Investing.com - Le dollar U.S. a pris l'avantage sur le yen ce mercredi matin, aux abords d'un sommet pluriannuel dans l'expectative des résultats américains prévus cet après-midi, sur fond de bruits peu crédibles selon lesquels son émettrice pourait réduire la voilure de son programme d'accommodements en raison de belles performances.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 102,61 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé en quatre ans et demi, puis s'est stabilisée vers 102,49, grignotant 0,08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 101,26, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 102,61, son plafond du jour.
La popularité du billet vert continuait en effet à profiter des rumeurs saugrenues de fin à court terme du programme d'acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale au vu des signes d'amélioration de l'économie dont elle a la charge.
Des informations émanant des autorités du Japon avaient souligné à l'aube que l'activité du secteur tertiaire du pays avait plongé de 1,3% en mars, soit nettement plus que les 0,6% qui étaient craints, après avoir pourtant connu un sursaut de 1,2% en février.
La devise nippone a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY dérapant de 0,07% pour glisser à 132,23.
Celui-i se trouvait fragilisé après que les premières évaluations aient montré que le produit intérieur brut de l'Allemagne a moins augmenté au premier trimestre qu'espéré, frémissant de 0,1% après avoir sombré de 0,7% lors du précédent, alors que les experts pensaient le voir gonfler de 0,3%.
Il aurait du coup diminué de 1,7% d'une année sur l'autre, une déception par rapport au frémissement de 0,2% attendu, après avoir arraché 0,1% pour les trois derniers mois de l'année.
Il était aussi à noter que celui de la France s'était rétracté de 0,2% entre début janvier et fin mars, au lieu des 0,1% déjà redoutés à la suite des 0,2% subis auparavant.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur inflation des prix d'usine, leur production industrielle, le taux d'utilisation des capacités et un rapport sur l'activité du secteur secondaire de la région de New York.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 102,61 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé en quatre ans et demi, puis s'est stabilisée vers 102,49, grignotant 0,08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 101,26, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 102,61, son plafond du jour.
La popularité du billet vert continuait en effet à profiter des rumeurs saugrenues de fin à court terme du programme d'acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale au vu des signes d'amélioration de l'économie dont elle a la charge.
Des informations émanant des autorités du Japon avaient souligné à l'aube que l'activité du secteur tertiaire du pays avait plongé de 1,3% en mars, soit nettement plus que les 0,6% qui étaient craints, après avoir pourtant connu un sursaut de 1,2% en février.
La devise nippone a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY dérapant de 0,07% pour glisser à 132,23.
Celui-i se trouvait fragilisé après que les premières évaluations aient montré que le produit intérieur brut de l'Allemagne a moins augmenté au premier trimestre qu'espéré, frémissant de 0,1% après avoir sombré de 0,7% lors du précédent, alors que les experts pensaient le voir gonfler de 0,3%.
Il aurait du coup diminué de 1,7% d'une année sur l'autre, une déception par rapport au frémissement de 0,2% attendu, après avoir arraché 0,1% pour les trois derniers mois de l'année.
Il était aussi à noter que celui de la France s'était rétracté de 0,2% entre début janvier et fin mars, au lieu des 0,1% déjà redoutés à la suite des 0,2% subis auparavant.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur inflation des prix d'usine, leur production industrielle, le taux d'utilisation des capacités et un rapport sur l'activité du secteur secondaire de la région de New York.