 20% en raison de la diminution de la demande pour les ordinateurs personnels.
Apple était également sous les feux de l'actualité, ayant continué à grimper hier après être devenu l'entreprise publiquement cotée à la valeur la plus élevée de tous les temps après avoir culminé la veille à 665.15 USD, et prenant 0.16% en pré-ouverture.
Le guerre juridique entre la firme à la pomme et son rival sud-coréen Samsung Electronics a une fois de plus attiré l'attention des médias, après qu'il ait été révélé que les membres du jury du procès les opposant devaient répondre à plus de 600 questions afin de remplir leur formulaire de verdict.
Du côté d'Internet, Facebook, le géant des réseaux sociaux, poursuivait sa descente aux enfers, après qu'il ait été révélé que son directeur Peter Thiel avait vendu la semaine dernière pour environ 400 millions d'USD de ses actions, liquidant ainsi la majeure partie de sa participation.
Un sursaut de Toll Brothers semblait d'autre part au menu, le constructeur de logements de luxe ayant annoncé des bénéfices supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre, grâce à des rentrées plus importantes, engrangeant 1.38% avant les premiers échanges.
Un article de l'agence de presse Bloomberg affirmait que le marché de l'immobilier neuf des Etats-Unis commençait à se remettre, grâce à des taux d'emprunt à leur plus bas niveau historique et au manque de logements d'occasion, poussant à envisager de s'adresser aux bâtisseurs.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de plus divulguer dans l'après-midi leur volume des ventes de logements d'occasion, qui donnera ainsi des indications plus précises sur la vigueur de la relance dans ce domaine.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.51%, le CAC 40 français de 0.42%, le DAX 30 allemand de 0.71% et le FTSE 100 britannique de 0.97%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 1.06%, et le Nikkei 225 japonais de 0.27%.
Le volume des transactions semblait devoir demeurer limité, bon nombre d'opérateurs se trouvant encore en vacances d'été.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.28%.
La prudence reste de mise, alors que Jean-Claude Juncker, premier ministre du Luxembourg et chef du groupe des ministres des finances de la zone euro, était attendu aujourd'hui à Athènes afin de discuter avec son homologue grec Antonis Samaras à propos de sa demande de deux ans d'extension de son programme d'ajustement fiscal.
Celui-ci devrait ensuite se rendre à Berlin et Paris en fin de semaine, après que le président français François Hollande et la chancelière allemande Angela Merkel se soient rencontrés demain dans la capitale germanique.
L'attention se concentrera aussi cet après-midi sur la publication procès-verbal du conseil de la Réserve Fédérale tenu en août, en quête d'éclaircissements sur l'hypothèse d'un coup de pouce supplémentaire de sa part.
La technologie était attendue sur le devant de la scène, le géant de l'assemblage informatique qu'est Dell ayant dégringolé de 4.54% aprèss la clôture après avoir revu ses perspectives de bénéfices pour l'année à la baisse de 20% en raison de la diminution de la demande pour les ordinateurs personnels.
Apple était également sous les feux de l'actualité, ayant continué à grimper hier après être devenu l'entreprise publiquement cotée à la valeur la plus élevée de tous les temps après avoir culminé la veille à 665.15 USD, et prenant 0.16% en pré-ouverture.
Le guerre juridique entre la firme à la pomme et son rival sud-coréen Samsung Electronics a une fois de plus attiré l'attention des médias, après qu'il ait été révélé que les membres du jury du procès les opposant devaient répondre à plus de 600 questions afin de remplir leur formulaire de verdict.
Du côté d'Internet, Facebook, le géant des réseaux sociaux, poursuivait sa descente aux enfers, après qu'il ait été révélé que son directeur Peter Thiel avait vendu la semaine dernière pour environ 400 millions d'USD de ses actions, liquidant ainsi la majeure partie de sa participation.
Un sursaut de Toll Brothers semblait d'autre part au menu, le constructeur de logements de luxe ayant annoncé des bénéfices supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre, grâce à des rentrées plus importantes, engrangeant 1.38% avant les premiers échanges.
Un article de l'agence de presse Bloomberg affirmait que le marché de l'immobilier neuf des Etats-Unis commençait à se remettre, grâce à des taux d'emprunt à leur plus bas niveau historique et au manque de logements d'occasion, poussant à envisager de s'adresser aux bâtisseurs.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de plus divulguer dans l'après-midi leur volume des ventes de logements d'occasion, qui donnera ainsi des indications plus précises sur la vigueur de la relance dans ce domaine.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.51%, le CAC 40 français de 0.42%, le DAX 30 allemand de 0.71% et le FTSE 100 britannique de 0.97%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 1.06%, et le Nikkei 225 japonais de 0.27%.
Le volume des transactions semblait devoir demeurer limité, bon nombre d'opérateurs se trouvant encore en vacances d'été.