Investing.com - Les options sur l'or étaient en progression ce jeudi, alors que les observateurs attendiant en cours de journée une adjudication de dettes de l'Espagne, sur fond de crainte que celle-ci ne soit le prochain membre de la zone euro à demander un plan de secours international.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 644.85 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.32%.
Ils avaient précédement culminé à 1 645.25 USD, leur meileur cours du jour, avec 0.38% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 613.55 USD, leur plancher du 4 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 681.15, leur plafond du 12.
Madrid compte en effet émettre aujourd'hui pour 2.5 milliards d'obligations bi et décennales, dans l'angoisse que le gouvernement du pays ne parvienne pas à réaliser les réductions des déficits régionaux escomptées, alors que flotte l'odeur de la récession.
Les taux de ses emprunts décennaux aient dépassé les 6% en début de semaine, alimentant la crainte que le pays ne soit le prochain à nécessiter une bouée de sauvetage.
Ils s'étaient négociés ce matin à 5.82% lors de transactions d'avant-adjudication.
Les émissions d'obligations gouvernementales sont devenues ces derniers mois des sémaphores de la popularité des valeurs à risques, les courtiers tentant grâce à elles d'évaluer la capacité des membres de la zone euro à lever des fonds par eux-mêmes.
Le moral avait encore reculé d'un cran après que la banque centrale espagnole ait révélé hier que la quantité des prêts indésirables des établissements financiers du pays avait atteint en févrieer son plus haut niveau en 18 ans, ravivant les craintes concerant la santé du sectteur bancaire national.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur sûre, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'effet positiff sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de l'étalon américain lui ont plutôt nui.
Son récent rapprochement avec la monnaie unique l'a rendu vulnérable, risquant ainsi une plongée en cas d'aggravation de la crise de la dette de la zone euro en raison de leurs évolutions conjointes des dernièrse semaines écoulées.
Les cours n'ont guère bougé ces derniers jours, les acteurs du marché aurifère guettant le prochain signe fort pour prolonger leur ascension.
Les opérateurs concentreront leur attention sur les chiffres américains pour le second trimestre, à la recherche de signes d'un besoin d'une éventuelle nouvelle série d'assouplissements monétaires, qui pourraient nuire au dollar U.S. et donc encourager le métal jaune.
Les Etats-Unis rendront dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, puis le nombre des ventes de maisons d'occasion enregistrées par les experts immobiliers, et enfin une étude sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
Les acteurs des marchés garderont aussi la réunion de la Réserve Fédérale de la semaine prochaine en ligne de mire, pour glaner des indices sur la position de celle-ci concernant des injections de capitaux supplémentaires.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0.35% pour grimper à 31.68 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.5% pour se retrouver à 3.648 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 644.85 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.32%.
Ils avaient précédement culminé à 1 645.25 USD, leur meileur cours du jour, avec 0.38% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 613.55 USD, leur plancher du 4 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 681.15, leur plafond du 12.
Madrid compte en effet émettre aujourd'hui pour 2.5 milliards d'obligations bi et décennales, dans l'angoisse que le gouvernement du pays ne parvienne pas à réaliser les réductions des déficits régionaux escomptées, alors que flotte l'odeur de la récession.
Les taux de ses emprunts décennaux aient dépassé les 6% en début de semaine, alimentant la crainte que le pays ne soit le prochain à nécessiter une bouée de sauvetage.
Ils s'étaient négociés ce matin à 5.82% lors de transactions d'avant-adjudication.
Les émissions d'obligations gouvernementales sont devenues ces derniers mois des sémaphores de la popularité des valeurs à risques, les courtiers tentant grâce à elles d'évaluer la capacité des membres de la zone euro à lever des fonds par eux-mêmes.
Le moral avait encore reculé d'un cran après que la banque centrale espagnole ait révélé hier que la quantité des prêts indésirables des établissements financiers du pays avait atteint en févrieer son plus haut niveau en 18 ans, ravivant les craintes concerant la santé du sectteur bancaire national.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur sûre, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'effet positiff sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de l'étalon américain lui ont plutôt nui.
Son récent rapprochement avec la monnaie unique l'a rendu vulnérable, risquant ainsi une plongée en cas d'aggravation de la crise de la dette de la zone euro en raison de leurs évolutions conjointes des dernièrse semaines écoulées.
Les cours n'ont guère bougé ces derniers jours, les acteurs du marché aurifère guettant le prochain signe fort pour prolonger leur ascension.
Les opérateurs concentreront leur attention sur les chiffres américains pour le second trimestre, à la recherche de signes d'un besoin d'une éventuelle nouvelle série d'assouplissements monétaires, qui pourraient nuire au dollar U.S. et donc encourager le métal jaune.
Les Etats-Unis rendront dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, puis le nombre des ventes de maisons d'occasion enregistrées par les experts immobiliers, et enfin une étude sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
Les acteurs des marchés garderont aussi la réunion de la Réserve Fédérale de la semaine prochaine en ligne de mire, pour glaner des indices sur la position de celle-ci concernant des injections de capitaux supplémentaires.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0.35% pour grimper à 31.68 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.5% pour se retrouver à 3.648 USD la livre dans le même temps.