Investing.com - La livre sterling s'est hissée ce mercredi vers un nouveau pic de deux ans et demi face au dollar U.S. après qu'il ait été révélé que la dégringolade du secteur manufacturier où elle a cours avait été freinée en avril.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5591 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 13 février, puis s'est stabilisée vers 1,5573, prenant 0,27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5524, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5688, son plafond du 13 février.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet annoncé que son baromètre de l'activité du domaine secondaire britannique était repassé des 48,6 précédents vers 49,8, juste au-dessous des 50 dénotant une expansion.
Les experts pensaient pourtant le voir s'enfoncer à 48,5.
Rob Dobson, analyste en chef de l'organisme, a du coup déclaré: "L'industrie du Royaume-Uni devrait au moins être un handicap réduit pour le produit intérieur brut du second trimestre."
Le billet vert demeurait friable, de nouvelles contre-performances américaines ayant étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de capitaux de la Réserve Fédérale.
Il a ainsi été montré hier que l'indice des directeurs des achats de la région de Chicago avait plongé de 52,4 vers 49,0 pour avril, son niveau le plus bas depuis septembre 2009.
Le devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs grignoté quelques centimètres de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,08% pour glisser à 0,8468.
Les observateurs guettaient désormais les conclusions de la prise de cap que la Banque Centrale Européenne achèvera demain, une baisse des taux étant de plus en plus attendue.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec la publication du nombre des créations d'emploi mesurées par l'agence de gestion des ressources humaines ADP, alors que l'institut de gestion des approvisionnements fera connaître ses informations sur l'activité des usines américaines.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5591 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 13 février, puis s'est stabilisée vers 1,5573, prenant 0,27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5524, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5688, son plafond du 13 février.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet annoncé que son baromètre de l'activité du domaine secondaire britannique était repassé des 48,6 précédents vers 49,8, juste au-dessous des 50 dénotant une expansion.
Les experts pensaient pourtant le voir s'enfoncer à 48,5.
Rob Dobson, analyste en chef de l'organisme, a du coup déclaré: "L'industrie du Royaume-Uni devrait au moins être un handicap réduit pour le produit intérieur brut du second trimestre."
Le billet vert demeurait friable, de nouvelles contre-performances américaines ayant étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de capitaux de la Réserve Fédérale.
Il a ainsi été montré hier que l'indice des directeurs des achats de la région de Chicago avait plongé de 52,4 vers 49,0 pour avril, son niveau le plus bas depuis septembre 2009.
Le devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs grignoté quelques centimètres de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,08% pour glisser à 0,8468.
Les observateurs guettaient désormais les conclusions de la prise de cap que la Banque Centrale Européenne achèvera demain, une baisse des taux étant de plus en plus attendue.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec la publication du nombre des créations d'emploi mesurées par l'agence de gestion des ressources humaines ADP, alors que l'institut de gestion des approvisionnements fera connaître ses informations sur l'activité des usines américaines.