Investing.com - Les bourses européennes étaient plutôt moroses ce jeudi matin, la nervosité étant palpable suite à la diffusion de statistiques de France, d'Allemagne et d'Espagne, bien que celles de la Chine aient contribué à éclaircir l'atmosphère.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.25%, le CAC 40 français de 0.09%, et le DAX 30 allemand de 0.26%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet révélé que son indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers germaniques était remonté de 46 vers 48.8 pour janvier, son plus haut niveau en onze mois.
Son équivalent d'outre-Rhin a par contre reculé depuis les 44.6 finaux de décembre pour descendre à 42.9 pour la même période.
Il était aussi à signaler que le chômage espagnol avait bondi de 25.02 vers 26.02% pour le quatrième trimestre, ne dépassant toutefois que légèrement les 26% redoutés.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectivement échapper 0.47 et 0.06%, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank étant encore moins bien lotis avec 2.02 et 1.33%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que le troisième se préparait à supprimer entre 4 000 et 6 000 emplois au cours des quatre années à venir, afin de réduire ses coûts et remplir ses objectifs de bénéfices.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit fondant de 0.89 et 0.58%, les espagnols Banco Santander et BBVA limitant les dégâts à 0.13 et 0.31%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.11%, tiré vers le haut par des extracteur et des exploitants en forme.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, avait en effet le sourire, raflant 0.55%, son rival BP se contentant de 0.03%.
Le mastodonte minier Rio Tinto leur emboîtait le pas avec 0.51%, et le cuivrier Xstrata aussi avec 0.48%, tandis que leurs concurrents Eurasian Natural Resources et Evraz s'effondraient de 0.95 et 0.92%.
La City suivait l'exemple du continent, Lloyds Banking faisant un faux pas de 0.17%, et HSBC Holdings de même avec 0.18%, tandis que la Royal Bank of Scotland se repliait de 0.29% et Barclays de 0.31%.
Easyjet était par contre en grande forme, raflant 3.45% après avoir revendiqué une augmentation de son chiffre d'affaires du premier trimestre fiscal.
Les perspectives des marchés américains évoluaient elles aussi en rangs dispersés: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.02%, celles sur le S&P 500 redoutant 0.29% de pertes et celles sur le Nasdaq 100 envisageant un effondrement de 1.33%.
Il avait d'autre part été annoncé à l'aube que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers établi par HSBC pour la Chine était remonté depuis une valeur finale de 51.5 jusqu'à 51.9 pour ce mois-ci, son plus haut niveau en deux ans, confirmant les autre signaux positifs émis par la seconde économie mondiale.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre dans l'après-midi leur décompte hebdomadaire des demandeurs d'emploi nouvellement inscrits.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.25%, le CAC 40 français de 0.09%, et le DAX 30 allemand de 0.26%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet révélé que son indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers germaniques était remonté de 46 vers 48.8 pour janvier, son plus haut niveau en onze mois.
Son équivalent d'outre-Rhin a par contre reculé depuis les 44.6 finaux de décembre pour descendre à 42.9 pour la même période.
Il était aussi à signaler que le chômage espagnol avait bondi de 25.02 vers 26.02% pour le quatrième trimestre, ne dépassant toutefois que légèrement les 26% redoutés.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectivement échapper 0.47 et 0.06%, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank étant encore moins bien lotis avec 2.02 et 1.33%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que le troisième se préparait à supprimer entre 4 000 et 6 000 emplois au cours des quatre années à venir, afin de réduire ses coûts et remplir ses objectifs de bénéfices.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit fondant de 0.89 et 0.58%, les espagnols Banco Santander et BBVA limitant les dégâts à 0.13 et 0.31%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.11%, tiré vers le haut par des extracteur et des exploitants en forme.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, avait en effet le sourire, raflant 0.55%, son rival BP se contentant de 0.03%.
Le mastodonte minier Rio Tinto leur emboîtait le pas avec 0.51%, et le cuivrier Xstrata aussi avec 0.48%, tandis que leurs concurrents Eurasian Natural Resources et Evraz s'effondraient de 0.95 et 0.92%.
La City suivait l'exemple du continent, Lloyds Banking faisant un faux pas de 0.17%, et HSBC Holdings de même avec 0.18%, tandis que la Royal Bank of Scotland se repliait de 0.29% et Barclays de 0.31%.
Easyjet était par contre en grande forme, raflant 3.45% après avoir revendiqué une augmentation de son chiffre d'affaires du premier trimestre fiscal.
Les perspectives des marchés américains évoluaient elles aussi en rangs dispersés: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.02%, celles sur le S&P 500 redoutant 0.29% de pertes et celles sur le Nasdaq 100 envisageant un effondrement de 1.33%.
Il avait d'autre part été annoncé à l'aube que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers établi par HSBC pour la Chine était remonté depuis une valeur finale de 51.5 jusqu'à 51.9 pour ce mois-ci, son plus haut niveau en deux ans, confirmant les autre signaux positifs émis par la seconde économie mondiale.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre dans l'après-midi leur décompte hebdomadaire des demandeurs d'emploi nouvellement inscrits.