Dans le cadre de leur projet de fusion, Holcim et Lafarge indiquent que leur comité a établi une liste d'actifs qui pourraient être désinvestis afin d'anticiper les demandes éventuelles des autorités de la concurrence.
En Europe, les deux groupes de matériaux de construction proposent les cessions de la cimenterie de Lafarge à Mannersdorf en Autriche, les actifs d'Holcim en France métropolitaine, à l'exception de la cimenterie d'Altkirch et des sites béton et granulats sur le marché du Haut-Rhin, les actifs de Lafarge à la Réunion, exceptée sa participation dans Ciments de Bourbon, les actifs de Lafarge en Allemagne.
Ils voudraient aussi se séparer des actifs opérationnels d'Holcim en Hongrie, des actifs de Lafarge en Roumanie, des actifs d'Holcim en Serbie et des actifs de Lafarge Tarmac à l'exception possible d'une cimenterie au Royaume-Uni.
Dans le reste du monde, ils souhaitent également céder les actifs d'Holcim au Canada et à l'Ile Maurice. Aux Philippines, les sociétés dans lesquelles Lafarge et Holcim ont des participations envisagent le regroupement de tout ou partie de leurs activités, à l'exception des usines de LRI à Bulacan, Norzagaray et Iligan qui pourraient être cédées.
Au Brésil, une notification sera prochainement déposée par Holcim et Lafarge auprès de la CADE, le régulateur brésilien, pour proposer la cession d'un ensemble significatif d'actifs de grande qualité.
La finalisation du processus de désinvestissement sera conditionnée à la conclusion effective de l'opération de fusion entre Holcim et Lafarge, annoncée le 7 avril. Le projet de fusion reste soumis aux consultations réglementaires et autres approbations d'usage. Il devrait être finalisé au premier semestre 2015.
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En Europe, les deux groupes de matériaux de construction proposent les cessions de la cimenterie de Lafarge à Mannersdorf en Autriche, les actifs d'Holcim en France métropolitaine, à l'exception de la cimenterie d'Altkirch et des sites béton et granulats sur le marché du Haut-Rhin, les actifs de Lafarge à la Réunion, exceptée sa participation dans Ciments de Bourbon, les actifs de Lafarge en Allemagne.
Ils voudraient aussi se séparer des actifs opérationnels d'Holcim en Hongrie, des actifs de Lafarge en Roumanie, des actifs d'Holcim en Serbie et des actifs de Lafarge Tarmac à l'exception possible d'une cimenterie au Royaume-Uni.
Dans le reste du monde, ils souhaitent également céder les actifs d'Holcim au Canada et à l'Ile Maurice. Aux Philippines, les sociétés dans lesquelles Lafarge et Holcim ont des participations envisagent le regroupement de tout ou partie de leurs activités, à l'exception des usines de LRI à Bulacan, Norzagaray et Iligan qui pourraient être cédées.
Au Brésil, une notification sera prochainement déposée par Holcim et Lafarge auprès de la CADE, le régulateur brésilien, pour proposer la cession d'un ensemble significatif d'actifs de grande qualité.
La finalisation du processus de désinvestissement sera conditionnée à la conclusion effective de l'opération de fusion entre Holcim et Lafarge, annoncée le 7 avril. Le projet de fusion reste soumis aux consultations réglementaires et autres approbations d'usage. Il devrait être finalisé au premier semestre 2015.
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