Investing.com - Les bourses européennes étaient partagées ce jeudi matin, dans le sillage des chiffres de l'emploi espagnol, dans l'attente d'une diminution des taux régionaux.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,37%, et le CAC 40 français de 0,22%, mais le DAX 30 allemand grignotait 0,01%.
Une étude officielle a en effet montré que le taux de chômage de l'Espagne avait grimpé depuis 26,0 vers 27,2% pour le premier trimestre, au lieu des 26,5% déjà redoutés.
Les rumeurs de rabaissement des taux de le Banque Centrale Européenne s'étaient trouvées renforcées mardi par les mauvais résultats allemands du début de semaine, alimentant les inquiétudes au sujet de la première économie du bloc.
La finance était en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank chutant respectivement de 1,49 et 0,15%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 0,24 et 0,49%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 2,85 et 1,23%, l'italien Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,41%.
Tout n'était cependant pas désespéré, le constructeur automobile suédois Volvo accélérant de 3,10%, se réjouissant de 11% de commandes de camions supplémentaires, pour un total de 61.045 au premier trimestre, et des bénéfices opérationnels de 73 millions d'USD sur la même période, se situant cependant au-dessous des projections.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,19%, tiré vers le haut par des exploitants en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 1,52 et 1,14%, leurs rivaux Polymetal et Randgold Resources les dépassant avec 2,37 et 4,16%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste avec 3,89 et 1,26%.
La City tenait majoritairement son rang, Lloyds Banking arrachant 0,19%, HSBC Holdings 0,21% et la Royal Bank of Scotland 0,52%, alors que Barclays décevait avec un faux pas de 0,06%.
Unilever, spécialiste des produits ménagers, glissait de 2,12% après avoir déploré la plus faible croissance de ses revenus en deux ans.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,06% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,10%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,37%, et le CAC 40 français de 0,22%, mais le DAX 30 allemand grignotait 0,01%.
Une étude officielle a en effet montré que le taux de chômage de l'Espagne avait grimpé depuis 26,0 vers 27,2% pour le premier trimestre, au lieu des 26,5% déjà redoutés.
Les rumeurs de rabaissement des taux de le Banque Centrale Européenne s'étaient trouvées renforcées mardi par les mauvais résultats allemands du début de semaine, alimentant les inquiétudes au sujet de la première économie du bloc.
La finance était en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank chutant respectivement de 1,49 et 0,15%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 0,24 et 0,49%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 2,85 et 1,23%, l'italien Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,41%.
Tout n'était cependant pas désespéré, le constructeur automobile suédois Volvo accélérant de 3,10%, se réjouissant de 11% de commandes de camions supplémentaires, pour un total de 61.045 au premier trimestre, et des bénéfices opérationnels de 73 millions d'USD sur la même période, se situant cependant au-dessous des projections.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,19%, tiré vers le haut par des exploitants en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 1,52 et 1,14%, leurs rivaux Polymetal et Randgold Resources les dépassant avec 2,37 et 4,16%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste avec 3,89 et 1,26%.
La City tenait majoritairement son rang, Lloyds Banking arrachant 0,19%, HSBC Holdings 0,21% et la Royal Bank of Scotland 0,52%, alors que Barclays décevait avec un faux pas de 0,06%.
Unilever, spécialiste des produits ménagers, glissait de 2,12% après avoir déploré la plus faible croissance de ses revenus en deux ans.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,06% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,10%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.