Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, et notamment son homologue nippon, à l'avant-veille de la réunion de la banque centrale américaine.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,75% pour se hisser à 94,86.
Le couple a repris pied après avoir nettement sombré la semaine passée, dans le sillage de la déception en l'absence de nouvelles mesures de renforcement de la part de la Banque du Japon.
Cet immobilisme, ainsi que la question de l'éventuelle réduction dès cette année des injections de liquidités de la Réserve Fédérale, laissaient craindre une fermeture des vannes des autorités monétaires, causant une vague de frilosité.
L'attention est désormais focalisée sur sa prise de cap de mercredi, sur fond d'incertitudes a sujet du futur de la politique monétaire.
Il n'en était cependant pas de même avec l'euro, l'EUR/USD grignotant 0,02% pour s'élever à 1,3345, aux abords d'un pic de quatre mois.
Les autorités de la zone ayant adopté la monnaie unique avaient auparavant constaté une avancée décevante de l'excédent de sa balance commerciale, avec 16,1 milliards d'euros en avril, les exportations subissant une érosion de 0,8% par rapport au mois précédent, alors que les importations gonflaient de 0,5%.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, frôlant là aussi son plus bas niveau depuis février, le GBP/USD arrachant 0,06% pour frémir à 1,5712.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF avançant de 0,19% pour culminer à 0,9224.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD prenant 0,45% pour se retrouver à 0,9614, le NZD/USD se renforçant de 0,52% pour prendre pied à 0,8083 et l'USD/CAD s'effritant de 0,25% pour glisser à 1,0150.
Une étude émanant de la banque Westpac avait souligné ce matin que son indice du moral des ménages de Nouvelle-Zélande était avait bondi depuis 110,8 vers 116,6 pour le second trimestre, son niveau le plus élevé depuis juin 2010.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,08% pour se situer à 80,89.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,75% pour se hisser à 94,86.
Le couple a repris pied après avoir nettement sombré la semaine passée, dans le sillage de la déception en l'absence de nouvelles mesures de renforcement de la part de la Banque du Japon.
Cet immobilisme, ainsi que la question de l'éventuelle réduction dès cette année des injections de liquidités de la Réserve Fédérale, laissaient craindre une fermeture des vannes des autorités monétaires, causant une vague de frilosité.
L'attention est désormais focalisée sur sa prise de cap de mercredi, sur fond d'incertitudes a sujet du futur de la politique monétaire.
Il n'en était cependant pas de même avec l'euro, l'EUR/USD grignotant 0,02% pour s'élever à 1,3345, aux abords d'un pic de quatre mois.
Les autorités de la zone ayant adopté la monnaie unique avaient auparavant constaté une avancée décevante de l'excédent de sa balance commerciale, avec 16,1 milliards d'euros en avril, les exportations subissant une érosion de 0,8% par rapport au mois précédent, alors que les importations gonflaient de 0,5%.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, frôlant là aussi son plus bas niveau depuis février, le GBP/USD arrachant 0,06% pour frémir à 1,5712.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF avançant de 0,19% pour culminer à 0,9224.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD prenant 0,45% pour se retrouver à 0,9614, le NZD/USD se renforçant de 0,52% pour prendre pied à 0,8083 et l'USD/CAD s'effritant de 0,25% pour glisser à 1,0150.
Une étude émanant de la banque Westpac avait souligné ce matin que son indice du moral des ménages de Nouvelle-Zélande était avait bondi depuis 110,8 vers 116,6 pour le second trimestre, son niveau le plus élevé depuis juin 2010.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,08% pour se situer à 80,89.