Investing.com - Les options sur le brut étaient ont repris des force ce mardi, rebondissant de leur ornière de près d'une semaine, le goût pour les investissements plus risqués ayant été encouragé par les signes de progrès dans les négociations entre la Grèce et les détenteurs de ses obligations, l'angoisse d'une perturbation des livraisons provenant de l'Iran et du Sud-Soudan contribuant à les tirer vers le haut.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 99.98 USD le baril en première partie de séance européenne, engrangeant 1.13%.
Ils avaient auparavant culminé à 99.93 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 1.18% de progression, après avoir plongé hier à 98.43 USD, leur plancher des quatre derniers jours de cotation.
Lucas Papademos, le premier ministre grec, a en effet déclaré lors du sommet de l'Union Européenne à Bruxelles que des "progrès significatifs" avaient été réalisés durant les pourparlers portant sur les échanges de dettes avec les créanciers privés du pays, ravivant l'espoir qu'un accord soit bouclé avant la fin de semaine.
Celui-ci est indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides de secours et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains.
Les dirigeants de l'UE ont quand à eux trouvé un terrain d'entente à propos du pacte d'union fiscale et approuvé les dernières mises au point du fonds de sauvetage permanent de la zone euro, fort de 500 milliards d'euros.
L'étalon américain a pour sa part fléchi face à ses plus gros concurrents, redorant le blason des contrats sur le brut libelléés avec, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.34% de son côté pour se situer à 78.96.
Les acteurs du marché pétrolier gardaient les disputes entre l'Iran et l'Occident en ligne de mire, les membres du comité bancaire sénatorial des Etats-Unis ayant voté pour un durcissement des sanctions touchant le secteur énergétique iranien.
L'UE avait effectivement annoncé la semaine dernière qu'elle interdirait les importations qui en proviennent à partir du premier juillet, afin d'inciter la république islamique à abandonner son programme nucléaire.
Le pays demeure le quatrième extracteur mondial, avec près de 5% de la production mondiale en 2010, et la menace d'une perturbation importante de ses livraisons a contribué à tirer maintenir des cours élevés ces dernières semaines.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont gagné 0.9% pour grimper à 111.75 USD du baril dans le même temps, soit 11.85 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Elles ont bondi après que le ministre du pétrole du Sud-Soudan ait affirmé lundi que ce dernier avait totalement interrompu sa production, se situant à 350 000 barils quotidiens en temps normal, en réponse à un conflit avvec la Soudan concernant les droits de passage pour l'exportation.
Le Sud Soudan s'est séparé du Soudan en juillet sous les termes d'un accord de paix signé en 2005 qui avait mis fin à des décennies de guerre civile, mais les deux entités demeuurent en désaccord concernant le pétrole, la dette et leur frontière floue.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 99.98 USD le baril en première partie de séance européenne, engrangeant 1.13%.
Ils avaient auparavant culminé à 99.93 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 1.18% de progression, après avoir plongé hier à 98.43 USD, leur plancher des quatre derniers jours de cotation.
Lucas Papademos, le premier ministre grec, a en effet déclaré lors du sommet de l'Union Européenne à Bruxelles que des "progrès significatifs" avaient été réalisés durant les pourparlers portant sur les échanges de dettes avec les créanciers privés du pays, ravivant l'espoir qu'un accord soit bouclé avant la fin de semaine.
Celui-ci est indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides de secours et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains.
Les dirigeants de l'UE ont quand à eux trouvé un terrain d'entente à propos du pacte d'union fiscale et approuvé les dernières mises au point du fonds de sauvetage permanent de la zone euro, fort de 500 milliards d'euros.
L'étalon américain a pour sa part fléchi face à ses plus gros concurrents, redorant le blason des contrats sur le brut libelléés avec, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.34% de son côté pour se situer à 78.96.
Les acteurs du marché pétrolier gardaient les disputes entre l'Iran et l'Occident en ligne de mire, les membres du comité bancaire sénatorial des Etats-Unis ayant voté pour un durcissement des sanctions touchant le secteur énergétique iranien.
L'UE avait effectivement annoncé la semaine dernière qu'elle interdirait les importations qui en proviennent à partir du premier juillet, afin d'inciter la république islamique à abandonner son programme nucléaire.
Le pays demeure le quatrième extracteur mondial, avec près de 5% de la production mondiale en 2010, et la menace d'une perturbation importante de ses livraisons a contribué à tirer maintenir des cours élevés ces dernières semaines.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont gagné 0.9% pour grimper à 111.75 USD du baril dans le même temps, soit 11.85 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Elles ont bondi après que le ministre du pétrole du Sud-Soudan ait affirmé lundi que ce dernier avait totalement interrompu sa production, se situant à 350 000 barils quotidiens en temps normal, en réponse à un conflit avvec la Soudan concernant les droits de passage pour l'exportation.
Le Sud Soudan s'est séparé du Soudan en juillet sous les termes d'un accord de paix signé en 2005 qui avait mis fin à des décennies de guerre civile, mais les deux entités demeuurent en désaccord concernant le pétrole, la dette et leur frontière floue.