Investing.com - Les bourses européennes se sont accrochées ce lundi après-midi, à l'approche de la prise de parole très attendue du chef de la Réserve Fédérale.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.28%, le CAC 40 français de 0.51%, et le DAX 30 allemand de 0.61%.
Les yeux étaient en effet braqués vers le discours que Ben Bernanke, à la tête de l'autorité monétaire américiane, devrait prononcer cet après-midi au sujet de sa politique et de la relance après la crise financière, et qui devrait vraisemblablement faire taire les rumeurs d'une interruption prématurée du programme d'assouplissements quantitatifs.
La confiance restait soutenue par l'espoir que la situation de la zone euro se stabilise, Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, ayant fait écho ce matin aux propos allant dans ce sens tenus la semaine passée par Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne.
La finance restait en tête de peloton, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.57 et 3.98%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.94 et 1.89%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo s'élevant de 1.03 et 0.6%, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.91 et 0.13%.
Le Swatch Group a pour sa part engrangé 2.88% après avoir annoncé l'acquisition de la marque de montres et de bijoux Harry winston, pour environ 1 milliard d'USD.
Mais tout n'était pas rose, TNT Express s'effondrant de 41.25% après qu'United Parcel Service Inc. ait avoué s'attendre à ce que les autorités de la concurrence l'empêchent d'en prendre le contrôle.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a conquis 0.15%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La City s'était rassemblée sur le front, Barclays s'améliorant de 0.12%, HSBC Holdings de 0.38, surpassés par la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking avec 2.12 et 2.52%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 1.23 et 0.46%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys restant par contre en retrait de 0.26 et 1.18%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur un passage à vide de 0.36%.
La zone euro comptait pour sa part dévoiler aujourd'hui le volume de sa production industrielle.
Une étude officielle a d'autre part déploré à la mi-journée un faux pas de 0.03% de la production industrielle de la zone euro pour novembre, alors qu'un frémissement de 0.1% était espéré, suite au passage à vide de 1% du mois précédent.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.28%, le CAC 40 français de 0.51%, et le DAX 30 allemand de 0.61%.
Les yeux étaient en effet braqués vers le discours que Ben Bernanke, à la tête de l'autorité monétaire américiane, devrait prononcer cet après-midi au sujet de sa politique et de la relance après la crise financière, et qui devrait vraisemblablement faire taire les rumeurs d'une interruption prématurée du programme d'assouplissements quantitatifs.
La confiance restait soutenue par l'espoir que la situation de la zone euro se stabilise, Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, ayant fait écho ce matin aux propos allant dans ce sens tenus la semaine passée par Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne.
La finance restait en tête de peloton, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.57 et 3.98%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.94 et 1.89%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo s'élevant de 1.03 et 0.6%, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.91 et 0.13%.
Le Swatch Group a pour sa part engrangé 2.88% après avoir annoncé l'acquisition de la marque de montres et de bijoux Harry winston, pour environ 1 milliard d'USD.
Mais tout n'était pas rose, TNT Express s'effondrant de 41.25% après qu'United Parcel Service Inc. ait avoué s'attendre à ce que les autorités de la concurrence l'empêchent d'en prendre le contrôle.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a conquis 0.15%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La City s'était rassemblée sur le front, Barclays s'améliorant de 0.12%, HSBC Holdings de 0.38, surpassés par la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking avec 2.12 et 2.52%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 1.23 et 0.46%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys restant par contre en retrait de 0.26 et 1.18%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur un passage à vide de 0.36%.
La zone euro comptait pour sa part dévoiler aujourd'hui le volume de sa production industrielle.
Une étude officielle a d'autre part déploré à la mi-journée un faux pas de 0.03% de la production industrielle de la zone euro pour novembre, alors qu'un frémissement de 0.1% était espéré, suite au passage à vide de 1% du mois précédent.