Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi, l'optimisme étant revenu avec l'espoir persistant que les principales banques centrales prendraient de nouvelles initiatives, bien quela prudence reste de mise dans l'expectative de résultats cruciaux de la zone euro et des Etats-Unis.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant la monnaie unique, l'EUR/USD gagnant 0.3% pour grimper à 1.2369.
La confiance avait en effet retrouvé des couleurs grâce à l'attente tenace de nouvelles initiatives de la Banque Centrale Européenne pour relancer la croissance, tandis qu'une série de résultats médiocres de la part de la Chine et du Japon laissait à penser que ses homologues du reste du monde pourraient faire de même.
La devise européenne avait retrouvé des couleurs en début de matinée après qu'il ait été signalé que l'économie de l'Allemagne avait moins ralenti qu'il n'était redouté, les exportations et les dépenses des ménages aidant à mitiger les conséquences du problème du surendettement de la région sur sa plus grosse économie.
Elle a en effet connu 0.3% d'expansion d'avril à juin, au lieu des 0.2% espérés, après les 0.5% du trimestre précédent.
Il était d'autre part à noter que la France avait de son côté stagné sur la même période, alors qu'une contraction de 0.1% était redoutée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.17% pour se hisser à 1.5711.
Cette dernière avait redressé la tête suite à la révélation suivant laquelle les prix au détail britanniques avaient augmenté de 2.6% après ajustement saisonnier pour juillet, contre 2.4% précédemment, alors que les experts pensaient pourtant les voir légèrement diminuer jusqu'à 2.3%.
Les coûts de produits de base, excluant les biens les plus volatils, ont quand à eux engrangé 2.3%, au lieu des 2.1% envisagés.
Le yen a par contre subi sa pression, l'USD/JPY arrachant 0.28% pour se retrouver à 78.53, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.32% pour tomber à 0.9709.
La devise nippone s'était retrouvée sur la sellette après que le procès-verbal de la dernière réunion d'orientation de la Banque du Japon ait montré que les membres de son conseil n'excluaient aucune option pour renforcer la relance.
Il avait été souligné la veille que le produit intérieur brut national n'avait avancé que de 0.3% entre avril et juin, soit la moitié des 0.6% espérés, contre 1.2% après révision à la hausse sur le premier trimestre, la demande extérieure ayant été malmenée par la crise de la dette de la zone euro.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été modestement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.04% pour aller vers 0.9922, l'AUD/USD grignotant 0.09% pour monter à 1.0527 et le NZD/USD engrangeant 0.09% pour culminer à 0.8096.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient signalé en début de matinée que les ventes auprès des particuliers avaient largement dépassé les prévisions pour le second trimestre, raflant 1.5%, tandis que celles de base, excluant les automobiles et le carburant, se contentaient de 0.9% au lieu des 1% envisagés.
En Australie, des spécialistes avaient constaté que leur baromètre de la confiance dans les affaires était repassé de -3 à 4 pour le mois dernier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.17% pour se situer à 82.33.
La zone euro comptait rendre en cours de journée un rapport sur la production de son secteur secondaire, ainsi que l'estimation préalable de son PIB au second semestre, tandis que le centre de recherches économiques ZEW ferait de même concernant le moral économique allemand et régional.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leurs ventes au détail, les variations dans leurs coûts de production et l'inventaire des stocks de leurs entreprises.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant la monnaie unique, l'EUR/USD gagnant 0.3% pour grimper à 1.2369.
La confiance avait en effet retrouvé des couleurs grâce à l'attente tenace de nouvelles initiatives de la Banque Centrale Européenne pour relancer la croissance, tandis qu'une série de résultats médiocres de la part de la Chine et du Japon laissait à penser que ses homologues du reste du monde pourraient faire de même.
La devise européenne avait retrouvé des couleurs en début de matinée après qu'il ait été signalé que l'économie de l'Allemagne avait moins ralenti qu'il n'était redouté, les exportations et les dépenses des ménages aidant à mitiger les conséquences du problème du surendettement de la région sur sa plus grosse économie.
Elle a en effet connu 0.3% d'expansion d'avril à juin, au lieu des 0.2% espérés, après les 0.5% du trimestre précédent.
Il était d'autre part à noter que la France avait de son côté stagné sur la même période, alors qu'une contraction de 0.1% était redoutée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.17% pour se hisser à 1.5711.
Cette dernière avait redressé la tête suite à la révélation suivant laquelle les prix au détail britanniques avaient augmenté de 2.6% après ajustement saisonnier pour juillet, contre 2.4% précédemment, alors que les experts pensaient pourtant les voir légèrement diminuer jusqu'à 2.3%.
Les coûts de produits de base, excluant les biens les plus volatils, ont quand à eux engrangé 2.3%, au lieu des 2.1% envisagés.
Le yen a par contre subi sa pression, l'USD/JPY arrachant 0.28% pour se retrouver à 78.53, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.32% pour tomber à 0.9709.
La devise nippone s'était retrouvée sur la sellette après que le procès-verbal de la dernière réunion d'orientation de la Banque du Japon ait montré que les membres de son conseil n'excluaient aucune option pour renforcer la relance.
Il avait été souligné la veille que le produit intérieur brut national n'avait avancé que de 0.3% entre avril et juin, soit la moitié des 0.6% espérés, contre 1.2% après révision à la hausse sur le premier trimestre, la demande extérieure ayant été malmenée par la crise de la dette de la zone euro.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été modestement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.04% pour aller vers 0.9922, l'AUD/USD grignotant 0.09% pour monter à 1.0527 et le NZD/USD engrangeant 0.09% pour culminer à 0.8096.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient signalé en début de matinée que les ventes auprès des particuliers avaient largement dépassé les prévisions pour le second trimestre, raflant 1.5%, tandis que celles de base, excluant les automobiles et le carburant, se contentaient de 0.9% au lieu des 1% envisagés.
En Australie, des spécialistes avaient constaté que leur baromètre de la confiance dans les affaires était repassé de -3 à 4 pour le mois dernier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.17% pour se situer à 82.33.
La zone euro comptait rendre en cours de journée un rapport sur la production de son secteur secondaire, ainsi que l'estimation préalable de son PIB au second semestre, tandis que le centre de recherches économiques ZEW ferait de même concernant le moral économique allemand et régional.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leurs ventes au détail, les variations dans leurs coûts de production et l'inventaire des stocks de leurs entreprises.