Investing.com - Les places d'Asie terminaient sur une note mitigée lors des échanges raréfiés de ce lundi matin, dans le sillage des chiffres du commerce extérieur et de l'inflation de la Chine, alors qu'approchait la troisièe semaine d'impasse aux Etats-Unis, en l'absence d'espoirs de résolution avant la date fatidique du 17 octobre au-delà de laquelle une défaillance dans leurs remboursements menace.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien laissait échapper 0,44%, le Hang Seng de Hong Kong et le Nikkei 225 japonais demeurant inactifs pour cause de jour férié.
Le bras de fer politique aux Etats-Unis et les mises à pied partielles des fonctionnaires qu'il a entraîné depuis le premier octobre continuaient à faire des gorges chaudes.
Les yeux étaient aussi tournés vers le relèvement le plafond d'endettement national, alors qu'un défaut de paiement risque ainsi d'avoir lieu d'ici quatre jours en l'absence de résolution de ce conflit.
Il avait d'autre part été noté à l'aube que les prix à la consommation de la Chine avaient connu une inflation de 3,1% en septembre, dépassant les 2,9% envisagés et les 2,6% précédents.
Il avait déjà été montré la veille que l'excédent de son commerce extérieur diminué sans crier gare en septembre, alimentant les craintes au sujet des perspectives de croissance de la seconde économie mondiale.
Il a ainsi fondu de 28,6 à 15,2 milliards d'USD pour le momis passé, alors qu'il ne semblait pas devoir passer sous les 27,7 milliards.
Les exportations ont ainsi reculé de 0,3% d'une année sur l'autre, alors qu'un bond de 6% était espéré pour prolonger les 7,2% d'août.
L'attention se tournait désormais vers le reste de la série de résultats du pays, portant notamment sur le produit intérieur brut, la production industrielle et les ventes au détail.
Sydney se trouvait sur la sellette, ses entreprises spécialisées dans les matières premières souffrant de perspectives économiques mondiales incertaines.
Le cuivrier OZ Minerals dégringolait ainsi de 9,3% après avoir revu pour la seconde fois à la baisse ses prévisions de production pour l'année.
Les extracteurs aurifères n'étaient pas non plus à la fête, le métal précieux voyant ses cours rôder aux abords d'un creux de trois mois à New York, Newcrest Mining chutant de 3,8%, Kingsgate Consolidated de 3,3%, et Perseus Mining de 5,2%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui ausi morose que l'ambiance générale.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0,7%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,7%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,65% et sur le FTSE 100 britannique à 0,8%.
Mais le volume des transactions semblait demeurer limité aujourd'hui, les places américaines devant rester closes en raison de la fête de christophe Colomb, tandis que la zone euro compte de son côté diffuser des informations portant sur la production de ses industries.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien laissait échapper 0,44%, le Hang Seng de Hong Kong et le Nikkei 225 japonais demeurant inactifs pour cause de jour férié.
Le bras de fer politique aux Etats-Unis et les mises à pied partielles des fonctionnaires qu'il a entraîné depuis le premier octobre continuaient à faire des gorges chaudes.
Les yeux étaient aussi tournés vers le relèvement le plafond d'endettement national, alors qu'un défaut de paiement risque ainsi d'avoir lieu d'ici quatre jours en l'absence de résolution de ce conflit.
Il avait d'autre part été noté à l'aube que les prix à la consommation de la Chine avaient connu une inflation de 3,1% en septembre, dépassant les 2,9% envisagés et les 2,6% précédents.
Il avait déjà été montré la veille que l'excédent de son commerce extérieur diminué sans crier gare en septembre, alimentant les craintes au sujet des perspectives de croissance de la seconde économie mondiale.
Il a ainsi fondu de 28,6 à 15,2 milliards d'USD pour le momis passé, alors qu'il ne semblait pas devoir passer sous les 27,7 milliards.
Les exportations ont ainsi reculé de 0,3% d'une année sur l'autre, alors qu'un bond de 6% était espéré pour prolonger les 7,2% d'août.
L'attention se tournait désormais vers le reste de la série de résultats du pays, portant notamment sur le produit intérieur brut, la production industrielle et les ventes au détail.
Sydney se trouvait sur la sellette, ses entreprises spécialisées dans les matières premières souffrant de perspectives économiques mondiales incertaines.
Le cuivrier OZ Minerals dégringolait ainsi de 9,3% après avoir revu pour la seconde fois à la baisse ses prévisions de production pour l'année.
Les extracteurs aurifères n'étaient pas non plus à la fête, le métal précieux voyant ses cours rôder aux abords d'un creux de trois mois à New York, Newcrest Mining chutant de 3,8%, Kingsgate Consolidated de 3,3%, et Perseus Mining de 5,2%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui ausi morose que l'ambiance générale.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0,7%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,7%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,65% et sur le FTSE 100 britannique à 0,8%.
Mais le volume des transactions semblait demeurer limité aujourd'hui, les places américaines devant rester closes en raison de la fête de christophe Colomb, tandis que la zone euro compte de son côté diffuser des informations portant sur la production de ses industries.