Investing.com - Le dollar U.S. a pris le dessus face à la plupart de ses concurrents ce mardi, prenant un avantage plus marqué sur son homologue nippon, à la veille du conseil d'orientation de son émettrice.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a davantage fléchi devant lui, l'USD/JPY bondissant de 0,94% pour se retrouver à 95,37.
Les yeux étaient désormais braqués sur la prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera demain, son futur demeurant flou après que son président Ben Bernanke ait déclaré en mai qu'elle pourrait procéder à un tour de vis en cas d'amélioration continue de l'économie.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,12% pour grimper à 1,3387, aux alentours d'un pic de quatre mois.
Le baromètre du moral allemand établi par le centre de recherches économiques ZEW avait auparavant vu l'ajout de 2,1 points aux 36,4 enregistrés en mai pour se placer à 38,5, au lieu des 38,1 déjà espérés.
Il ajoutait toutefois que l'évaluation de la situation économique actuelle du pays avait subi une érosion depuis 8,9 vers 8,8 dans le même temps.
Il était aussi précisé que l'économie germanique avait des chances de reprendre lentement de la vigueur au second semestre.
La livre sterling a par contre cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD trébuchant de 0,52% pour glisser à 1,5638, après avoir établi un pic journalier, sur fond de rumeurs de fusion entre Vodafone et l'opérateur germanique Kable Deutschland.
Le bureau britannique des statistiques avait auparavant constaté que les prix au détail du Royaume-Uni avaient gonflé d'une année sur l'autre de 2,7% après ajustement saisonnier pour mai, dépassant ainsi les 2,6% anticipés et les 2,4% enregistrés en avril, où elle avait été la plus faible en sept mois.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,34% pour tomber à 0,9193.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD coulant de 0,91% pour sombrer à 0,9453, le NZD/USD dérapant de 0,38% pour toucher le fond à 0,7964 et l'USD/CAD progressant de 0,23% pour aller vers 1,0208.
Le compte-rendu détaillé de la réunion de son comité d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie ayant eu lieu ce mois-ci ait indiqué qu'elle était prête à continuer à raboter à nouveau ses taux au besoin, ajoutant qu'une poursuite de l'érosion de la devise du pays encouragerait l'économie locale.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui de 0,08% pour se situer à 80,88.
Le gouvernement des Etats-Unis conclura de son côté la journée avec le nombre des permis de construire qu'il aura accordés, celui des lancements de chantiers et les variations des prix au détail.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a davantage fléchi devant lui, l'USD/JPY bondissant de 0,94% pour se retrouver à 95,37.
Les yeux étaient désormais braqués sur la prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera demain, son futur demeurant flou après que son président Ben Bernanke ait déclaré en mai qu'elle pourrait procéder à un tour de vis en cas d'amélioration continue de l'économie.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,12% pour grimper à 1,3387, aux alentours d'un pic de quatre mois.
Le baromètre du moral allemand établi par le centre de recherches économiques ZEW avait auparavant vu l'ajout de 2,1 points aux 36,4 enregistrés en mai pour se placer à 38,5, au lieu des 38,1 déjà espérés.
Il ajoutait toutefois que l'évaluation de la situation économique actuelle du pays avait subi une érosion depuis 8,9 vers 8,8 dans le même temps.
Il était aussi précisé que l'économie germanique avait des chances de reprendre lentement de la vigueur au second semestre.
La livre sterling a par contre cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD trébuchant de 0,52% pour glisser à 1,5638, après avoir établi un pic journalier, sur fond de rumeurs de fusion entre Vodafone et l'opérateur germanique Kable Deutschland.
Le bureau britannique des statistiques avait auparavant constaté que les prix au détail du Royaume-Uni avaient gonflé d'une année sur l'autre de 2,7% après ajustement saisonnier pour mai, dépassant ainsi les 2,6% anticipés et les 2,4% enregistrés en avril, où elle avait été la plus faible en sept mois.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,34% pour tomber à 0,9193.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD coulant de 0,91% pour sombrer à 0,9453, le NZD/USD dérapant de 0,38% pour toucher le fond à 0,7964 et l'USD/CAD progressant de 0,23% pour aller vers 1,0208.
Le compte-rendu détaillé de la réunion de son comité d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie ayant eu lieu ce mois-ci ait indiqué qu'elle était prête à continuer à raboter à nouveau ses taux au besoin, ajoutant qu'une poursuite de l'érosion de la devise du pays encouragerait l'économie locale.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui de 0,08% pour se situer à 80,88.
Le gouvernement des Etats-Unis conclura de son côté la journée avec le nombre des permis de construire qu'il aura accordés, celui des lancements de chantiers et les variations des prix au détail.