Investing.com - Les bourses européennes se sont renforcées ce jeudi après-midi, alors que l'attente d'une diminution des acquisitions de la banque centrale américaine continuait à plomber l'atmosphère.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,91%, le CAC 40 français de 1,07%, et le DAX 30 allemand de 0,83%.
Le décompte des nouvelles inscriptions au chômage américaines devant être dévoilé aujourd'hui est au centre des débats, en raison des bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La nervosité restait palpable en raison des rumeurs selon lesquelles la Banque Centrale Européenne pourrait adopter des taux d'intérêt négatifs pour les dépôts à vue, dans le sillage de propos tenus par ses hauts responsables évoquant cette hypothèse.
La finance gardait la forme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,70%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,19 et 0,64%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,36 et 0,82%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,24 et 1,86%.
Le constructeur automobile Fiat avançait quand à lui de 2,28% après avois calé ce matin, en négociations avec un groupe de banques afin d'acheter les 41,5% de Chrysler détenus par le fonds de pension de l'United Auto Workers et refinancer les dettes des deux collègues.
Parmi les contre-performances, Aéroports de Paris plongeait de 0,28% après que le ministre dse finances français Pierre Moscovici ait fait savoir que son gouvernement comptait en écouler jusqu'à 10 millions de ses actions.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,39%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings grimpait de 0,75%, et Barclays de 0,82%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking étaient en pointe avec 0,97 et 1,74%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaint pas en reste, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 0,04 et 1,50%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,96%, et Fresnillo joignant le peloton de tête avec 4,94%.
Du côté de l'industrie pharmaceutique, le britannique Glaxo voyait fondre son avance du matin en dérapant de 0,81%, bien que les autorités sanitaires américianes aient donné leur feu vert à l'utilisation de ses médicaments Tafinlar et Mekinist sur les patients atteints de mélanomes n'ayant pas encore causé de métastases ou ne pouvant être opérés.
Les perspectives des marchés américains partageaient plus modérément l'optimisme général: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,12%.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec leur volume des ventes de logements en cours.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,91%, le CAC 40 français de 1,07%, et le DAX 30 allemand de 0,83%.
Le décompte des nouvelles inscriptions au chômage américaines devant être dévoilé aujourd'hui est au centre des débats, en raison des bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La nervosité restait palpable en raison des rumeurs selon lesquelles la Banque Centrale Européenne pourrait adopter des taux d'intérêt négatifs pour les dépôts à vue, dans le sillage de propos tenus par ses hauts responsables évoquant cette hypothèse.
La finance gardait la forme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,70%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,19 et 0,64%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,36 et 0,82%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,24 et 1,86%.
Le constructeur automobile Fiat avançait quand à lui de 2,28% après avois calé ce matin, en négociations avec un groupe de banques afin d'acheter les 41,5% de Chrysler détenus par le fonds de pension de l'United Auto Workers et refinancer les dettes des deux collègues.
Parmi les contre-performances, Aéroports de Paris plongeait de 0,28% après que le ministre dse finances français Pierre Moscovici ait fait savoir que son gouvernement comptait en écouler jusqu'à 10 millions de ses actions.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,39%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings grimpait de 0,75%, et Barclays de 0,82%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking étaient en pointe avec 0,97 et 1,74%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaint pas en reste, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 0,04 et 1,50%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,96%, et Fresnillo joignant le peloton de tête avec 4,94%.
Du côté de l'industrie pharmaceutique, le britannique Glaxo voyait fondre son avance du matin en dérapant de 0,81%, bien que les autorités sanitaires américianes aient donné leur feu vert à l'utilisation de ses médicaments Tafinlar et Mekinist sur les patients atteints de mélanomes n'ayant pas encore causé de métastases ou ne pouvant être opérés.
Les perspectives des marchés américains partageaient plus modérément l'optimisme général: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,12%.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec leur volume des ventes de logements en cours.