Investing.com - Les options sur l'or on conclu la semaine en fanfare, au plus haut depuis la fin février, après que les chiffres décevants de l'emploi américain aient ravivé l'attente d'une nouvelle série d'accomodements de la part de la Réserve Fédérale.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 735.45 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, leur meilleure valeur depuis le 29 février.
Ils auront ainsi engrangé 2.52% hebdomadaires au cours de leur troisième semaine de progression d'affilée.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 685.35 USD, leur plancher du 3 septembre, et rencontrer de la résistance à 1 761.35 USD, leur plafond du 20 février.
Ils ont en effet bondi de plus de 2% ce jour-là, suite à la révélation par le département d'état au travail des Etats-Unis que l'économie nationale avait créé 96 000 emplois en août, soit nettement moins que les 125 000 espérés après les 141 000 après révision à la baisse de juillet.
Le taux de chômage est quand à lui tombé de 8.3 à 8.1%, un recul attribué à des départs de chômeurs hors de la population active.
Cette information peu enthousiasmante a du coup remis la possibilité de relancer les assouplissements quantitatifs sur le devant de la scène de la part de la banque centrale du pays à l'orée de sa prochaine prise de cap, débutant le 12 septembre, afin de ragaillardir la croissance de celui-ci.
Lors du symposium annuel de Jackson Hole, dans le Wyoming, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait déclaré au cours de la semaine écoulée que la persistance d'un fort taux de chômage était source de "graves inquiétudes" et que l'institution procèderait à autant d'accomodements que nécessaire pour renflouer la relance.
Les évolutions du métal précieux constatées cette année ont largement suivi les espérances variables d'utilisation éventuelle de la planche à billets par celle-ci pour remplumer leur système financier.
Ce résultat médiocre a également déclenché une vague de ventes du billet vert, ayant encore amplifié cette ascension, l'or ayant souvent tendance à monter quand celui-ci, avec lequel il est libellé, descend, le rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de plus de 1% vendredi pour conclure la semaine à 80.35, son plus bas niveau depuis le 10 mai.
Ces nouvelles survenaient au lendemain de l'annonce par la Banque Centrale Européenne des détails de son programme d'achat d'obligations destiné à juguler la crise de la dette régionale, dénommé "Transactions Monétaires Directes".
Mario Draghi, son président, a ainsi déclaré lors de sa conférence de presse post-réunion de jeudi que celui-ci fournirait une "butée pleinement efficace" contre la volatilité des marchés.
La BCE acquerrait au sein de son cadre des quantités illimitées de bons du trésor pouvant courir jusqu'à trois ans, du moment que le pays émetteur aura accepté les termes du plan TMD, acceptant de procéder à des réformes économiques en échange de son aide.
Le taux des emprunts décennaux espagnols s'est du coup retrouvé à 5.63% le lendemain, passant sous la barre de 6% pour la première fois depuis mai, tandis que ceux de l'Italie glissaient à 5.05%.
Les résultats de la rencontre des décideurs de la Fed, prévus jeudi, seront au centre des débats de la semaine, en raison des spéculations sur leur propension à procéder à des injections de liquidités.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande à propos de la conformité ou non du Mécanisme Européen de Stabilité avec la loi fondamentale germanique.
La période entamée le 15 août a vu les cours rebondir de près de 8%, en raison de l'espoir grandissant de mesures stimulatrices supplémentaires de la part des décideurs des Etats-Unis, d'Europe et de Chine afin de stimuler leurs économies respectives.
Les signes avant-coureurs d'apports de capitaux sont généralement bénéfiques pour le métal jaune, celui-ci étant considéré comme un accumulateur de valeur sûr, et un rempart contre l'inflation.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs raflé 5.8% pour grimper à 33.72 USD de l'once, un sommet à une altitude jamais vue depuis le 14 mai.
Celles sur le cuivre à échéance identique se sont envolées de 5.1% pour se retrouver à 3.645 USD la livre dans le même temps, leur plus haut sommet depuis la journée déjà évoquée.
La journée de vendredi avait été le théâtre d'une ascension de plus de 3.5% de leur part, aprè que les autorités chinoises aient donné leur feu vert à 157 milliards d'USD de grands travaux, afin de donner un coup de fouet à l'économie nationale.
