Investing.com - Les options sur le brut étaient à leur niveau le plus bas en trois semaines ce lundi, en raison de la conjonction de l'angoisse d'un essoufflement d l'essor chinois et de celle d'une interruption des perfusions de la banque centrale des Etats-Unis.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 93,30 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,4%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 92,74 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un passage à vide de 1%.
Goldman Sachs, un des poids lourds de Wall Street, avait en effet réduit auparavant son estimation de croissance de la Chine depuis 7,8 vers 7,4% pour 2013, invoquant des indicateurs économiques peu reluisants et un manque de liquidités.
Le spectre d'un assèchement des flux dans le marché financier de la Chine s'était ainsi trouvé ravivé par la flambée historique du taux interbancaire de la semaine passée.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les cours ont aussi subi le net renforcement du billet vert, les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ayant tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait en effet 0,2% pour se situer à 82,80, son niveau le plus élevé depuis le 4 juin.
Le billet vert gardait des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et qu'elle pourrait même les interrompre d'ici la mi-2014 au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont sombré de 0,5% pour toucher le fond à 100,40 USD du baril dans le même temps, soit 7,10 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs prix, établis à Londres, avaient atteint à l'aube un creux journalier à 99,83 USD, leur niveau le plus faible depuis le 3 juin.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 93,30 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,4%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 92,74 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un passage à vide de 1%.
Goldman Sachs, un des poids lourds de Wall Street, avait en effet réduit auparavant son estimation de croissance de la Chine depuis 7,8 vers 7,4% pour 2013, invoquant des indicateurs économiques peu reluisants et un manque de liquidités.
Le spectre d'un assèchement des flux dans le marché financier de la Chine s'était ainsi trouvé ravivé par la flambée historique du taux interbancaire de la semaine passée.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les cours ont aussi subi le net renforcement du billet vert, les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ayant tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait en effet 0,2% pour se situer à 82,80, son niveau le plus élevé depuis le 4 juin.
Le billet vert gardait des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et qu'elle pourrait même les interrompre d'ici la mi-2014 au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont sombré de 0,5% pour toucher le fond à 100,40 USD du baril dans le même temps, soit 7,10 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs prix, établis à Londres, avaient atteint à l'aube un creux journalier à 99,83 USD, leur niveau le plus faible depuis le 3 juin.