Investing.com - Les places d'Asie ont entamé la semaine avec le sourire ce lundi matin, profitant des bonnes nouvelles économiques provenant de la Chine et du Japon.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,71%, le Hang Seng de Hong Kong 0,6% et le Nikkei 225 japonais 2,49%.
Sydney profitait pour sa part des réactions paradoxalement positives aux élections fédérales de fin de semaine.
Le chef du parti conservateur Tony Abbott a en effet été désigné par une large majorité au poste de premier ministre contre le sortant Kevin Rudd, bien que ce dernier ait contribué à minimiser les effets de la crise.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières s'en réjouissaient en raison de l'espoir d'une suppression de la taxe sur les émissions de gaz à effet de serre et certains pans de l'industrie minière.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 1,4% chacun, surpassés par leur rival Newcrest Mining Group avec 3,4%.
Hong Kong s'élevait pour sa part à son plus haut niveau depuis le 29 mai, grâce à l'optimisme renouvelé concernant les perspectives économiques chinoises.
Le bureau des statistiques de la Chine a ainsi noté à l'aube que les prix à la consommation y avaient augmenté sans surprise de 2,6% en août, un léger répit après les 2,7% précédents.
L'augmentation supérieure aux espérances de l'excédent du commerce extérieur national dévoilée la veille a aussi rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir d'un passage à vide.
Celui-ci est ainsi passé de 17,8 à 28,6 milliards d'USD pour le mois passé, au lieu des 20 milliards envisagés.
Les exportations nationales ont du coup enflé de 7,2% d'une année sur l'autre pour cette période, au lieu des 5,1% de juillet, et les importations de 7%.
Les observateurs guettaient désormais une série d'informations devant être divulguées demain, parmi lesquelles les chiffres de la production industrielle et le volume des ventes au détail.
Le Ping An Insurance Group engrangeait pour sa part 3,2% après avoir décidé d'acquérir pour 2,4 milliards d'USD d'actions de la Ping An Bank afin de consolider ses finances.
Le secteur financier faisait lui emboîtait le pas, l'Agricultural of China encaissant 4,6%, la China Minsheng Bank 6,2% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, 1,5%.
Tokyo s'est hissée vers un sommet de quatre semaines après qu'il ait été souligné que l'économie nippone avait connu une expansion de 3,8% annualisés au second trimestre, au lieu des 2,6% des premières évaluations.
Elle a aussi rebondi en raison de l'optimisme découlant du fait qu'elle ait été choisie pour accueillir les jeux olympiques d'été de 2020, alors qu'Istanbul et Madrid étaient en lice.
Le domaine du bâtiment en a évidemment profité, Kajima et Taisei raflant respectivement 9,7 et 13,75%, tandis que les promoteurs immobiliers Mitsubishi Estate et Mitsui Fudosan se contentaient de 4,7 et 6,4%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 1,6%, tandis que le Mizuho Financial Group et le courtier Nomura Holdings n'étant pas en reste avec 2,5 et 2,9%.
Les poids lourds Fast Retailing et Softbank suivaient le mouvement ascendant avec 3,35 et 1,1%.
Le futur des bourses européennes semblait quand à lui plutôt positif, partageant l'optimisme ambiant.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,45%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,35%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,35% aussi et celles sur le FTSE 100 britannique à 0,4%.
Les résultats décevants provenant du front de l'emploi ont d'autre part une fois de plus forcé les observateurs à revoir à la baisse les probabilités d'une réduction imminente des coups de pouce la Réserve Fédérale.
Le département d'état au travail américain avait dénombré vendredi 169.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 180.000 était espérée.
Le total précédent de 162.000 était quand à lui revu vers le bas jusqu'à 104.000, et celui de juin était raboté depuis 188.000 vers 172.000.
Le taux de chômage cependant fondu des 7,4% de juillet à 7,3% dans le même temps, une bonne nouvelle à tempérer car imputable aux sorties de population active.
