Investing.com - Les options sur le brut étaient en difficulté, dégringolant vers un creux de trois mois ce lundi matin, l'ombre d'une possible paralysie des administrations américaines et les doutes sur la solidité économique de la Chine tirant les valeurs audacieuses vers le bas.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 101,65 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 1,2%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 101,47 USD, leur cours le plus bas depuis le 5 juillet, avec un passage à vide de 1,35%.
La session précédente les avait vus conclure à 102,87 USD, avec un faux pas de 0,15%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 100,90 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à court terme à 103,77 USD, leur plafond du 27 septembre.
Les chicaneries politiques au sujet des fonds alloués à la concrétisation de la loi sur la santé du président Barack Obama ont continué en fin de semaine, alimentant l'angoisse d'une mise à pied des fonctionnaires.
Le parlement doit adopter un budget à court terme d'ici minuit afin d'éviter une telle éventualité.
L'opposition du parti républicain, majoritaire à la chambre des députés, à la concrétisation des dispositions de l'Affordable Care Act a une fois de plus entraîné une impasse face à la Maison Blanche et au sénat, contrôlé par leurs adversaires démocrates, ayant déclaré refuser toute proposition qui viderait la loi surnommée "Obamacare" de sa substance.
Il avait aussi été noté à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC avait subi ce mois-ci une érosion partant d'une évaluation préalable à 51,2 révisée vers plus de modestie jusqu'à 50,2, rappelant la fragilité de la relance de la seconde économie mondiale.
Les experts ne s'attendaient pourtant pas à le voir varier.
Mais le moral subissait aussi l'intensification de l'instabilité politique italienne.
La monnaie unique s'est ainsi retrouvée friabilisée après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de coalition dirigé par Enrico Letta, appelant à la tenue de nouvelles élections.
Le spectre d'éventuelles perturbation des livraisons du Moyen-Orient continuait à se dissiper, alors que les Etats-Unis et la Russie approuvaient une proposition de résolution des Nations Unies destinée à régler le problème épineux de l'arsenal chimique de Bachar el-Assad.
Les cours avaient bondi le 28 août jusqu'à 112,22 USD, leur plus haut niveau en 27 mois, profitant de la crainte d'une intervention contre le gouvernement de Bachar el-Assad, accusé d'avoir utilisé des armes non-conventionnelles contre la population.
Mais ils sont retombés de près de 7% après qu'un consensus au sujet du problème épineux de l'arsenal chimique syrien ait été dégagé le 14 septembre entre les camps américain et russe.
La Syrie a beau ne pas être un producteur majeur, les observateurs redoutent que la guerre civile durant depuis déjà deux ans fasse tache d'huile et affecte ainsi les poids lourds régionaux.
Le dégel des relations diplomatiques entre les Etats-Unis et l'Iran a aussi accentué la tendance, ayant engagé jeudi des pourparlers afin de sortir de l'impasse concernant le programe nucléaire de Téhéran.
La zone était en effet responsable de près de 35% du volume mondial extrait en 2012.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont perdu 0,95% pour glisser à 107,64 USD du baril dans le même temps, soit 5,99 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 101,65 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 1,2%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 101,47 USD, leur cours le plus bas depuis le 5 juillet, avec un passage à vide de 1,35%.
La session précédente les avait vus conclure à 102,87 USD, avec un faux pas de 0,15%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 100,90 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à court terme à 103,77 USD, leur plafond du 27 septembre.
Les chicaneries politiques au sujet des fonds alloués à la concrétisation de la loi sur la santé du président Barack Obama ont continué en fin de semaine, alimentant l'angoisse d'une mise à pied des fonctionnaires.
Le parlement doit adopter un budget à court terme d'ici minuit afin d'éviter une telle éventualité.
L'opposition du parti républicain, majoritaire à la chambre des députés, à la concrétisation des dispositions de l'Affordable Care Act a une fois de plus entraîné une impasse face à la Maison Blanche et au sénat, contrôlé par leurs adversaires démocrates, ayant déclaré refuser toute proposition qui viderait la loi surnommée "Obamacare" de sa substance.
Il avait aussi été noté à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC avait subi ce mois-ci une érosion partant d'une évaluation préalable à 51,2 révisée vers plus de modestie jusqu'à 50,2, rappelant la fragilité de la relance de la seconde économie mondiale.
Les experts ne s'attendaient pourtant pas à le voir varier.
Mais le moral subissait aussi l'intensification de l'instabilité politique italienne.
La monnaie unique s'est ainsi retrouvée friabilisée après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de coalition dirigé par Enrico Letta, appelant à la tenue de nouvelles élections.
Le spectre d'éventuelles perturbation des livraisons du Moyen-Orient continuait à se dissiper, alors que les Etats-Unis et la Russie approuvaient une proposition de résolution des Nations Unies destinée à régler le problème épineux de l'arsenal chimique de Bachar el-Assad.
Les cours avaient bondi le 28 août jusqu'à 112,22 USD, leur plus haut niveau en 27 mois, profitant de la crainte d'une intervention contre le gouvernement de Bachar el-Assad, accusé d'avoir utilisé des armes non-conventionnelles contre la population.
Mais ils sont retombés de près de 7% après qu'un consensus au sujet du problème épineux de l'arsenal chimique syrien ait été dégagé le 14 septembre entre les camps américain et russe.
La Syrie a beau ne pas être un producteur majeur, les observateurs redoutent que la guerre civile durant depuis déjà deux ans fasse tache d'huile et affecte ainsi les poids lourds régionaux.
Le dégel des relations diplomatiques entre les Etats-Unis et l'Iran a aussi accentué la tendance, ayant engagé jeudi des pourparlers afin de sortir de l'impasse concernant le programe nucléaire de Téhéran.
La zone était en effet responsable de près de 35% du volume mondial extrait en 2012.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont perdu 0,95% pour glisser à 107,64 USD du baril dans le même temps, soit 5,99 USD de mieux que leurs homologues américaines.