Investing.com - Les options sur l'or ont subi ce vendredi leur plus forte chute en cinq ans, s'effondrant vers un creux des sept dernières semaines alors que le déclin des marchés boursiers mondiaux poussait les investisseurs à s'en défaire afin de couvrir leurs autres pertes.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour occtobre se sont échangés à 1 656.95 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, sombrant de 8.9% au total%, constituant un troisième recul hebdomadaire d'affilée.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 629.95 USD, leur pire cours depuis le 2 août, avec une dégringolade journalière de 6.1%.
Les bourses d'Europe et d'Amérique ont en effet sombré au cours de la semaine dernière, le Dow Jones cédant 6.4%, constituant ses pires pertes hedbomadaires depuis le 10 octobre 2008, aux alentours du pic de la crise financière mondiale.
Le métal précieux s'est retrouvé sur la sellette, sur fond de bruits selon lesquels les gros fonds d'investissement pourraient en vendre beaucoup afin de colmater les brèches ouvertes sur les autres marchés, mais aussi de reventes de la part des prêteurs européens afin de s'alimenter en liquidités.
Barclays, pourvoyeuse internationale de services financiers, a déclaré dans un article paru en fin de semaine que "l'or est devenu la source des liquidités pour les appels de marge mondiaux", ajoutant voir la dernière correction des cours comme étant "temporaire et similaires aux pertes subies en 2008".
Ils avaient en effet fondu ce mois-là de 18% alors que l'agitation gagnant les marchés financiers menait à des pertes sur les bourses et les matières premières, puis avaient rebondi de 23% sur les deux mois suivants.
Les pertes subies par les marchés financiers mondiaux sont survenues alors que grandit l'inquiétude à propos de perspectives économiques mondiales après que la Réserve Fédérale ait averti mercredi que l'économie américaine devait faire face à des "risques de baisse significatifs" et annoncé de nouvelles mesures destinées à stimuler la croissance.
Elle a ensuite dévoilé un plan de substitution par des bons à court terme d'obligations au long cours afin d'infléchir la courbe des taux à long terme et ainsi donner un coup de fouet à l'économie, une manoeuvre dénommée "Opération Twist".
Les dirigeants financiers du groupe des 20 nations les plus développées se sont en effet engagés vendredi "à prendre toutes les mesures nécessaires" afin de stabiliser le système financier mondial et ont ajouté que les banques centrales étaient prêtes à fournir des liquidités, suite à leur réunion à Washington.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs décliné de 23.5% pour couler à 31.18 USD de l'once, leur pire niveau en sept mois, et celles sur le cuivre à échéance identique se sont écroulées de 15%% pour se retrouver à 3.317 USD la livre, leur plancher des 25 mois écoulés, dans le même temps.
La Grèce restera au centre des attentions au cours de la semaine à venir, tandis que les observateurs étudieront de près les chiffres de la croissance américaine au second trimestre, afin de juger de la vigueur de l'économie locale.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour occtobre se sont échangés à 1 656.95 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, sombrant de 8.9% au total%, constituant un troisième recul hebdomadaire d'affilée.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 629.95 USD, leur pire cours depuis le 2 août, avec une dégringolade journalière de 6.1%.
Les bourses d'Europe et d'Amérique ont en effet sombré au cours de la semaine dernière, le Dow Jones cédant 6.4%, constituant ses pires pertes hedbomadaires depuis le 10 octobre 2008, aux alentours du pic de la crise financière mondiale.
Le métal précieux s'est retrouvé sur la sellette, sur fond de bruits selon lesquels les gros fonds d'investissement pourraient en vendre beaucoup afin de colmater les brèches ouvertes sur les autres marchés, mais aussi de reventes de la part des prêteurs européens afin de s'alimenter en liquidités.
Barclays, pourvoyeuse internationale de services financiers, a déclaré dans un article paru en fin de semaine que "l'or est devenu la source des liquidités pour les appels de marge mondiaux", ajoutant voir la dernière correction des cours comme étant "temporaire et similaires aux pertes subies en 2008".
Ils avaient en effet fondu ce mois-là de 18% alors que l'agitation gagnant les marchés financiers menait à des pertes sur les bourses et les matières premières, puis avaient rebondi de 23% sur les deux mois suivants.
Les pertes subies par les marchés financiers mondiaux sont survenues alors que grandit l'inquiétude à propos de perspectives économiques mondiales après que la Réserve Fédérale ait averti mercredi que l'économie américaine devait faire face à des "risques de baisse significatifs" et annoncé de nouvelles mesures destinées à stimuler la croissance.
Elle a ensuite dévoilé un plan de substitution par des bons à court terme d'obligations au long cours afin d'infléchir la courbe des taux à long terme et ainsi donner un coup de fouet à l'économie, une manoeuvre dénommée "Opération Twist".
Les dirigeants financiers du groupe des 20 nations les plus développées se sont en effet engagés vendredi "à prendre toutes les mesures nécessaires" afin de stabiliser le système financier mondial et ont ajouté que les banques centrales étaient prêtes à fournir des liquidités, suite à leur réunion à Washington.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs décliné de 23.5% pour couler à 31.18 USD de l'once, leur pire niveau en sept mois, et celles sur le cuivre à échéance identique se sont écroulées de 15%% pour se retrouver à 3.317 USD la livre, leur plancher des 25 mois écoulés, dans le même temps.
La Grèce restera au centre des attentions au cours de la semaine à venir, tandis que les observateurs étudieront de près les chiffres de la croissance américaine au second trimestre, afin de juger de la vigueur de l'économie locale.