Investing.com - Les options sur le brut étaient en difficulté ce vendredi, subissant le flou au sujet du moment où la banque centrale des Etats-Unis réduira l'ampleur de ses coups de pouce, alors que les observateurs guettaient un rapport sur l'humeur de leurs particuliers.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 105,00 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,47%.
Les résultats américains peu glorieux publiés hier ont en effet ravivé les inquiétudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale dès cette année.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Son équivalent dévolu au commerce a pour sa part déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 4,2% le mois dernier, alors qu'un saut de puce de 1,3% seulement était anticipé; celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, ayant par contre stagné, au lieu d'amasser les 0,5% pressentis.
Les apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont reculé de 0,30% pour glisser à 107,32 USD du baril dans le même temps, soit 2,32 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 105,00 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,47%.
Les résultats américains peu glorieux publiés hier ont en effet ravivé les inquiétudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale dès cette année.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Son équivalent dévolu au commerce a pour sa part déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 4,2% le mois dernier, alors qu'un saut de puce de 1,3% seulement était anticipé; celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, ayant par contre stagné, au lieu d'amasser les 0,5% pressentis.
Les apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont reculé de 0,30% pour glisser à 107,32 USD du baril dans le même temps, soit 2,32 USD de mieux que leurs homologues américaines.