Investing.com - Les options sur l'or étaient en forme en fin de semaine, achevant celle-ci aux abords d'un pic des cinq dernières semaines, les investisseurs demeurant concentrés sur les négociations entre la Grèce et ses créanciers concernant la restructuration des dettes du pays.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 666.75 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, gagnant 1.9% pour sa troisième semaine d'avancée consécutive.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 645.15 USD, leur plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1681.5, leur plafond du 13 décembre.
Les représentants grecs avaient en effet annoncé ce jour-là être proches d'un accord avec les créanciers dans le cadre du rééchelonnement de son surendettement, afin d'effacer 100 milliards d'euros des 360 milliards que compte son ardoise.
Le sujet était au centre des débats ces derniers temps, la nation hellène devant dégager un consensus concernant la restructuration de sa dette afin de se voir attribuer la nouvelle tranche des capitaux de secours, et ainsi éviter un défaut de paiement lorsque 14.4 milliards d'euros de ses obligations arriveront à terme le 20 mars.
Les prix avaient bondi la veille jusqu'à 1 670.45 USD, leur plus haut niveau depuis la mi-décembre, après que le succès des adjudications de dettes françaises et espagnoles ait apaisé l'angoisse d'une flambée des coûts des emprunts de la zone euro suite aux dégradations largement anticipées de agence de notation Standard & Poor's ayant eu lieu peu de temps auparavant.
Ils ont toutefois replongé après que l'inflation américaine se soit montrée timide, et que les nouvelles inscriptions au chômage Etats-Unis aient fondu jusqu'à approcher un creux des quatre années passées.
La forte demande physique de la part de la Chine et de la plupart de l'Asie a toutefois contribué à tirer les cours vers le haut, les consommateurs effectuant des achats de dernière minute avant les festivités du nouvel an lunaire ayant lieu cette semaine.
L'attrait de l'or et des autres métaux précieux a des chances de se trouver alors freiné, les achats chinois diminuant tradiionnellement lors de cette semaine de congés.
Le groupe GFMS Limited, spécialiste du secteur, a confirmé que la valeur aallait probablement se trouver en difficulté à court terme, surtout après le reflux des besoins saisonniers.
Il a annoncé s'attendre à ce qu'elle s'établisse à une moyenne de 1 640 USD de l'once pour le premier semestre 2012, avant de reprendre de la vigueur et de "s'élancer vers de nouveaux pics historiques" au-dessus de 2 000 USD en seconde partie d'année.
Les raisons invoquées pour se faire étaient multiples, entre les taux d'intérêt exceptionnellement bas, l'angoisse de l'inflation, les chances d'assouplissement des politiques monétaires, ainsi que "le manque de confiance généralisé envers les monnaies-papier".
Il était aussi précisé que la crise de la dette de la zone euro avaiet poussé certains investisseurs dans les bras de du billeet vert et des bond du trésor américains, envisagés comme "la solution la oins pire", mais que tout retour des rumeurs d'assouplissements quantitatifs "pourraient vraiment faire flamber le métal jaune".
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs engrangé 7.4% pour grimper à 32.16 USD de l'once, leur pic des six semaines écoulées, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 3.79% pour se retrouver à 3.746 USD la livre dans le même temps.
Les premières avaient raflé près de 5.5% vendredi après s'être hissés au-dessus de 30.88 USD, leur moyenne fluctuante à 50 jours, déclenchant de nouveux ordres d'achat et déclenchant une vague de comblement de ventes à découvert.
L'enthousiasme les concernant a également été encouragé par le fait que les ventes de pièces d'argent par l'U.S. Mint, organisme chargé de battre la monnaie des Etats-Unis, avaient déjà dépassé de 50% la moyenne des ventes mensuelles de l'année dernière, reflétant leur popularité auprès des investisseurs en tant qu'investissement alternatif.
Les observateurs garderont à l'oeil la semaine prochaine l'évolution de la situation en zone euro, ses ministres des finances devant se réunir lundi à Bruxelles, avec probablement la restructuration de la dette grecque à l'ordre du jour.
