Investing.com - Les bourses européennes étaient en grande forme ce mardi après-midi, malgré des résultats économiques reluisants, ravivant les angoisses au sujet de la gestion de la crise régionale.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 1.31%, le CAC 40 français de 1.15%, et le DAX 30 allemand de 1.33%.
Une étude officielle en effet montré que le taux de chômage du bloc euro avait établi un nouveau record à 12% en février, alors que l'estimation préliminaire à 11.9% du premier mois de l'année était revue à la hausse pour atteindre 12% elle aussi.
Une autre signalait cependant que le indice des directeurs des achats du secteur manufacturier régional avait frémi depuis 46.6 vers 46.8 pour mars, mais demeurait nettement au-dessous du niveau des 50 dénotant une croissance du secteur.
Le président italien Giorgio Napolitano devait se réunir aujourd'hui avec un comité de conseillers dans l'espoir de trouver une porte de sortie nationale.
Des représentants du gouvernement chypriote se préparaient aussi à des pourparlers avec des envoyés de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International en vue d'obtenir un assouplissement de leurs conditions de sauvetage.
La finance retrouvait des couleurs, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 1.14 et 1.48%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 0.77 et 1.6%.
L'unanimité allait dans l'autre sens à la périphérie, l'espagnol BBVA laissant échapper 0.15%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 0.18 et 1.2%.
Syngenta, spécialisé dans l'agroindustrie, limitait les dégâts à 1.82% après que Liberum Capital Ltd. en ait dégradé l'appréciation vers la neutralité.
A Londres, le FTSE 100 avançait de 0.54%, des informations émanant des autorités ayant souligné dans la matinée que le baromètre de l'activité du secteur secondaire du Royaume-Uni avait fait un saut de puce de 47.9 vers 48.3 pour le mois dernier, au lieu des 48.5 espérés.
L'opérateur téléphonique Vodafone améliorait encore son score avec un bond de 4.6% après avoir accusé le gouvernementi indien d'engager des actions "contradictoires et incohérentes" dans le cadre de leur dispute concernant les précieuses attributions de fréquences.
ICAP l'imitait avec 6.51% à l'offensive après que le Nasdaq OMX Group ait déclaré son achat d'eSpeed, le système d'opérations électroniques pour les bons du trésor américains, à BGC Partners pour environ 750 millions d'USD de liquidités.
La City redressait la barre après une matinée difficile, Lloyds Banking encaissant 0.49%, HSBC Holdings 0.58% et Barclays 0.99%, alors que la Royal Bank of Scotland commettait un faux pas de 0.02%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier Rio Tinto fondant de 0.24%, et ses rivaux Eurasian Natural Resources et Evraz de 2.95 et 3.27%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.43%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.46% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.66%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport sur les commandes passées auprès des usines.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 1.31%, le CAC 40 français de 1.15%, et le DAX 30 allemand de 1.33%.
Une étude officielle en effet montré que le taux de chômage du bloc euro avait établi un nouveau record à 12% en février, alors que l'estimation préliminaire à 11.9% du premier mois de l'année était revue à la hausse pour atteindre 12% elle aussi.
Une autre signalait cependant que le indice des directeurs des achats du secteur manufacturier régional avait frémi depuis 46.6 vers 46.8 pour mars, mais demeurait nettement au-dessous du niveau des 50 dénotant une croissance du secteur.
Le président italien Giorgio Napolitano devait se réunir aujourd'hui avec un comité de conseillers dans l'espoir de trouver une porte de sortie nationale.
Des représentants du gouvernement chypriote se préparaient aussi à des pourparlers avec des envoyés de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International en vue d'obtenir un assouplissement de leurs conditions de sauvetage.
La finance retrouvait des couleurs, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 1.14 et 1.48%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 0.77 et 1.6%.
L'unanimité allait dans l'autre sens à la périphérie, l'espagnol BBVA laissant échapper 0.15%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 0.18 et 1.2%.
Syngenta, spécialisé dans l'agroindustrie, limitait les dégâts à 1.82% après que Liberum Capital Ltd. en ait dégradé l'appréciation vers la neutralité.
A Londres, le FTSE 100 avançait de 0.54%, des informations émanant des autorités ayant souligné dans la matinée que le baromètre de l'activité du secteur secondaire du Royaume-Uni avait fait un saut de puce de 47.9 vers 48.3 pour le mois dernier, au lieu des 48.5 espérés.
L'opérateur téléphonique Vodafone améliorait encore son score avec un bond de 4.6% après avoir accusé le gouvernementi indien d'engager des actions "contradictoires et incohérentes" dans le cadre de leur dispute concernant les précieuses attributions de fréquences.
ICAP l'imitait avec 6.51% à l'offensive après que le Nasdaq OMX Group ait déclaré son achat d'eSpeed, le système d'opérations électroniques pour les bons du trésor américains, à BGC Partners pour environ 750 millions d'USD de liquidités.
La City redressait la barre après une matinée difficile, Lloyds Banking encaissant 0.49%, HSBC Holdings 0.58% et Barclays 0.99%, alors que la Royal Bank of Scotland commettait un faux pas de 0.02%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier Rio Tinto fondant de 0.24%, et ses rivaux Eurasian Natural Resources et Evraz de 2.95 et 3.27%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.43%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.46% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.66%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport sur les commandes passées auprès des usines.