Le pays garde sa première part mondiale des besoins en métal rouge de la planète, avec près de 40% l'année dernière.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 735.45 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, leur meilleure valeur depuis le 29 février.
Ils auront ainsi engrangé 2.52% hebdomadaires au cours de leur troisième semaine de progression d'affilée.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 685.35 USD, leur plancher du 3 septembre, et rencontrer de la résistance à 1 761.35 USD, leur plafond du 20 février.
Ils ont en effet bondi de plus de 2% ce jour-là, suite à la révélation par le département d'état au travail des Etats-Unis que l'économie nationale avait créé 96 000 emplois en août, soit nettement moins que les 125 000 espérés après les 141 000 après révision à la baisse de juillet.
Le taux de chômage est quand à lui tombé de 8.3 à 8.1%, un recul attribué à des départs de chômeurs hors de la population active.
Cette information peu enthousiasmante a du coup remis la possibilité de relancer les assouplissements quantitatifs sur le devant de la scène de la part de la banque centrale du pays à l'orée de sa prochaine prise de cap, débutant le 12 septembre, afin de ragaillardir la croissance de celui-ci.
Lors du symposium annuel de Jackson Hole, dans le Wyoming, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait déclaré au cours de la semaine écoulée que la persistance d'un fort taux de chômage était source de "graves inquiétudes" et que l'institution procèderait à autant d'accomodements que nécessaire pour renflouer la relance.
Les évolutions du métal précieux constatées cette année ont largement suivi les espérances variables d'utilisation éventuelle de la planche à billets par celle-ci pour remplumer leur système financier.
Ce résultat médiocre a également déclenché une vague de ventes du billet vert, ayant encore amplifié cette ascension, l'or ayant souvent tendance à monter quand celui-ci, avec lequel il est libellé, descend, le rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de plus de 1% vendredi pour conclure la semaine à 80.35, son plus bas niveau depuis le 10 mai.
Ces nouvelles survenaient au lendemain de l'annonce par la Banque Centrale Européenne des détails de son programme d'achat d'obligations destiné à juguler la crise de la dette régionale, dénommé "Transactions Monétaires Directes".
Mario Draghi, son président, a ainsi déclaré lors de sa conférence de presse post-réunion de jeudi que celui-ci fournirait une "butée pleinement efficace" contre la volatilité des marchés.
La BCE acquerrait au sein de son cadre des quantités illimitées de bons du trésor pouvant courir jusqu'à trois ans, du moment que le pays émetteur aura accepté les termes du plan TMD, acceptant de procéder à des réformes économiques en échange de son aide.
Le taux des emprunts décennaux espagnols s'est du coup retrouvé à 5.63% le lendemain, passant sous la barre de 6% pour la première fois depuis mai, tandis que ceux de l'Italie glissaient à 5.05%.
Les résultats de la rencontre des décideurs de la Fed, prévus jeudi, seront au centre des débats de la semaine, en raison des spéculations sur leur propension à procéder à des injections de liquidités.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande à propos de la conformité ou non du Mécanisme Européen de Stabilité avec la loi fondamentale germanique.
La période entamée le 15 août a vu les cours rebondir de près de 8%, en raison de l'espoir grandissant de mesures stimulatrices supplémentaires de la part des décideurs des Etats-Unis, d'Europe et de Chine afin de stimuler leurs économies respectives.
Les signes avant-coureurs d'apports de capitaux sont généralement bénéfiques pour le métal jaune, celui-ci étant considéré comme un accumulateur de valeur sûr, et un rempart contre l'inflation.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs raflé 5.8% pour grimper à 33.72 USD de l'once, un sommet à une altitude jamais vue depuis le 14 mai.
Celles sur le cuivre à échéance identique se sont envolées de 5.1% pour se retrouver à 3.645 USD la livre dans le même temps, leur plus haut sommet depuis la journée déjà évoquée.
La journée de vendredi avait été le théâtre d'une ascension de plus de 3.5% de leur part, aprè que les autorités chinoises aient donné leur feu vert à 157 milliards d'USD de grands travaux, afin de donner un coup de fouet à l'économie nationale.
Le pays garde sa première part mondiale des besoins en métal rouge de la planète, avec près de 40% l'année dernière.