Investing.com - Le dollar U.S. était en repli modéré face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, mais son homologue nippon creusait un écart plus conséquent, les opérateurs prenant position avant de connaître dans l'après-midi les orientations de son émettrice.
En fin de première partie de séance européenne, il a nettement fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,31% pour se retrouver à 95,02.
Les yeux étaient désormais braqués sur l'annonce des taux et la conférence de presse de la Réserve Fédérale, dans l'incertitude après que son président Ben Bernanke ait déclaré en mai qu'elle pourrait procéder à un tour de vis en cas d'amélioration continue de l'économie.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD laissant échapper 0,02% pour descendre à 1,3389, mais le couple s'accrochant cependant à un pic de quatre mois.
La livre sterling a aussi cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD perdant 0,17% pour se glisser à 1,5615, naviguant aux abords d'un creux journalier après que le procès-verbal du dernier conseil directeur de la Banque d'Angleterre ait montré que trois de ses membres avaient voté en faveur d'assouplissements supplémentaires, comme lors du précédent.
Le compte-rendu détaillé montrait en effet que Mervyn King, gouverneur de la banque centrale britannique en fin de mandat, et deux autres décideurs s'étaient prononcés en faveur d'une augmentation de 25 milliards de GBP du volume de ses rachats d'actifs, mais que six autres avaient voté contre.
Le scrutin concernant le maintien de son taux d'intérêt à 0,5%, son plus bas niveau historique, était par contre unanime.
Il y était précisé que les résultats économiques récents avaient été largement positifs, conformément aux prévisions de relance lente mais constante émises le mois passé dans ses projections trimestrielles.
Le franc suisse a d'autre part à peine subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,06% pour tomber à 0,9206.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,14% pour monter à 0,9497, le NZD/USD engrangeant 0,21% pour culminer à 0,8005 et l'USD/CAD progressant de 0,02% pour aller vers 1,0211.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,02% pour se situer à 80,80.
En fin de première partie de séance européenne, il a nettement fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,31% pour se retrouver à 95,02.
Les yeux étaient désormais braqués sur l'annonce des taux et la conférence de presse de la Réserve Fédérale, dans l'incertitude après que son président Ben Bernanke ait déclaré en mai qu'elle pourrait procéder à un tour de vis en cas d'amélioration continue de l'économie.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD laissant échapper 0,02% pour descendre à 1,3389, mais le couple s'accrochant cependant à un pic de quatre mois.
La livre sterling a aussi cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD perdant 0,17% pour se glisser à 1,5615, naviguant aux abords d'un creux journalier après que le procès-verbal du dernier conseil directeur de la Banque d'Angleterre ait montré que trois de ses membres avaient voté en faveur d'assouplissements supplémentaires, comme lors du précédent.
Le compte-rendu détaillé montrait en effet que Mervyn King, gouverneur de la banque centrale britannique en fin de mandat, et deux autres décideurs s'étaient prononcés en faveur d'une augmentation de 25 milliards de GBP du volume de ses rachats d'actifs, mais que six autres avaient voté contre.
Le scrutin concernant le maintien de son taux d'intérêt à 0,5%, son plus bas niveau historique, était par contre unanime.
Il y était précisé que les résultats économiques récents avaient été largement positifs, conformément aux prévisions de relance lente mais constante émises le mois passé dans ses projections trimestrielles.
Le franc suisse a d'autre part à peine subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,06% pour tomber à 0,9206.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,14% pour monter à 0,9497, le NZD/USD engrangeant 0,21% pour culminer à 0,8005 et l'USD/CAD progressant de 0,02% pour aller vers 1,0211.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,02% pour se situer à 80,80.