Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, bien qu'il conserve l'avantage sur son homologue nippon, malgré les bruits évoquant un tour de vis imminent de son émettrice, l'européen profitant par contre de résultats globalement positifs là où il a cours.
En seconde partie de séance européenne, l'euro gardait le dessus contre lui, l'EUR/USD gagnant 0,15% pour grimper à 1,3028.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir en fin de matinée que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de l'Espagne avait bondi depuis 48,1 vers 50,0 pour juin, dépassant ainsi les 48,5 espérés et repassant en territoire positif pour la première fois depuis mai 2011.
Celui de la France lui emboîtait le pas de 46,4 vers 48,4, mais celui de l'Allemagne commetait cependant un faux pas de 49,4 à 48,6 sur la période considérée.
Les autorités européennes avaient auparavant fait savoir que le taux de chômage de la région avait frémi depuis 12 vers 12,1% pour mai, au lieu des 12,3% redoutés.
D'autres informations situaient sans surprise son inflation à la consommation à 1,6% pour juin après les 1,4% précédents.
Les observateurs guettaient l'état des lieux de l'activité industrielle des Etats-Unis établi par l'institut de gestion des approvisionnements, sur fond de rumeurs de resserrage des boulons de leur banque centrale.
Ils braquaient aussi les yeux sur les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, qui pourraient aller dans ce sens.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY avançant de 0,56% pour se retrouver à 99,71, ayant auparavant atteint son meilleur niveau en trois semaines et demi.
La Banque du Japon avait révélé en début de séance que son baromètre trimestriel de la confiance dans les affaires japonaises reflétait un regain de forme des gros industriels, venant conforter l'hypothèse de la relance nationale.
Mais la livre sterling ne flanchait pas, le GBP/USD prenant 0,08% pour se hisser à 1,5218, après que des informations aient souligné que l'activité du secteur secondaire britannique avait connu en juin sa plus forte progression en deux ans.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet fait savoir que son indice portant sur la question avait bondi depuis 51,5 après révision à la hausse vers 52,5 pour juin.
Les experts pensaient pourtant qu'il stagnerait à 51,5.
Le franc suisse a par contre davantage subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,24% pour s'élever à 0,9469.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,49% pour monter à 0,9181, le NZD/USD engrangeant 0,31% pour culminer à 0,7765 et l'USD/CAD progressant de 0,01% pour aller vers 1,0519.
La première avait retrouvé du mordant après qu'une étude officielle a ainsi signalé à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine s'était rétracté depuis 50,8 vers 50,1 pour juin, limitant les dégâts par rapport aux 50,0 redoutés.
Il a toutefois ensuite été noté que son équivalent établi par la banque HSBC subissait dans le même temps une érosion partant d'une évaluation préalable à 48,3 jusqu'à 48,2, s'enfonçant davantage sous la barre des 50 dénotant une croissance du secteur, et constituant son pire niveau en neuf mois.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,04% pour se situer à 83,39.
En seconde partie de séance européenne, l'euro gardait le dessus contre lui, l'EUR/USD gagnant 0,15% pour grimper à 1,3028.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir en fin de matinée que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de l'Espagne avait bondi depuis 48,1 vers 50,0 pour juin, dépassant ainsi les 48,5 espérés et repassant en territoire positif pour la première fois depuis mai 2011.
Celui de la France lui emboîtait le pas de 46,4 vers 48,4, mais celui de l'Allemagne commetait cependant un faux pas de 49,4 à 48,6 sur la période considérée.
Les autorités européennes avaient auparavant fait savoir que le taux de chômage de la région avait frémi depuis 12 vers 12,1% pour mai, au lieu des 12,3% redoutés.
D'autres informations situaient sans surprise son inflation à la consommation à 1,6% pour juin après les 1,4% précédents.
Les observateurs guettaient l'état des lieux de l'activité industrielle des Etats-Unis établi par l'institut de gestion des approvisionnements, sur fond de rumeurs de resserrage des boulons de leur banque centrale.
Ils braquaient aussi les yeux sur les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, qui pourraient aller dans ce sens.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY avançant de 0,56% pour se retrouver à 99,71, ayant auparavant atteint son meilleur niveau en trois semaines et demi.
La Banque du Japon avait révélé en début de séance que son baromètre trimestriel de la confiance dans les affaires japonaises reflétait un regain de forme des gros industriels, venant conforter l'hypothèse de la relance nationale.
Mais la livre sterling ne flanchait pas, le GBP/USD prenant 0,08% pour se hisser à 1,5218, après que des informations aient souligné que l'activité du secteur secondaire britannique avait connu en juin sa plus forte progression en deux ans.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet fait savoir que son indice portant sur la question avait bondi depuis 51,5 après révision à la hausse vers 52,5 pour juin.
Les experts pensaient pourtant qu'il stagnerait à 51,5.
Le franc suisse a par contre davantage subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,24% pour s'élever à 0,9469.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,49% pour monter à 0,9181, le NZD/USD engrangeant 0,31% pour culminer à 0,7765 et l'USD/CAD progressant de 0,01% pour aller vers 1,0519.
La première avait retrouvé du mordant après qu'une étude officielle a ainsi signalé à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine s'était rétracté depuis 50,8 vers 50,1 pour juin, limitant les dégâts par rapport aux 50,0 redoutés.
Il a toutefois ensuite été noté que son équivalent établi par la banque HSBC subissait dans le même temps une érosion partant d'une évaluation préalable à 48,3 jusqu'à 48,2, s'enfonçant davantage sous la barre des 50 dénotant une croissance du secteur, et constituant son pire niveau en neuf mois.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,04% pour se situer à 83,39.