Investing.com - L'euro est resté en difficulté face à la plupart de ses concurrents ce mardi, les investisseurs guettant le sommet de l'Union Européenne sur fond de rumeurs selon lesquelles ses dirigeants pourraient y décider de nouvelles mesures de lutte contre la crise de la dette en zone euro.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissait devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD chutant de 0.57% vers 1.2744.
La prudence demeurait le maître mot, les observateurs craignant en effet des discordances entre le nouveau président français François Hollande, favorable aux mesures de stimulation de la croissance, et l'Allemagne, davantage orientée vers la rigueur.
Le premier devrait proposer la mise en place d'obligations conjointes régionales, mais la seconde a repoussé l'idée plusieurs fois, estimant qu'elles diminueraient l'incitation aux pays en difficulté à mettre leurs finances en ordre.
L'atmosphère s'est aussi trouvée assombrie par l'Organisation pour le Commerce et le Développement Economique, revoyant à la baisse ses prévisions de croissance dans le bloc euro pour les années 2012 et 2013 et avertissant que "la conjonction de la fragilité financière prolongée, de la hausse du chômage et du malaise social pourrait entraîner des troubles politiques en chaîne, ainsi que des réactions épidermiques de la part des marchés".
L'Espagne a quannd a elle réussi à émettre dans la matinée pour 2.5 milliards d'euros de dettes à court terme, mais les coûts de ses emprunts ont augmenté en contrepartie, tirés vers le haut par les incertitudes persistantes concernant ses perspectives économiques et la santé de son secteur bancaire.
La monnaie unique a également cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.14% pour tomber à 0.8082.
Les autorités britanniques avaient révélé ce matin que l'indice des prix au détail avait réalisé en avril une progression de 3%, la plus faible des deux dernières annéees, confortant l'hypothèse selon laquelle la Banque d'Angleterre pourrait assouplir sa politique afin de renflouer la croissance.
Christine Lagarde, à la tête du FMI, a quand à elle déclaré aujourd'hui que le gouvernement du pays devrait apaiser le rythme de ses coupes budgétaires au cas où la croissance demeurerait trop lente, tout en envisageant des mesures de stimulation monétaires.
Ces propos faisaient suite à un passage en revue de l'état de l'économie nationale.
Londres a d'autre part montré dans la matinée que le solde des emprunts publics avait été étonnamment positif avec 18.8 milliards de GBP pour le mois dernier, stimulé par un transfert de capitaux de Royal Mail, alors que les experts radoutaient un trou de 5.8 milliards.
Le yen et le franc suisse ont eux aussi exercé leur pression, l'EUR/JPY régressant de 0.04% pour descendre à 101.61, et l'EUR/CHF laissant échapper 0.01% pour ployer à 1.201.
Ses homologues australienne et canadienne l'ont également dominée, mais pas la néo-zélandaise, l'EUR/USD hoquetant de 0.08% pour rprendre pied à 1.2914, l'EUR/CAD perdant 0.43% pour fondre à 1.2983, et l'EUR/NZD arrachant 0.02% pour s'élever à 1.6757.
Une étude émanant des autorités de Nouvelle-Zélande avait montré en début de matinée que l'a hausse des prix attendue dans le pays avait diminué, passant à 2.4% pour mars, contre 2.5% pour les trois mois précédents, mettant un frein à l'attente d'une hausse des taux d'intérêt de la banque centrale du pays au cours des prochains mois.
Les experts immobiliers américains comptaient quand à eux dévoiler cet après-midi leurs chiffres des ventes de logements d'occasion.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissait devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD chutant de 0.57% vers 1.2744.
La prudence demeurait le maître mot, les observateurs craignant en effet des discordances entre le nouveau président français François Hollande, favorable aux mesures de stimulation de la croissance, et l'Allemagne, davantage orientée vers la rigueur.
Le premier devrait proposer la mise en place d'obligations conjointes régionales, mais la seconde a repoussé l'idée plusieurs fois, estimant qu'elles diminueraient l'incitation aux pays en difficulté à mettre leurs finances en ordre.
L'atmosphère s'est aussi trouvée assombrie par l'Organisation pour le Commerce et le Développement Economique, revoyant à la baisse ses prévisions de croissance dans le bloc euro pour les années 2012 et 2013 et avertissant que "la conjonction de la fragilité financière prolongée, de la hausse du chômage et du malaise social pourrait entraîner des troubles politiques en chaîne, ainsi que des réactions épidermiques de la part des marchés".
L'Espagne a quannd a elle réussi à émettre dans la matinée pour 2.5 milliards d'euros de dettes à court terme, mais les coûts de ses emprunts ont augmenté en contrepartie, tirés vers le haut par les incertitudes persistantes concernant ses perspectives économiques et la santé de son secteur bancaire.
La monnaie unique a également cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.14% pour tomber à 0.8082.
Les autorités britanniques avaient révélé ce matin que l'indice des prix au détail avait réalisé en avril une progression de 3%, la plus faible des deux dernières annéees, confortant l'hypothèse selon laquelle la Banque d'Angleterre pourrait assouplir sa politique afin de renflouer la croissance.
Christine Lagarde, à la tête du FMI, a quand à elle déclaré aujourd'hui que le gouvernement du pays devrait apaiser le rythme de ses coupes budgétaires au cas où la croissance demeurerait trop lente, tout en envisageant des mesures de stimulation monétaires.
Ces propos faisaient suite à un passage en revue de l'état de l'économie nationale.
Londres a d'autre part montré dans la matinée que le solde des emprunts publics avait été étonnamment positif avec 18.8 milliards de GBP pour le mois dernier, stimulé par un transfert de capitaux de Royal Mail, alors que les experts radoutaient un trou de 5.8 milliards.
Le yen et le franc suisse ont eux aussi exercé leur pression, l'EUR/JPY régressant de 0.04% pour descendre à 101.61, et l'EUR/CHF laissant échapper 0.01% pour ployer à 1.201.
Ses homologues australienne et canadienne l'ont également dominée, mais pas la néo-zélandaise, l'EUR/USD hoquetant de 0.08% pour rprendre pied à 1.2914, l'EUR/CAD perdant 0.43% pour fondre à 1.2983, et l'EUR/NZD arrachant 0.02% pour s'élever à 1.6757.
Une étude émanant des autorités de Nouvelle-Zélande avait montré en début de matinée que l'a hausse des prix attendue dans le pays avait diminué, passant à 2.4% pour mars, contre 2.5% pour les trois mois précédents, mettant un frein à l'attente d'une hausse des taux d'intérêt de la banque centrale du pays au cours des prochains mois.
Les experts immobiliers américains comptaient quand à eux dévoiler cet après-midi leurs chiffres des ventes de logements d'occasion.