Investing.com - Le dollar U.S. a perdu du terrain sur ses principaux concurrents ce mardi, les critiques internationales envers le plan de stimulation de la Réserve Fédérale américaine enflant alors que se profile le sommet du G20 sur l'économie mondiale.
En seconde partie de séance européenne, il a plié face à l'euro, l'EUR/USD prenant 0.21% pour grimper à 1.3949, la Grèce, ayant levé pour 300 millions de bons du trésor à 26 semaines, réconfortant les investisseurs inquiets de possibles défauts de paiement des membres périphériques de la zone euro.
Il a également fléchi devant la livre sterling, le GBP/USD progressant de 0.22% pour se hisser à 1.6171, des résultats officiels précédemment divulgués ayant montré une hausse décevante de la production manufacturée et une baisse moins importante que prévu du déficit de la balance commerciale en Grande-Bretagne pour septembre.
Le yen et le franc suisse se sont également imposés à lui, l'USD/JPY dévissant de 0.64% pour tomber à 80.46 et l'USD/CHF glissant de 0.35% pour atterrir à 0.9622.
Yoshihiko Noda, ministre des finances nippon, avait répété aujourd'hui qu'il continuerait à agir de manière décisive sur le forex si cela s'imposait, affirmant: "Notre position reste la même."
La monnaie des Etats-Unis a aussi subi la pression de ses homologues canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD dérapant de 0.46% pour se retrouver à 0.9986, l'AUD/USD gagnant 0.28% pour se hisser à 1.0163 et le NZD/USD grignotant 0.13% pour s'afficher à 0.7889.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a sombré de 0.33%.
La Chine et Taïwan avaient mis en place ce matin des mesures législatives destinées à maintenir leur stabilité économique, la décision prise la semaine dernière par la Réserve Fédérale américaine d'acheter de ses propres dettes pour maintenir des coûts quasiment nuls pour les emprunts laissant présager une fuite des investisseurs en quête de revenus plus importants vers les marchés émergents.
En seconde partie de séance européenne, il a plié face à l'euro, l'EUR/USD prenant 0.21% pour grimper à 1.3949, la Grèce, ayant levé pour 300 millions de bons du trésor à 26 semaines, réconfortant les investisseurs inquiets de possibles défauts de paiement des membres périphériques de la zone euro.
Il a également fléchi devant la livre sterling, le GBP/USD progressant de 0.22% pour se hisser à 1.6171, des résultats officiels précédemment divulgués ayant montré une hausse décevante de la production manufacturée et une baisse moins importante que prévu du déficit de la balance commerciale en Grande-Bretagne pour septembre.
Le yen et le franc suisse se sont également imposés à lui, l'USD/JPY dévissant de 0.64% pour tomber à 80.46 et l'USD/CHF glissant de 0.35% pour atterrir à 0.9622.
Yoshihiko Noda, ministre des finances nippon, avait répété aujourd'hui qu'il continuerait à agir de manière décisive sur le forex si cela s'imposait, affirmant: "Notre position reste la même."
La monnaie des Etats-Unis a aussi subi la pression de ses homologues canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD dérapant de 0.46% pour se retrouver à 0.9986, l'AUD/USD gagnant 0.28% pour se hisser à 1.0163 et le NZD/USD grignotant 0.13% pour s'afficher à 0.7889.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a sombré de 0.33%.
La Chine et Taïwan avaient mis en place ce matin des mesures législatives destinées à maintenir leur stabilité économique, la décision prise la semaine dernière par la Réserve Fédérale américaine d'acheter de ses propres dettes pour maintenir des coûts quasiment nuls pour les emprunts laissant présager une fuite des investisseurs en quête de revenus plus importants vers les marchés émergents.