Investing.com - Le dollar U.S. s'est effondré vers un creux de 16 derniers mois face à l'euro ce jeudi, tiré vers le bas par l'inquiétude concernant la dette américaine, tandis que le goût du risque toujours présent favorisait les devises à haut rendement.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.4618 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 15 décembre, puis s'est stabilisée vers 1.4604, prenant 0.57%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.4327, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 1.4775, son plafond du 15 décembre 2009.
La devise européenne a bénéficié de la progression de Wall Street dans la nuit, ainsi que de celle de la plupart des bourses asiatiques, suite aux bons résultats des entreprises américaines, Apple annonçant par exemple hier que ses bénéfices trimestriels avaient quasiment doublé grâce aux records de ventes de l'iPhone.
Elle a également été soulagée par la forte demande des investisseurs pour les dettes espagnoles mises aux enchères le même jour, apaisant la peur du spectre de la dette de la région.
La monnaie unique a aussi gagné du terrain sur la livre sterlig, l'EUR/GBP prenant 0.26% pour se hisser à 0.8872.
En zone euro, l'institut de recherches économiques Ifo devrait d'ailleurs dévoiler aujourd'hui une étude sur le climat économique allemand, tandis que les autorités des Etats-Unis feront de même avec le décompte des inscriptions au chômage et les prix de l'immobilier, tandis que la Réserve Fédérale de Philadelphie fera connaître son indice de l'activité manufacturière.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.4618 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 15 décembre, puis s'est stabilisée vers 1.4604, prenant 0.57%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.4327, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 1.4775, son plafond du 15 décembre 2009.
La devise européenne a bénéficié de la progression de Wall Street dans la nuit, ainsi que de celle de la plupart des bourses asiatiques, suite aux bons résultats des entreprises américaines, Apple annonçant par exemple hier que ses bénéfices trimestriels avaient quasiment doublé grâce aux records de ventes de l'iPhone.
Elle a également été soulagée par la forte demande des investisseurs pour les dettes espagnoles mises aux enchères le même jour, apaisant la peur du spectre de la dette de la région.
La monnaie unique a aussi gagné du terrain sur la livre sterlig, l'EUR/GBP prenant 0.26% pour se hisser à 0.8872.
En zone euro, l'institut de recherches économiques Ifo devrait d'ailleurs dévoiler aujourd'hui une étude sur le climat économique allemand, tandis que les autorités des Etats-Unis feront de même avec le décompte des inscriptions au chômage et les prix de l'immobilier, tandis que la Réserve Fédérale de Philadelphie fera connaître son indice de l'activité manufacturière.