Investing.com - Les options sur l'or étaient en recul pour la seconde journée consécutive ce mardi, suivant le mouvement général des matières premières sur fond de craintes persistantes concernant la crise de la dette souveraine de la zone euro, bien que la forte demande physique indienne ait contribué à juguler les partes.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 664.15 USD de l'once en fin de séance asiatique, perdant 0.74%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 660.85 USD, leur pire cours depuis le 13 octobre, avec 0.97% de recul.
L'espoir d'une résolution complète des problèmes financiers européens s'est trouvé mis à mal hier, après que Wolfgang Schaeuble, ministre des finances allemand, ait déclaré que la prochaine réunion des dirigeants de l'Union Européenne du 23 octobre n'apporterait pas de "solution définitive" au problème du surendettement régional.
Il confirmait ainsi les propos d'Angela Merkel, la chancelière allemande, affirmant que "le rêve d'une résolution de toutes les difficultés lors du sommet européen restait inaccessible".
l'agence Moody's Investor Services a quand à elle émis pour la France un préavis de trois mois selon lequel "la pression des mauvais résultats de l'endettement" pourrait entraîner des perspectives négatives pour le pays et ainsi tirer sa notation monétaire vers le bas.
Le réflexe typique des investisseurs au cours de l'année passée consistait à acheter de l'or au son des mauvaises nouvelles venant d'Europe, mais la volatilité des cours a mis à mal son attrait en tant que valeur refuge et qu'accumulateur de richesse dans les temps troublés.
Leur moral a également été miné par des chiffres officiels signalant ce matin que le produit intérieur brut chinois du troisièe trimestre n'avait progressé que de 9.1% pour rapport à l'année dernière, contre 9.5% pour le précédent.
La banque suisse UBS a revu à la baisse ses prévisions pour les cours du reste de l'année vers 1 615 USD l'once, contre 1 665 auparavant,, invoquant l'impact du renforcement du dollar U.S. et le spectre de la crise de la dette de la zone euro.
Elle a déclaré: "L'or a pénétré uune contrée inconnu, se comportant comme un hybride entre un investissement risqué et une valeur refuge, tâchant de trouver l'équilibre entre les deux forces qui le tiraillent de manière opposée."
Son article précisait que le danger le plus sérieux le concernant était "une rapide détérioration des capitaux bancaires et l'augmentation des craintes liées aux liquidités".
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs dégringolé de 1.17% pour sombrer à 31.45 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique se sont effondrées de 2.29% pour se retrouver à 3.3 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 664.15 USD de l'once en fin de séance asiatique, perdant 0.74%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 660.85 USD, leur pire cours depuis le 13 octobre, avec 0.97% de recul.
L'espoir d'une résolution complète des problèmes financiers européens s'est trouvé mis à mal hier, après que Wolfgang Schaeuble, ministre des finances allemand, ait déclaré que la prochaine réunion des dirigeants de l'Union Européenne du 23 octobre n'apporterait pas de "solution définitive" au problème du surendettement régional.
Il confirmait ainsi les propos d'Angela Merkel, la chancelière allemande, affirmant que "le rêve d'une résolution de toutes les difficultés lors du sommet européen restait inaccessible".
l'agence Moody's Investor Services a quand à elle émis pour la France un préavis de trois mois selon lequel "la pression des mauvais résultats de l'endettement" pourrait entraîner des perspectives négatives pour le pays et ainsi tirer sa notation monétaire vers le bas.
Le réflexe typique des investisseurs au cours de l'année passée consistait à acheter de l'or au son des mauvaises nouvelles venant d'Europe, mais la volatilité des cours a mis à mal son attrait en tant que valeur refuge et qu'accumulateur de richesse dans les temps troublés.
Leur moral a également été miné par des chiffres officiels signalant ce matin que le produit intérieur brut chinois du troisièe trimestre n'avait progressé que de 9.1% pour rapport à l'année dernière, contre 9.5% pour le précédent.
La banque suisse UBS a revu à la baisse ses prévisions pour les cours du reste de l'année vers 1 615 USD l'once, contre 1 665 auparavant,, invoquant l'impact du renforcement du dollar U.S. et le spectre de la crise de la dette de la zone euro.
Elle a déclaré: "L'or a pénétré uune contrée inconnu, se comportant comme un hybride entre un investissement risqué et une valeur refuge, tâchant de trouver l'équilibre entre les deux forces qui le tiraillent de manière opposée."
Son article précisait que le danger le plus sérieux le concernant était "une rapide détérioration des capitaux bancaires et l'augmentation des craintes liées aux liquidités".
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs dégringolé de 1.17% pour sombrer à 31.45 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique se sont effondrées de 2.29% pour se retrouver à 3.3 USD la livre dans le même temps.