Ils surveilleront aussi de près les résultats de la réunion d'orientation politique de la Réserve Fédérale de jeudi, ainsi que les résultats préliminaires du produit intérieur brut américain.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 666.75 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, gagnant 1.9% pour sa troisième semaine d'avancée consécutive.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 645.15 USD, leur plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1681.5, leur plafond du 13 décembre.
Les représentants grecs avaient en effet annoncé ce jour-là être proches d'un accord avec les créanciers dans le cadre du rééchelonnement de son surendettement, afin d'effacer 100 milliards d'euros des 360 milliards que compte son ardoise.
Le sujet était au centre des débats ces derniers temps, la nation hellène devant dégager un consensus concernant la restructuration de sa dette afin de se voir attribuer la nouvelle tranche des capitaux de secours, et ainsi éviter un défaut de paiement lorsque 14.4 milliards d'euros de ses obligations arriveront à terme le 20 mars.
Les prix avaient bondi la veille jusqu'à 1 670.45 USD, leur plus haut niveau depuis la mi-décembre, après que le succès des adjudications de dettes françaises et espagnoles ait apaisé l'angoisse d'une flambée des coûts des emprunts de la zone euro suite aux dégradations largement anticipées de agence de notation Standard & Poor's ayant eu lieu peu de temps auparavant.
Ils ont toutefois replongé après que l'inflation américaine se soit montrée timide, et que les nouvelles inscriptions au chômage Etats-Unis aient fondu jusqu'à approcher un creux des quatre années passées.
La forte demande physique de la part de la Chine et de la plupart de l'Asie a toutefois contribué à tirer les cours vers le haut, les consommateurs effectuant des achats de dernière minute avant les festivités du nouvel an lunaire ayant lieu cette semaine.
L'attrait de l'or et des autres métaux précieux a des chances de se trouver alors freiné, les achats chinois diminuant tradiionnellement lors de cette semaine de congés.
Le groupe GFMS Limited, spécialiste du secteur, a confirmé que la valeur aallait probablement se trouver en difficulté à court terme, surtout après le reflux des besoins saisonniers.
Il a annoncé s'attendre à ce qu'elle s'établisse à une moyenne de 1 640 USD de l'once pour le premier semestre 2012, avant de reprendre de la vigueur et de "s'élancer vers de nouveaux pics historiques" au-dessus de 2 000 USD en seconde partie d'année.
Les raisons invoquées pour se faire étaient multiples, entre les taux d'intérêt exceptionnellement bas, l'angoisse de l'inflation, les chances d'assouplissement des politiques monétaires, ainsi que "le manque de confiance généralisé envers les monnaies-papier".
Il était aussi précisé que la crise de la dette de la zone euro avaiet poussé certains investisseurs dans les bras de du billeet vert et des bond du trésor américains, envisagés comme "la solution la oins pire", mais que tout retour des rumeurs d'assouplissements quantitatifs "pourraient vraiment faire flamber le métal jaune".
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs engrangé 7.4% pour grimper à 32.16 USD de l'once, leur pic des six semaines écoulées, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 3.79% pour se retrouver à 3.746 USD la livre dans le même temps.
Les premières avaient raflé près de 5.5% vendredi après s'être hissés au-dessus de 30.88 USD, leur moyenne fluctuante à 50 jours, déclenchant de nouveux ordres d'achat et déclenchant une vague de comblement de ventes à découvert.
L'enthousiasme les concernant a également été encouragé par le fait que les ventes de pièces d'argent par l'U.S. Mint, organisme chargé de battre la monnaie des Etats-Unis, avaient déjà dépassé de 50% la moyenne des ventes mensuelles de l'année dernière, reflétant leur popularité auprès des investisseurs en tant qu'investissement alternatif.
Les observateurs garderont à l'oeil la semaine prochaine l'évolution de la situation en zone euro, ses ministres des finances devant se réunir lundi à Bruxelles, avec probablement la restructuration de la dette grecque à l'ordre du jour.
Ils surveilleront aussi de près les résultats de la réunion d'orientation politique de la Réserve Fédérale de jeudi, ainsi que les résultats préliminaires du produit intérieur brut américain.