Investing.com - L'euro s'est hissé au plus haut des neuf mois écoulés face à la livre sterling ce lundi, bénéficiant des espoirs de redresseent là où il a cours, alors que son adversaire subissait au contraire le spectre d'un nouveau déclin.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8303 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 4 avril, puis s'est stabilisée vers 0.8298, gagnant 0.33%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8276, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 0.8357, son plafond du 3 avril.
La monnaie unique poursuivait son ascension entamée jeudi, après que Mario Draghi, à la tête de la Banque Centrale Européenne, ait prédit qu'une reprise économique progressive débuterait cette année là où elle a cours.
Elle n'a guère fait cas de l'étude officielle déplorant à la mi-journée un faux pas de 0.03% de la production industrielle de la région l'ayant adoptée pour novembre, reculant ainsi pour le troisième mois d'affilée alors qu'un frémissement de 0.1% était espéré.
La devise de la Grande-Bretagne restait quand à elle fragilisée après qu'une série de résultats nationaux décevants ait ravivé les angoisses d'un retour en récession au quatrième trimestre.
Son homologue européenne se maintenait par ailleurs aux abords d'un sommet de onze mois contre le billet vert, l'EUR/USD prenant 0.25% pour grimper à 1.3376 et d'un autre de vingt mois par rapport au yen, l'EUR/JPY engrangeant 0.42% pour culminer à 119.48.
L'attente de mesures agressives de la part de la Banque du Japon s'est renforcée hier, après que Shinzo Abe, premier ministre nippon sur le retour, ait déclaré que que celle-ci devait établir à moyen terme une cible claire à 2% d'augmentation des prix à l'année.
Les yeux étaient aussi braqués vers le discours que Ben Bernanke, à la tête de l'autorité monétaire américiane, devrait prononcer cet après-midi au sujet de sa politique et de la relance après la crise financière, et qui devrait vraisemblablement faire taire les rumeurs d'une interruption prématurée du programme d'assouplissements quantitatifs.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8303 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 4 avril, puis s'est stabilisée vers 0.8298, gagnant 0.33%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8276, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 0.8357, son plafond du 3 avril.
La monnaie unique poursuivait son ascension entamée jeudi, après que Mario Draghi, à la tête de la Banque Centrale Européenne, ait prédit qu'une reprise économique progressive débuterait cette année là où elle a cours.
Elle n'a guère fait cas de l'étude officielle déplorant à la mi-journée un faux pas de 0.03% de la production industrielle de la région l'ayant adoptée pour novembre, reculant ainsi pour le troisième mois d'affilée alors qu'un frémissement de 0.1% était espéré.
La devise de la Grande-Bretagne restait quand à elle fragilisée après qu'une série de résultats nationaux décevants ait ravivé les angoisses d'un retour en récession au quatrième trimestre.
Son homologue européenne se maintenait par ailleurs aux abords d'un sommet de onze mois contre le billet vert, l'EUR/USD prenant 0.25% pour grimper à 1.3376 et d'un autre de vingt mois par rapport au yen, l'EUR/JPY engrangeant 0.42% pour culminer à 119.48.
L'attente de mesures agressives de la part de la Banque du Japon s'est renforcée hier, après que Shinzo Abe, premier ministre nippon sur le retour, ait déclaré que que celle-ci devait établir à moyen terme une cible claire à 2% d'augmentation des prix à l'année.
Les yeux étaient aussi braqués vers le discours que Ben Bernanke, à la tête de l'autorité monétaire américiane, devrait prononcer cet après-midi au sujet de sa politique et de la relance après la crise financière, et qui devrait vraisemblablement faire taire les rumeurs d'une interruption prématurée du programme d'assouplissements quantitatifs.