Investing.com - Le dollar U.S. a pris le dessus face au yen ce mardi matin, alors que l'angoisse d'une destabilisation des marchés découlant du plan de sauvetage chypriote controversé refluait, apaisant l'appétit pour les valeurs refuge.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 95.75 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis vendredi, puis s'est stabilisée vers 95.45, grignotant 0.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 94.3, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 96.26, son plafond de près de trois ans et demi datant du 15 mars.
La devise nippone a en effet repris des couleurs par rapport à l'euro et au billet vert après qu'il ait été annoncé lundi que tous les clients des banques du pays devraient payer une taxe unique sur leurs fonds déposés en l'échange des 10 milliards d'euros de fonds de secours.
Cette décision constituait la première fois depuis le début de la crise de la dette en Europe que les épargnants se trouvaient devoir contribuer directement aux aides financières.
Le moral est toutefois revenu grâce à l'apaisement des angoisses de contamination des autres pays de la région.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera demain était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.
Son homologue japonaise intronisera à l'aube son nouveau gouverneur, avec l'espoir d'assouplissements musclés lors de la prochaine réunion de son conseil directeur, en avril.
La monnaie du pays du soleil levant a par ailleurs cédé quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/JPY frémissant de 0.02% pour se hisser à 123.38.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait bientôt faire connaître son indice crucial du moral allemand, après quoi les autorités américaines annonceront enfin le nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 95.75 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis vendredi, puis s'est stabilisée vers 95.45, grignotant 0.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 94.3, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 96.26, son plafond de près de trois ans et demi datant du 15 mars.
La devise nippone a en effet repris des couleurs par rapport à l'euro et au billet vert après qu'il ait été annoncé lundi que tous les clients des banques du pays devraient payer une taxe unique sur leurs fonds déposés en l'échange des 10 milliards d'euros de fonds de secours.
Cette décision constituait la première fois depuis le début de la crise de la dette en Europe que les épargnants se trouvaient devoir contribuer directement aux aides financières.
Le moral est toutefois revenu grâce à l'apaisement des angoisses de contamination des autres pays de la région.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera demain était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.
Son homologue japonaise intronisera à l'aube son nouveau gouverneur, avec l'espoir d'assouplissements musclés lors de la prochaine réunion de son conseil directeur, en avril.
La monnaie du pays du soleil levant a par ailleurs cédé quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/JPY frémissant de 0.02% pour se hisser à 123.38.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait bientôt faire connaître son indice crucial du moral allemand, après quoi les autorités américaines annonceront enfin le nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers.