Investing.com - Le dollar U.S. était à la baisse face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, un rapport montrant une progression étonnamment forte des prix à la production en zone euro.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD prenant 0.29% pour grimper à 1.3817.
Une étude officielle avait effectivement fait savoir que l'inflation des coûts de production de la zone euro de janvier avait été la plus forte en 29 ans.
Le billet vert a par également perdu du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD gagnant 0.21% pour monter à 1.63 après que l'indice de directeurs des achats de la Grande-Bretagne de février ait dépassé les attentes.
Le yen a par contre subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY arrachant 0.14% pour se retrouver à 81.97 et l'USD/CHF glissant de 0.18% pour tomber à 0.9268.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD trébuchant de 0.03% pour aller vers 0.974, l'AUD/USD arrachant 0.04% pour se hisser à 1.0138 et le NZD/USD plongeant de 0.67% pour toucher le fond à 0.742.
John Key, premier ministre néo-zélandais, a déclaré en début de matinée s'attendre à voir une baisse des taux d'intérêt de la part de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande en réponse au tremblement de terre de Christchurch survenu la semaine dernière.
Des chiffres officiels ont par ailleurs montré que la croissance économique de l'Australie avait accéléré au quatrième trimestre, mais que planait encore le spectre de l'impact économique des inondations catastrophiques subies par le nord-est du pays en début d'année.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a fait un faux pas de 0.24%.
Ben Bernanke devrait témoigner aujourd'hui pour la deuxième fois devant le comité bancaire sénatorial, et le Fed publier son Livre Beige. Les Etats-Unis feront par ailleurs connaître les chiffres concernant la masse salariale émanant de la compagnie de gestion des ressources humaines ADP.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD prenant 0.29% pour grimper à 1.3817.
Une étude officielle avait effectivement fait savoir que l'inflation des coûts de production de la zone euro de janvier avait été la plus forte en 29 ans.
Le billet vert a par également perdu du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD gagnant 0.21% pour monter à 1.63 après que l'indice de directeurs des achats de la Grande-Bretagne de février ait dépassé les attentes.
Le yen a par contre subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY arrachant 0.14% pour se retrouver à 81.97 et l'USD/CHF glissant de 0.18% pour tomber à 0.9268.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD trébuchant de 0.03% pour aller vers 0.974, l'AUD/USD arrachant 0.04% pour se hisser à 1.0138 et le NZD/USD plongeant de 0.67% pour toucher le fond à 0.742.
John Key, premier ministre néo-zélandais, a déclaré en début de matinée s'attendre à voir une baisse des taux d'intérêt de la part de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande en réponse au tremblement de terre de Christchurch survenu la semaine dernière.
Des chiffres officiels ont par ailleurs montré que la croissance économique de l'Australie avait accéléré au quatrième trimestre, mais que planait encore le spectre de l'impact économique des inondations catastrophiques subies par le nord-est du pays en début d'année.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a fait un faux pas de 0.24%.
Ben Bernanke devrait témoigner aujourd'hui pour la deuxième fois devant le comité bancaire sénatorial, et le Fed publier son Livre Beige. Les Etats-Unis feront par ailleurs connaître les chiffres concernant la masse salariale émanant de la compagnie de gestion des ressources humaines ADP.