Investing.com - Le dollar australien a sombré jusqu'à un creux de 11 mois face à son homologué américain ce mercredi matin, à la suite de contre-performances du pays où il a cours, sur fond de renouvellement des inquiétudes au sujet de la croissance de la zone euro.
La paire AUD/USD est descendue jusqu'à 0,9884 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0,9873, tout de même 0,17%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9878, son plancher de 11 mois établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1,0004, son plafond de mardi.
Un étude officielle a en effet annoncé à l'aube que les ventes de véhicules neufs de l'Australie avaient plongé de 1,6% le mois passé, aggravant les 0,5% précédemment enregistrés.
Il a d'autre part été signalé que l'indice des salaires nationaux s'était amélioré de seulement 0,7% au cours des trois premiers mois de l'année, au lieu des 0,8% pressentis pour continuer dans la direction des 0,8% enregistrés entre début octobre et fin décembre.
La nervosité était palpable après que les premières évaluations aient montré que le produit intérieur brut de l'Allemagne a moins augmenté au premier trimestre qu'espéré, frémissant de 0,1% après avoir sombré de 0,7% lors du précédent, alors que les experts pensaient le voir gonfler de 0,3%.
Il aurait du coup diminué de 1,7% d'une année sur l'autre, une déception par rapport au frémissement de 0,2% attendu, après avoir arraché 0,1% pour les trois derniers mois de l'année.
Il était aussi à noter que celui de la France s'était rétracté de 0,2% entre début janvier et fin mars, au lieu des 0,1% déjà redoutés à la suite des 0,2% subis auparavant.
La popularité du billet vert continuait cependant à profiter des rumeurs saugrenues de fin à court terme du programme d'acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale au vu des signes d'amélioration de l'économie dont elle a la charge.
La devise du Pacifique Sud a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/AUD trébuchant de 0,04% pour glisser à 1,3062.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur inflation des prix d'usine, leur production industrielle, le taux d'utilisation des capacités et un rapport sur l'activité du secteur secondaire de la région de New York.
La paire AUD/USD est descendue jusqu'à 0,9884 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0,9873, tout de même 0,17%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9878, son plancher de 11 mois établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1,0004, son plafond de mardi.
Un étude officielle a en effet annoncé à l'aube que les ventes de véhicules neufs de l'Australie avaient plongé de 1,6% le mois passé, aggravant les 0,5% précédemment enregistrés.
Il a d'autre part été signalé que l'indice des salaires nationaux s'était amélioré de seulement 0,7% au cours des trois premiers mois de l'année, au lieu des 0,8% pressentis pour continuer dans la direction des 0,8% enregistrés entre début octobre et fin décembre.
La nervosité était palpable après que les premières évaluations aient montré que le produit intérieur brut de l'Allemagne a moins augmenté au premier trimestre qu'espéré, frémissant de 0,1% après avoir sombré de 0,7% lors du précédent, alors que les experts pensaient le voir gonfler de 0,3%.
Il aurait du coup diminué de 1,7% d'une année sur l'autre, une déception par rapport au frémissement de 0,2% attendu, après avoir arraché 0,1% pour les trois derniers mois de l'année.
Il était aussi à noter que celui de la France s'était rétracté de 0,2% entre début janvier et fin mars, au lieu des 0,1% déjà redoutés à la suite des 0,2% subis auparavant.
La popularité du billet vert continuait cependant à profiter des rumeurs saugrenues de fin à court terme du programme d'acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale au vu des signes d'amélioration de l'économie dont elle a la charge.
La devise du Pacifique Sud a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/AUD trébuchant de 0,04% pour glisser à 1,3062.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur inflation des prix d'usine, leur production industrielle, le taux d'utilisation des capacités et un rapport sur l'activité du secteur secondaire de la région de New York.