Investing.com - Les bourses européennes étaient un peu moins en forme ce jeudi après-midi, la croissance régionale décevante ne suffisant toutefois pas à éclipser l'hypothèse d'une poursuite des aides de la banque centrale des Etats-Unis afin de soutenir l'économie nationale.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,57%, le CAC 40 français de 0,67%, et le DAX 30 allemand de 0,79%.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a en effet révélé que l'économie du bloc ayant adopté la monnaie unique avait frémi de 0,1% entre début juillet et fin septembre, un ralentissement notable au vu des 0,3% précédents, et une déception compte tenu des 0,2% anticipés.
Elle s'est aussi rétractée de 0,4% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,3% prédits, dans le sillage d'un faux pas de 0,6% du second trimestre.
Les espoirs de prolongement des injections de liquidités de la Réserve Fédérale se sont par contre trouvés confortés par Janet Yellen, nominée pour le poste de gouverneur de la Réserve Fédérale, déclarant hier que le marché de l'emploi et l'économie "avaient de gros progrès à faire" et qu'il fallait "travailler davantage" à la relance.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande sombrant de 1,63%, et le français Société Générale aussi de 0,97, son compatriote BNP Paribas empochant toutefois 1,76%.
La périphérie était plus unanimement en difficulté, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 1,42 et 0,74%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,88 et 2,93%.
Sur le front aéronautique, EADS faisait mieux que compenser ses pertes matinales, arrachant 0,21% après avoir revendiqué des bénéfices dérapant de 663 à 526 millions d'euros d'une année sur l'autre pour le troisième trimestre, se situant ainsi au-dessous des attentes.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,51%, surmontant les déceptions causées par une érosion de 0,7% des ventes au détail pour octobre et une avancée de seulement 1,8% annualisés.
La City s'en est ressentie, HSBC Holdings trébuchant ainsi de 0,26% et Barclays de 0,25%, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Bankingémergeant cependant de 0,25 et 0,39%.
Le revendeur d'articles de luxe Burberry demeurait à l'offensive avec 1,71%, ses profits du troisième trimestre ayant explosé de 17% pour se situer à 1,03 milliards de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois mitigées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,10%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,19% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur un faux pas de 0,24%.
Des informations préliminaires avaient indiqué dans la matinée que le produit intérieur brut français avait diminué de 0,1% entre début juillet et fin septembre, après avoir augmenté de 0,5%, et ce alors qu'un sursaut de 0,1% était espéré.
L'Allemagne en effectuait un de 0,3% dans le même temps, soit nettement moins que les 0,7% ayant précédé, pour aboutir à 1,1% annualisés, alors que seulement 0,7% semblaient probables.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le soldes de leur balance commerciale, ainsi qu'avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,57%, le CAC 40 français de 0,67%, et le DAX 30 allemand de 0,79%.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a en effet révélé que l'économie du bloc ayant adopté la monnaie unique avait frémi de 0,1% entre début juillet et fin septembre, un ralentissement notable au vu des 0,3% précédents, et une déception compte tenu des 0,2% anticipés.
Elle s'est aussi rétractée de 0,4% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,3% prédits, dans le sillage d'un faux pas de 0,6% du second trimestre.
Les espoirs de prolongement des injections de liquidités de la Réserve Fédérale se sont par contre trouvés confortés par Janet Yellen, nominée pour le poste de gouverneur de la Réserve Fédérale, déclarant hier que le marché de l'emploi et l'économie "avaient de gros progrès à faire" et qu'il fallait "travailler davantage" à la relance.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande sombrant de 1,63%, et le français Société Générale aussi de 0,97, son compatriote BNP Paribas empochant toutefois 1,76%.
La périphérie était plus unanimement en difficulté, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 1,42 et 0,74%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,88 et 2,93%.
Sur le front aéronautique, EADS faisait mieux que compenser ses pertes matinales, arrachant 0,21% après avoir revendiqué des bénéfices dérapant de 663 à 526 millions d'euros d'une année sur l'autre pour le troisième trimestre, se situant ainsi au-dessous des attentes.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,51%, surmontant les déceptions causées par une érosion de 0,7% des ventes au détail pour octobre et une avancée de seulement 1,8% annualisés.
La City s'en est ressentie, HSBC Holdings trébuchant ainsi de 0,26% et Barclays de 0,25%, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Bankingémergeant cependant de 0,25 et 0,39%.
Le revendeur d'articles de luxe Burberry demeurait à l'offensive avec 1,71%, ses profits du troisième trimestre ayant explosé de 17% pour se situer à 1,03 milliards de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois mitigées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,10%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,19% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur un faux pas de 0,24%.
Des informations préliminaires avaient indiqué dans la matinée que le produit intérieur brut français avait diminué de 0,1% entre début juillet et fin septembre, après avoir augmenté de 0,5%, et ce alors qu'un sursaut de 0,1% était espéré.
L'Allemagne en effectuait un de 0,3% dans le même temps, soit nettement moins que les 0,7% ayant précédé, pour aboutir à 1,1% annualisés, alors que seulement 0,7% semblaient probables.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le soldes de leur balance commerciale, ainsi qu'avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.