Les apports de capitaux de la banque centrale des Etats-Unis sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,71%, le Hang Seng de Hong Kong 0,6% et le Nikkei 225 japonais 2,49%.
Sydney profitait pour sa part des réactions paradoxalement positives aux élections fédérales de fin de semaine.
Le chef du parti conservateur Tony Abbott a en effet été désigné par une large majorité au poste de premier ministre contre le sortant Kevin Rudd, bien que ce dernier ait contribué à minimiser les effets de la crise.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières s'en réjouissaient en raison de l'espoir d'une suppression de la taxe sur les émissions de gaz à effet de serre et certains pans de l'industrie minière.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 1,4% chacun, surpassés par leur rival Newcrest Mining Group avec 3,4%.
Hong Kong s'élevait pour sa part à son plus haut niveau depuis le 29 mai, grâce à l'optimisme renouvelé concernant les perspectives économiques chinoises.
Le bureau des statistiques de la Chine a ainsi noté à l'aube que les prix à la consommation y avaient augmenté sans surprise de 2,6% en août, un léger répit après les 2,7% précédents.
L'augmentation supérieure aux espérances de l'excédent du commerce extérieur national dévoilée la veille a aussi rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir d'un passage à vide.
Celui-ci est ainsi passé de 17,8 à 28,6 milliards d'USD pour le mois passé, au lieu des 20 milliards envisagés.
Les exportations nationales ont du coup enflé de 7,2% d'une année sur l'autre pour cette période, au lieu des 5,1% de juillet, et les importations de 7%.
Les observateurs guettaient désormais une série d'informations devant être divulguées demain, parmi lesquelles les chiffres de la production industrielle et le volume des ventes au détail.
Le Ping An Insurance Group engrangeait pour sa part 3,2% après avoir décidé d'acquérir pour 2,4 milliards d'USD d'actions de la Ping An Bank afin de consolider ses finances.
Le secteur financier faisait lui emboîtait le pas, l'Agricultural of China encaissant 4,6%, la China Minsheng Bank 6,2% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, 1,5%.
Tokyo s'est hissée vers un sommet de quatre semaines après qu'il ait été souligné que l'économie nippone avait connu une expansion de 3,8% annualisés au second trimestre, au lieu des 2,6% des premières évaluations.
Elle a aussi rebondi en raison de l'optimisme découlant du fait qu'elle ait été choisie pour accueillir les jeux olympiques d'été de 2020, alors qu'Istanbul et Madrid étaient en lice.
Le domaine du bâtiment en a évidemment profité, Kajima et Taisei raflant respectivement 9,7 et 13,75%, tandis que les promoteurs immobiliers Mitsubishi Estate et Mitsui Fudosan se contentaient de 4,7 et 6,4%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 1,6%, tandis que le Mizuho Financial Group et le courtier Nomura Holdings n'étant pas en reste avec 2,5 et 2,9%.
Les poids lourds Fast Retailing et Softbank suivaient le mouvement ascendant avec 3,35 et 1,1%.
Le futur des bourses européennes semblait quand à lui plutôt positif, partageant l'optimisme ambiant.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,45%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,35%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,35% aussi et celles sur le FTSE 100 britannique à 0,4%.
Les résultats décevants provenant du front de l'emploi ont d'autre part une fois de plus forcé les observateurs à revoir à la baisse les probabilités d'une réduction imminente des coups de pouce la Réserve Fédérale.
Le département d'état au travail américain avait dénombré vendredi 169.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 180.000 était espérée.
Le total précédent de 162.000 était quand à lui revu vers le bas jusqu'à 104.000, et celui de juin était raboté depuis 188.000 vers 172.000.
Le taux de chômage cependant fondu des 7,4% de juillet à 7,3% dans le même temps, une bonne nouvelle à tempérer car imputable aux sorties de population active.
Les apports de capitaux de la banque centrale des Etats-Unis sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.