Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, frôlant un pic de quatre ans par rapport à son homologue japonais après que l'émettrice de ce dernier ait entamé une nouvelle série d'assouplissements musclés destinés à surmonter la déflation engluant la troisième économie mondiale.
En première partie de séance européenne, il s'est envolé vers son plus haut niveau depuis mai 2009 contre le yen, l'USD/JPY bondissant de 1,48% pour caracoler à 98,95.
La devise nippone s'est en effet largement affaiblie après que la Banque du Japon ait lancé ses premiers rachats de bons du trésor, déclarant en avoir acquis pour 1 billion de JPY courant entre cinq et dix ans, et pour 200 milliards de JPY d'obligations plus que décennales.
Il a cependant légèrement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0,10% pour frémir à 1,3016.
La monnaie unique demeurait toutefois entravée par les incertitudes au sujet de la situation au Portugal, dont la cour constitutionnelle a censuré une partie du plan d'austérité du gouvernement.
L'ambiance avait aussi été assombrie par le nombre décevant des créations d'emplois de mars aux Etats-Unis dévoilé vendredi, faisant de nouveau planer le spectre du doute concernant la solidité de la reprise nationale.
Le billet vert a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,18% pour chuter à 1,5316, mais le franc suisse a mieux résisté à sa pression, l'USD/CHF n'arrachant que 0,02% pour culminer à 0,9341.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0,06% pour monter à 1,0179, l'AUD/USD cédant 0,08% pour se retrouver à 1,0382 et le NZD/USD commettant un faux pas de 0,03% pour toucher le fond à 0,8431.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,11% pour se situer à 82,77.
L'Allemagne comptait quand à elle divulguer aujourd'hui le volume de sa production industrielle.
En première partie de séance européenne, il s'est envolé vers son plus haut niveau depuis mai 2009 contre le yen, l'USD/JPY bondissant de 1,48% pour caracoler à 98,95.
La devise nippone s'est en effet largement affaiblie après que la Banque du Japon ait lancé ses premiers rachats de bons du trésor, déclarant en avoir acquis pour 1 billion de JPY courant entre cinq et dix ans, et pour 200 milliards de JPY d'obligations plus que décennales.
Il a cependant légèrement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0,10% pour frémir à 1,3016.
La monnaie unique demeurait toutefois entravée par les incertitudes au sujet de la situation au Portugal, dont la cour constitutionnelle a censuré une partie du plan d'austérité du gouvernement.
L'ambiance avait aussi été assombrie par le nombre décevant des créations d'emplois de mars aux Etats-Unis dévoilé vendredi, faisant de nouveau planer le spectre du doute concernant la solidité de la reprise nationale.
Le billet vert a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,18% pour chuter à 1,5316, mais le franc suisse a mieux résisté à sa pression, l'USD/CHF n'arrachant que 0,02% pour culminer à 0,9341.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0,06% pour monter à 1,0179, l'AUD/USD cédant 0,08% pour se retrouver à 1,0382 et le NZD/USD commettant un faux pas de 0,03% pour toucher le fond à 0,8431.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,11% pour se situer à 82,77.
L'Allemagne comptait quand à elle divulguer aujourd'hui le volume de sa production industrielle.