Investing.com - Le dollar U.S. gardait la forme face à la plupart de ses concurrents, à l'exception de ses homologue nippon et helvète, ce mardi après-midi, la nervosité ambiante se trouvant exacerbée par la crainte d'une action militaire des Etats-Unis contre le gouvernement de la Syrie.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi vers une ornière journalière devant le yen, l'USD/JPY dérapant de 1,07% pour se retrouver à 97,45.
Les valeurs sûres ont en effet repris du poil de la bête après que le secrétaire d'état américain John Kerry ait déclaré que le président Obama mettrait les autorités de Damas devant leurs responsabilités en cas d'emploi avéré d'armes chimiques contre la population.
Le refuge traditionnel du franc suisse a aussi fait mieux que résister à sa pression, l'USD/CHF trébuchant de 0,13% pour toucher le fond à 0,9216.
Les rumeurs persistantes concernant le moment où la banque centrale des Etats-Unis diminuera l'ampleur de ses coups de pouce se sont aussi intensifiées après qu'il ait été montré hier que les commandes de biens durables y avaient dégringolé le mois passé, laissant redouter un passage à vide de la demande nationale.
Le département d'état au commerce du pays a ainsi déploré pour elles 7,3% de moins pour juillet, dépassant largement les 4% déjà redoutés, et constituant du même coup leur pire déconvenue depuis août 2012.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,30% pour tomber à 1,3330.
Ce dernier avait fugacement établi un sommet journalier après que l'institut Ifo pour la recherche économique ait présenté son baromètre de la confiance des entreprises allemandes, lequel était passé de 106,2 à 107,5 pour août, son niveau le plus élevé en 16 mois, au lieu des 107,0 espérés.
Celui évaluant la situation actuelle suivait le même chemin de 110,1 à 112,0, alors qu'il n'était pas envisagé qu'il dépasse 110,9.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,57% pour chuter à 1,5485, aux abords de son pire creux de la journée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,82% pour se retrouver à 0,8953, le NZD/USD se laissant arracher 0,99% pour toucher le fond à 0,7773 et l'USD/CAD prenant 0,24% pour monter à 1,0526.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,13% pour se situer à 81,52.
Les acteurs de l'immobilier américain comptaient de leur côté conclure la journée avec leur mesure de l'évolution des coûts des logements, après quoi seront divulgués les chiffres cruciaux concernant la confiance des consommateurs du pays.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi vers une ornière journalière devant le yen, l'USD/JPY dérapant de 1,07% pour se retrouver à 97,45.
Les valeurs sûres ont en effet repris du poil de la bête après que le secrétaire d'état américain John Kerry ait déclaré que le président Obama mettrait les autorités de Damas devant leurs responsabilités en cas d'emploi avéré d'armes chimiques contre la population.
Le refuge traditionnel du franc suisse a aussi fait mieux que résister à sa pression, l'USD/CHF trébuchant de 0,13% pour toucher le fond à 0,9216.
Les rumeurs persistantes concernant le moment où la banque centrale des Etats-Unis diminuera l'ampleur de ses coups de pouce se sont aussi intensifiées après qu'il ait été montré hier que les commandes de biens durables y avaient dégringolé le mois passé, laissant redouter un passage à vide de la demande nationale.
Le département d'état au commerce du pays a ainsi déploré pour elles 7,3% de moins pour juillet, dépassant largement les 4% déjà redoutés, et constituant du même coup leur pire déconvenue depuis août 2012.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,30% pour tomber à 1,3330.
Ce dernier avait fugacement établi un sommet journalier après que l'institut Ifo pour la recherche économique ait présenté son baromètre de la confiance des entreprises allemandes, lequel était passé de 106,2 à 107,5 pour août, son niveau le plus élevé en 16 mois, au lieu des 107,0 espérés.
Celui évaluant la situation actuelle suivait le même chemin de 110,1 à 112,0, alors qu'il n'était pas envisagé qu'il dépasse 110,9.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,57% pour chuter à 1,5485, aux abords de son pire creux de la journée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,82% pour se retrouver à 0,8953, le NZD/USD se laissant arracher 0,99% pour toucher le fond à 0,7773 et l'USD/CAD prenant 0,24% pour monter à 1,0526.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,13% pour se situer à 81,52.
Les acteurs de l'immobilier américain comptaient de leur côté conclure la journée avec leur mesure de l'évolution des coûts des logements, après quoi seront divulgués les chiffres cruciaux concernant la confiance des consommateurs du pays.