Investing.com - Les options sur le brut étaient à la dérive ce mercredi, l'attention se concentrant sur la publication imminente de l'étude de l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis au sujet de l'état des réserves pétrolières nationales.
Les opérateurs guettaient aussi pour cet après-midi des résultats de la réunion que la Réserve Fédérale, en quête de signes préfigurant ses orientations futures.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 92,74 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,8%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 92,56 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un passage à vide de 1%, après qu'une étude émanant des autorités de la Chine ait montré à l'aube que baromètre de l'activité manufacturière nationale avait quitté son piédestal de 11 mois à 50,9 de mars pour se limiter à 50,6.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également sous surveillance, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Celui-ci pourrait mettre en évidence une augmentation de 1 million de barils pour le brut au cours de la semaine dernière, et celles d'essence pourraient en avoir écoulé 900.000.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les premières une addition supérieure aux prévisions avec 5,2 millions de barils pour la période considérée, alors que seulement 900.000 étaient attendus.
Les secondes auraient par contre fondu de 2,7 millions de barils, au lieu des 400.000 envisagés.
Les yeux étaient tournés vers les conclusions des deux jours de délibérations des décideurs de la banque centrale américaine, afin de savoir quelle attitude elle adopterait concernant les apports de capitaux.
De nouvelles contre-performances américaines ont en effet étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de liquidités de la Fed, bien que les derniers compte-rendus aient souligné que certains membres de son conseil directeur se posaient des questions sur leur efficacité.
Il a ainsi été montré hier que l'indice des directeurs des achats de la région de Chicago avait plongé de 52,4 vers 49,0 pour avril, son niveau le plus bas depuis septembre 2009.
Une étude avait révélé la semaine passée que le produit intérieur brut national avait augmenté de 2,5% entre le début janvier et la fin mars, alors que 3,0% étaient espérés, remettant en question la vigueur de la relance du pays.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont chuté de 0,5% pour se retrouver à 101,89 USD du baril dans le même temps, soit 9,15 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart s'était retrouvé être le plus mince depuis janvier 2012, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.
Les opérateurs guettaient aussi pour cet après-midi des résultats de la réunion que la Réserve Fédérale, en quête de signes préfigurant ses orientations futures.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 92,74 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,8%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 92,56 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un passage à vide de 1%, après qu'une étude émanant des autorités de la Chine ait montré à l'aube que baromètre de l'activité manufacturière nationale avait quitté son piédestal de 11 mois à 50,9 de mars pour se limiter à 50,6.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également sous surveillance, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Celui-ci pourrait mettre en évidence une augmentation de 1 million de barils pour le brut au cours de la semaine dernière, et celles d'essence pourraient en avoir écoulé 900.000.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les premières une addition supérieure aux prévisions avec 5,2 millions de barils pour la période considérée, alors que seulement 900.000 étaient attendus.
Les secondes auraient par contre fondu de 2,7 millions de barils, au lieu des 400.000 envisagés.
Les yeux étaient tournés vers les conclusions des deux jours de délibérations des décideurs de la banque centrale américaine, afin de savoir quelle attitude elle adopterait concernant les apports de capitaux.
De nouvelles contre-performances américaines ont en effet étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de liquidités de la Fed, bien que les derniers compte-rendus aient souligné que certains membres de son conseil directeur se posaient des questions sur leur efficacité.
Il a ainsi été montré hier que l'indice des directeurs des achats de la région de Chicago avait plongé de 52,4 vers 49,0 pour avril, son niveau le plus bas depuis septembre 2009.
Une étude avait révélé la semaine passée que le produit intérieur brut national avait augmenté de 2,5% entre le début janvier et la fin mars, alors que 3,0% étaient espérés, remettant en question la vigueur de la relance du pays.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont chuté de 0,5% pour se retrouver à 101,89 USD du baril dans le même temps, soit 9,15 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart s'était retrouvé être le plus mince depuis janvier 2012, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.